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  • Hépatologie Maladies du Foie Toulouse | Centre des Maladies de l'Appareil Digestif

    L'hépatologie est la branche de la médicale qui s'intéresse à l’étude du foie (hépar) sur un plan anatomique, physiologique et pathologique. Le spécialiste, l'hépatologue est aussi gastro entérologue Hépatologie (maladies du foie) Maladies du foie - Hépatologie Maladies chroniques du foie Il existe plusieurs causes de maladies chroniques du foie: La consommation chronique et excessive d’ alcool Le surpoids ou l’obésité aboutissant à une surcharge graisseuse du foie appelée stéatose , souvent associée à d’autres maladies métaboliques telles que le diabète, les troubles du cholestérol, l’hypertension artérielle ou les maladies cardio-vasculaires Les hépatites chroniques liés aux virus de l’hépatite B ou hépatite C Les maladies auto-immunes du foie : hépatite auto-immune, cholangite biliaire primitive, cholangite sclérosante primitive Les maladies génétiques qui créent une surcharge du foie en fer ( hémochromatose ) ou en cuivre ( maladie de Wilson ) Ces maladies restent longtemps asymptomatiques et peuvent aboutir progressivement à une fibrose du foie (endurcissement du foie par l’accumulation de fibres de collagène), le stade ultime de la fibrose étant la cirrhose . La cirrhose augmente le risque de cancer du foie . La cirrhose expose aussi à un risque d’ insuffisance hépatique (diminution du fonctionnement du foie) et d’ hypertension portale (varices œsophagiennes, ascite, etc…). Dans de rares cas de cirrhose évoluée, une greffe du foie peut être envisagée. Des anomalies du bilan sanguin hépatique (TGO, TGP, Gamma GT et/ou phosphatases alcalines) nécessitent un bilan sanguin à la recherche de toutes les causes de malades du foie afin d’apporter si nécessaire un traitement. Le bilan initial requiert aussi une échographie du foie pour observer la morphologie du foie, éliminer une tumeur, rechercher des critères de cirrhose, etc… Quand une maladie chronique du foie est diagnostiquée , il faut ensuite réaliser une évaluation de la fibrose du foie . L’examen de première intention est souvent un test biologique simple appelé score de FIB-4. Il est calculé automatiquement sur le bilan sanguin lorsque celui comporte le bilan du foie et le dosage des plaquettes. Si ce score fait suspecter une possible fibrose voire une cirrhose, un examen de seconde ligne doit être réalisé par un hépatologue : il s’agit d’une élastométrie du foie , une méthode physique non invasive qui estime la dureté du foie (son élasticité), elle-même corrélée à la quantité de fibrose. Il existe différents appareils pour mesurer l’élastométrie : le Fibroscan®, le Supersonic®, l’Arfi® . Certains sont implémentés sur un appareil d’échographie. Ces examens réalisés en quelques minutes permettent de situer le stade d’avancée de la maladie chronique du foie. Tumeurs du foie bénignes et malignes (cancers) Il existe des tumeurs bénignes du foie ( adénome, angiome, hyperplasie nodulaire et focale ). Le diagnostic est le plus souvent fait par une IRM du foie, sans avoir recours à une biopsie. Certains peuvent nécessiter une surveillance comme l’adénome, d’autres n’exposent à aucun risque de dégénérescence et ne requièrent aucun suivi (angiome, hyperplasie nodulaire et focale). Il existe deux grands types de tumeurs malignes du foie (cancers) : le carcinome hépato cellulaire (favorisé le plus souvent par la cirrhose) et le cholangiocarcinome . Enfin, certains nodules du foie peuvent être des métastases issues d’un cancer provenant d’un autre organe. < Retour Maladies du foie - Hépatologie Maladies chroniques du foie Il existe plusieurs causes de maladies chroniques du foie: La consommation chronique et excessive d’ alcool Le surpoids ou l’obésité aboutissant à une surcharge graisseuse du foie appelée stéatose , souvent associée à d’autres maladies métaboliques telles que le diabète, les troubles du cholestérol, l’hypertension artérielle ou les maladies cardio-vasculaires Les hépatites chroniques liés aux virus de l’hépatite B ou hépatite C Les maladies auto-immunes du foie : hépatite auto-immune, cholangite biliaire primitive, cholangite sclérosante primitive Les maladies génétiques qui créent une surcharge du foie en fer ( hémochromatose ) ou en cuivre ( maladie de Wilson ) Ces maladies restent longtemps asymptomatiques et peuvent aboutir progressivement à une fibrose du foie (endurcissement du foie par l’accumulation de fibres de collagène), le stade ultime de la fibrose étant la cirrhose . La cirrhose augmente le risque de cancer du foie . La cirrhose expose aussi à un risque d’ insuffisance hépatique (diminution du fonctionnement du foie) et d’ hypertension portale (varices œsophagiennes, ascite, etc…). Dans de rares cas de cirrhose évoluée, une greffe du foie peut être envisagée. Des anomalies du bilan sanguin hépatique (TGO, TGP, Gamma GT et/ou phosphatases alcalines) nécessitent un bilan sanguin à la recherche de toutes les causes de malades du foie afin d’apporter si nécessaire un traitement. Le bilan initial requiert aussi une échographie du foie pour observer la morphologie du foie, éliminer une tumeur, rechercher des critères de cirrhose, etc… Quand une maladie chronique du foie est diagnostiquée , il faut ensuite réaliser une évaluation de la fibrose du foie . L’examen de première intention est souvent un test biologique simple appelé score de FIB-4. Il est calculé automatiquement sur le bilan sanguin lorsque celui comporte le bilan du foie et le dosage des plaquettes. Si ce score fait suspecter une possible fibrose voire une cirrhose, un examen de seconde ligne doit être réalisé par un hépatologue : il s’agit d’une élastométrie du foie , une méthode physique non invasive qui estime la dureté du foie (son élasticité), elle-même corrélée à la quantité de fibrose. Il existe différents appareils pour mesurer l’élastométrie : le Fibroscan®, le Supersonic®, l’Arfi® . Certains sont implémentés sur un appareil d’échographie. Ces examens réalisés en quelques minutes permettent de situer le stade d’avancée de la maladie chronique du foie. Tumeurs du foie bénignes et malignes (cancers) Il existe des tumeurs bénignes du foie ( adénome, angiome, hyperplasie nodulaire et focale ). Le diagnostic est le plus souvent fait par une IRM du foie, sans avoir recours à une biopsie. Certains peuvent nécessiter une surveillance comme l’adénome, d’autres n’exposent à aucun risque de dégénérescence et ne requièrent aucun suivi (angiome, hyperplasie nodulaire et focale). Il existe deux grands types de tumeurs malignes du foie (cancers) : le carcinome hépato cellulaire (favorisé le plus souvent par la cirrhose) et le cholangiocarcinome . Enfin, certains nodules du foie peuvent être des métastases issues d’un cancer provenant d’un autre organe. Une Question ? Le Centre des Maladies de l’Appareil Digestif (CMAD) de Toulouse est dédié à la prise en charge des affections gastro-intestinales et hépatiques. Forts de notre expertise et de notre engagement envers l'excellence médicale, nous proposons une gamme complète de services diagnostiques et thérapeutiques pour répondre à vos besoins spécifiques. Notre équipe d’hépato-gastroentérologues expérimentés est à votre disposition pour vous accompagner tout au long de votre parcours de santé, de la prévention au traitement. Si vous avez des questions ou des doutes concernant votre état de santé, n’hésitez pas à fixer un rendez-vous de consultation avec l’un de nos spécialistes. Nous sommes là pour vous offrir les meilleurs soins possibles et vous aider à retrouver une meilleure qualité de vie. Contactez-nous dès aujourd'hui pour planifier votre consultation et bénéficier d'une prise en charge personnalisée et attentive. Contact

  • MICI Maladies Inflammatoires de l'Intestin | Centre des Maladies de l'Appareil Digestif

    Les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (ou MICI) regroupent la maladie de Crohn et la recto-colite hémorragique. Elles se caractérisent toutes les deux par une inflammation de la paroi d’une partie du tube digestif. MICI : maladies inflammatoires chroniques de l’intestin Les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin Les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (ou MICI) regroupent la maladie de Crohn et la recto-colite hémorragique. Elles se caractérisent toutes les deux par une inflammation de la paroi d’une partie du tube digestif. Dans la maladie de Crohn , l’inflammation peut être localisée dans tout le système digestif, de la bouche à l’anus (le plus souvent au niveau de l’intestin) tandis que dans la rectocolite hémorragique , elle est localisée au niveau du rectum et du colon. Ces maladies évoluent par poussées inflammatoires de durée et de fréquence extrêmement variables en fonction des patients, alternant avec des phases de rémission. Les MICI sont le plus souvent diagnostiquées chez des sujets jeunes âgés de 20 à 30 ans mais peuvent survenir à tout âge ; 15 % des cas concernent des enfants. Leur fréquence varie considérablement d’un pays à l’autre mais les taux les plus importants sont retrouvés dans les pays industrialisés et notamment en Europe du Nord-Ouest et aux Etats-Unis. En France, environ 5 nouveaux cas de maladie de Crohn et autant de rectocolites hémorragiques sont diagnostiqués chaque année pour 100 000 habitants. Il y a actuellement 200 000 cas nouveaux par an. Des facteurs d’environnement sur un terrain génétique Plusieurs facteurs de risque sont suspectés, notamment génétiques et environnementaux. Les études génétiques de patients atteints de MICI montre qu’il s’agit de maladies polygénétiques impliquant près de 100 gènes. Un gène de prédisposition de la maladie de Crohn a notamment été découvert (NOD2/CARD15) : une ou deux mutations sur ce gène peut multiplier par 40 le risque de développer la maladie. Mais le fait que cette maladie se développe dans les pays industrialisés fait largement suspecter le rôle de l’environnement. Les MICI apparaissent peu à peu dans les pays émergents et le suivi de migrants montre que le risque de développer la maladie rejoint celui de la population parmi laquelle ils vivent. Pollution, alimentation, hygiène, toutes les pistes sont ouvertes même si aucune étude ne permet à ce jour d’incriminer l’une ou l’autre. Seul facteur de risque avéré de la maladie de Crohn, le tabac mais qui, paradoxalement, protège de la rectocolite hémorragique. Douleurs et Diarrhée : 2 symptômes typiques Lors des poussées inflammatoires, les MICI se caractérisent le plus souvent par des douleurs abdominales, une diarrhée fréquente parfois sanglante ou encore une atteinte de la région anale (fissure, abcès) . Une MICI s’accompagne souvent de fatigue, de perte d’appétit et de fièvre, parfois de manifestations extra-intestinales : articulaires, cutanées, oculaires, hépatiques. Chez environ 20 % des patients, les crises sont sévères. Leur intensité peut imposer l’hospitalisation, l’arrêt de l’alimentation et un traitement par perfusion pendant quelques jours. L’évolution de la maladie et surtout la répétition des crises peut entraîner le rétrécissement (sténose) d’un segment intestinal atteint puis éventuellement une occlusion ou encore un abcès pouvant aboutir à une fistule, c’est-à-dire à l’ouverture d’un trajet anormal partant de l’intestin malade vers un autre organe. Ces complications nécessitent parfois une intervention chirurgicale. Enfin, les MICI sont associées à un risque accru de cancer colorectal, notamment lorsque des lésions sont présentes au niveau du côlon. Une étude danoise a montré que, par rapport à la population générale, le risque était multiplié par 2 à 2.5 après 10 ans d’évolution de la maladie. Plusieurs critères pour un diagnostic Le diagnostic des MICI repose sur plusieurs critères cliniques, biologiques, endoscopique et d’imagerie médicale . Aux symptômes, il faut ajouter un bilan biologique qui permet de détecter un syndrome inflammatoire et des carences nutritionnelles éventuelles. L’endoscopie digestive (iléo coloscopie) consiste à introduire une sonde équipée d’une caméra dans le système digestif du patient par voie naturelle et permet d’observer la présence de lésions et de pratiquer des prélèvements (biopsies) Un bilan radiologique complémentaire peut aider à estimer l’étendue des lésions (scanner, IRM...). Aucun test à lui seul ne permet de diagnostiquer fermement la maladie, il se fait sur un faisceau d’argument . Il ne faut pas confondre cette pathologie avec un syndrome de l’intestin irritable qui se traduit par des troubles digestifs mais par l’absence totale d’inflammation visible. Traitements de crise et traitements de fond Un objectif thérapeutique : la cicatrisation muqueuse. Schématiquement, on distingue le traitement de la poussée ou maladie active visant à mettre le plus rapidement possible le tube digestif au repos et à obtenir une rémission clinique et endoscopique, et le traitement d’entretien visant à maintenir le plus longtemps possible cette rémission profonde afin de prévenir les rechutes et les complications. Les divers médicaments peuvent être utilisés seuls, en association, ou être combinés à d’autres modalités thérapeutiques non médicamenteuses (nutrition - chirurgie). Le choix du médicament, son mode d’administration et les doses proposées, sont fonction de l’étendue des lésions, de l’intensité de la poussée, du profil évolutif de la maladie. Comme dans toute prescription, votre médecin se fonde sur l’équilibre bénéfice/risque du traitement L’objectif des traitements actuels est d’obtenir une rémission profonde c’est à dire une rémission clinique associée à une rémission endoscopique (ou cicatrisation muqueuse) et une rémission biologique (disparition du syndrome inflammatoire). Cet objectif n’est pas toujours atteint. Il est parfois nécessaire d’intensifier les traitements ou de changer de thérapeutique pour obtenir une meilleure réponse aux traitements. Une attention particulière est portée également sur les symptômes ressentis par les patients (appelés PRO pour Patient Reported Outcomes) afin de moduler les traitements. Les objectifs fixés de rémissions clinique et endoscopique nécessitent souvent une surveillance rapprochée des malades et une évaluation fréquente de la maladie pour juger de l’efficacité des traitements et proposer une optimisation (adaptation) thérapeutique. Il n’existe pas de traitement curatif des MICI, mais les médicaments actuels permettent toutefois un contrôle durable de la maladie, la mise en rémission des patients pour un grand nombre et une amélioration de la qualité de vie satisfaisante. Comme toute maladie inflammatoire chronique, la prise en charge repose sur un traitement à visée anti inflammatoire spécifique de fond ou d’entretien et un traitement de crise ou d’induction. Le premier est destiné à prévenir l’apparition des poussées et prolonger les phases de rémission. Le second permet d’écourter la durée des poussées inflammatoires, de limiter les symptômes et d’induire une rémission clinique. Lors des poussées, les 5-aminosalicylés (5-ASA) sont les anti-inflammatoires prescrits chez la majorité des patients en raison de leur bonne tolérance mais ils ne sont efficaces que dans la rectocolite hémorragique. Les corticoïdes arrivent en deuxième intention en cas d’inefficacité des 5-ASA ou de poussées modérées à sévères de la maladie. Ils sont plus efficaces mais présentent un certain nombre d’effets secondaires. Les thérapies avancées (biothérapies et petites molécules) peuvent être utilisées également pour enduire une rémission avant un relais en traitement de fond. En traitement de fond: les immunomodulateurs sont utilisés pour réguler l’immunité des patients et réduire l’inflammation à long terme. Il existe plusieurs molécules : azathioprine, mercaptopurine et méthotrexate les thérapies avancées comprenant les biothérapies (Anticorps spécifique Anti-TNF, anti interleukine, anti intégrine) arrivées en 1999 et récemment les petites molécules (anti-JAK et S1PR). Ces traitements de nouvelle génération bloquent spécifiquement des récepteurs et des facteurs d’inflammation impliqués dans la maladie. Par ailleurs, la fréquence et l’importance des diarrhées peuvent entraîner une carence nutritionnelle. Une supplémentation en fer, acide folique, zinc, magnesium, vitamines, etc. peut être nécessaire par voie orale ou intraveineuse et chez l’enfant, le recours à la nutrition entérale, exclusive ou en complément, est parfois nécessaire. Enfin, un traitement chirurgical est réservé aux malades résistants à un traitement bien suivi ou présentant des complications. Cette prise en charge conventionnelle doit s’accompagner d’une prise en charge holistique considérant l’individu dans sa globalité. L’environnement et notre hygiène de vie étant un facteur de risque de dysbiose. Importance d’une équipe spécialisée et d'un parcours de soin dédié Pour les patients en Occitanie, il est crucial de pouvoir compter sur une équipe médico chirurgicale spécialisée dans la prise en charge de la maladie de Crohn et de la RCH. Au sein du groupe CMAD nous assurons l’ensemble de la prise en charge des MICI du diagnostic au traitement. Au sein de la clinique Pasteur à Toulouse , le Dr Faure Patrick et ses associés offrent une expertise reconnue dans le diagnostic et le traitement de cette maladie complexe. Leur approche multidisciplinaire, associant médecine conventionnelle et complémentaire, traitements médicaux en thérapies avancées, chirurgie, soutien psychologique, prise en charge diététique, et suivi infirmier permet d'offrir des soins complets et personnalisés pour chaque patient. Nous proposons sur la clinique Pasteur aux patients porteurs de maladie de Crohn et de la RCH de nombreuses possibilités pour leur prise en charge : Une unité de perfusion de biothérapie et thérapies avancées dans un service dédié. Des parcours d’annonce de la maladie avec un livret d’annonce Des parcours de soins holistiques (prise en charge globale) avec évaluation diététique, psychologique, physique et autre selon besoin. Des parcours de soins de suivi de la maladie. Les parcours sont réalisés au sein d’un service dédié le Centre de soin de la maladie chronique de la clinique Pasteur (CSMC) . Le CSMC MICI permet en Hôpital de jour sur ½ journée de rencontrer psychologue, diététicienne, IDE de coordination, pharmacienne, tabacologue, éducateur APA (activité physique) médecin spécialiste permettant l’élaboration à l’issu du parcours d’un plan personnalisé de soins. Les patients peuvent participer au programme de surveillance Constel’action et Télésurveillance par IDE spécialisée dans le cadre du projet de l’article 51. un r éseau de suivi externe établi avec la clinique ou notre partenaire Digesteam à proximité de son domicile (diététicienne, psychologue, APA) En Hospitalisation à domicile ( HAD Pasteur ) si nécessaire pour des perfusions de Fer ou autre. Un programme d’ Éducation thérapeutique MICI : nous proposons sur une journée 4 fois/an, 5 ateliers pour les patients autour de leur pathologie afin de mieux comprendre leur maladie, de partager, d’acquérir des compétences. Les séances sont animées par une IDE et un médecin diplômé en éducation thérapeutique. Un Centre de recherche Clinique : nous proposons aux patients de participer à des études observationnelles ou de stratégie permettant l’accès à de nouveaux traitement ou suivi de leur maladie. Enfin notre équipe participe à de nombreux congrès nationaux et internationaux en tant qu’orateur ou membre des comités scientifiques de symposium. Nous comprenons les défis et les incertitudes auxquels vous pourriez être confrontés en vivant avec cette maladie inflammatoire chronique de l'intestin. C'est pourquoi nous avons rassemblé une série de ressources utiles pour vous aider à mieux comprendre et gérer votre condition (Voir l'onglet "Espace Patients : Tout savoir sur les MICI"). Sur cette page, vous trouverez une sélection de fichiers PDF téléchargeables couvrant divers aspects de la prise en charge des MICI (crohn / RCH). Ces ressources ont été soigneusement élaborées pour fournir des informations précieuses sur les symptômes, les traitements, l'alimentation adaptée, les droits sociaux, et bien plus encore. Que vous soyez nouvellement diagnostiqué ou que vous cherchiez des conseils supplémentaires pour gérer votre maladie, nos fichiers PDF sont conçus pour répondre à vos besoins. Voici un aperçu de ce que vous trouverez dans nos ressources : Des informations détaillées sur les symptômes des MICI et sur la manière de les reconnaître. Des explications sur les différents traitements disponibles, y compris les médicaments, les thérapies biologiques et les interventions chirurgicales. Des conseils pratiques sur l'alimentation et la nutrition pour gérer les symptômes et améliorer votre qualité de vie. Des informations sur vos droits en matière d'assurance et de sécurité sociale, ainsi que sur les aides financières disponibles. Des ressources spécifiquement conçues pour les parents et les familles, pour les aider à comprendre et à soutenir un enfant atteint de MICI Nous vous encourageons à explorer nos fichiers PDF et à les télécharger pour une référence future. Si vous avez des questions ou si vous avez besoin de plus d'informations, n'hésitez pas à nous contacter. Nous sommes là pour vous aider et pour vous accompagner dans votre parcours de santé avec votre MICI Contact sur la clinique Pasteur cmc@clinique-pasteur.com Références Source internet Inserm Télécharger le Guide patient HAS maladie de CROHN et RCH Liens Vous trouverez ci-dessous des liens permettant des informations complémentaires Commission MICI du CREGG My MICI Book Livret d’information destiné aux patients porteurs de MICI Groupe d’Étude Thérapeutique des Affections Inflammatoires du Tube Digestif < Retour Les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin Les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (ou MICI) regroupent la maladie de Crohn et la recto-colite hémorragique. Elles se caractérisent toutes les deux par une inflammation de la paroi d’une partie du tube digestif. Dans la maladie de Crohn , l’inflammation peut être localisée dans tout le système digestif, de la bouche à l’anus (le plus souvent au niveau de l’intestin) tandis que dans la rectocolite hémorragique , elle est localisée au niveau du rectum et du colon. Ces maladies évoluent par poussées inflammatoires de durée et de fréquence extrêmement variables en fonction des patients, alternant avec des phases de rémission. Les MICI sont le plus souvent diagnostiquées chez des sujets jeunes âgés de 20 à 30 ans mais peuvent survenir à tout âge ; 15 % des cas concernent des enfants. Leur fréquence varie considérablement d’un pays à l’autre mais les taux les plus importants sont retrouvés dans les pays industrialisés et notamment en Europe du Nord-Ouest et aux Etats-Unis. En France, environ 5 nouveaux cas de maladie de Crohn et autant de rectocolites hémorragiques sont diagnostiqués chaque année pour 100 000 habitants. Il y a actuellement 200 000 cas nouveaux par an. Des facteurs d’environnement sur un terrain génétique Plusieurs facteurs de risque sont suspectés, notamment génétiques et environnementaux. Les études génétiques de patients atteints de MICI montre qu’il s’agit de maladies polygénétiques impliquant près de 100 gènes. Un gène de prédisposition de la maladie de Crohn a notamment été découvert (NOD2/CARD15) : une ou deux mutations sur ce gène peut multiplier par 40 le risque de développer la maladie. Mais le fait que cette maladie se développe dans les pays industrialisés fait largement suspecter le rôle de l’environnement. Les MICI apparaissent peu à peu dans les pays émergents et le suivi de migrants montre que le risque de développer la maladie rejoint celui de la population parmi laquelle ils vivent. Pollution, alimentation, hygiène, toutes les pistes sont ouvertes même si aucune étude ne permet à ce jour d’incriminer l’une ou l’autre. Seul facteur de risque avéré de la maladie de Crohn, le tabac mais qui, paradoxalement, protège de la rectocolite hémorragique. Douleurs et Diarrhée : 2 symptômes typiques Lors des poussées inflammatoires, les MICI se caractérisent le plus souvent par des douleurs abdominales, une diarrhée fréquente parfois sanglante ou encore une atteinte de la région anale (fissure, abcès) . Une MICI s’accompagne souvent de fatigue, de perte d’appétit et de fièvre, parfois de manifestations extra-intestinales : articulaires, cutanées, oculaires, hépatiques. Chez environ 20 % des patients, les crises sont sévères. Leur intensité peut imposer l’hospitalisation, l’arrêt de l’alimentation et un traitement par perfusion pendant quelques jours. L’évolution de la maladie et surtout la répétition des crises peut entraîner le rétrécissement (sténose) d’un segment intestinal atteint puis éventuellement une occlusion ou encore un abcès pouvant aboutir à une fistule, c’est-à-dire à l’ouverture d’un trajet anormal partant de l’intestin malade vers un autre organe. Ces complications nécessitent parfois une intervention chirurgicale. Enfin, les MICI sont associées à un risque accru de cancer colorectal, notamment lorsque des lésions sont présentes au niveau du côlon. Une étude danoise a montré que, par rapport à la population générale, le risque était multiplié par 2 à 2.5 après 10 ans d’évolution de la maladie. Plusieurs critères pour un diagnostic Le diagnostic des MICI repose sur plusieurs critères cliniques, biologiques, endoscopique et d’imagerie médicale . Aux symptômes, il faut ajouter un bilan biologique qui permet de détecter un syndrome inflammatoire et des carences nutritionnelles éventuelles. L’endoscopie digestive (iléo coloscopie) consiste à introduire une sonde équipée d’une caméra dans le système digestif du patient par voie naturelle et permet d’observer la présence de lésions et de pratiquer des prélèvements (biopsies) Un bilan radiologique complémentaire peut aider à estimer l’étendue des lésions (scanner, IRM...). Aucun test à lui seul ne permet de diagnostiquer fermement la maladie, il se fait sur un faisceau d’argument . Il ne faut pas confondre cette pathologie avec un syndrome de l’intestin irritable qui se traduit par des troubles digestifs mais par l’absence totale d’inflammation visible. Traitements de crise et traitements de fond Un objectif thérapeutique : la cicatrisation muqueuse. Schématiquement, on distingue le traitement de la poussée ou maladie active visant à mettre le plus rapidement possible le tube digestif au repos et à obtenir une rémission clinique et endoscopique, et le traitement d’entretien visant à maintenir le plus longtemps possible cette rémission profonde afin de prévenir les rechutes et les complications. Les divers médicaments peuvent être utilisés seuls, en association, ou être combinés à d’autres modalités thérapeutiques non médicamenteuses (nutrition - chirurgie). Le choix du médicament, son mode d’administration et les doses proposées, sont fonction de l’étendue des lésions, de l’intensité de la poussée, du profil évolutif de la maladie. Comme dans toute prescription, votre médecin se fonde sur l’équilibre bénéfice/risque du traitement L’objectif des traitements actuels est d’obtenir une rémission profonde c’est à dire une rémission clinique associée à une rémission endoscopique (ou cicatrisation muqueuse) et une rémission biologique (disparition du syndrome inflammatoire). Cet objectif n’est pas toujours atteint. Il est parfois nécessaire d’intensifier les traitements ou de changer de thérapeutique pour obtenir une meilleure réponse aux traitements. Une attention particulière est portée également sur les symptômes ressentis par les patients (appelés PRO pour Patient Reported Outcomes) afin de moduler les traitements. Les objectifs fixés de rémissions clinique et endoscopique nécessitent souvent une surveillance rapprochée des malades et une évaluation fréquente de la maladie pour juger de l’efficacité des traitements et proposer une optimisation (adaptation) thérapeutique. Il n’existe pas de traitement curatif des MICI, mais les médicaments actuels permettent toutefois un contrôle durable de la maladie, la mise en rémission des patients pour un grand nombre et une amélioration de la qualité de vie satisfaisante. Comme toute maladie inflammatoire chronique, la prise en charge repose sur un traitement à visée anti inflammatoire spécifique de fond ou d’entretien et un traitement de crise ou d’induction. Le premier est destiné à prévenir l’apparition des poussées et prolonger les phases de rémission. Le second permet d’écourter la durée des poussées inflammatoires, de limiter les symptômes et d’induire une rémission clinique. Lors des poussées, les 5-aminosalicylés (5-ASA) sont les anti-inflammatoires prescrits chez la majorité des patients en raison de leur bonne tolérance mais ils ne sont efficaces que dans la rectocolite hémorragique. Les corticoïdes arrivent en deuxième intention en cas d’inefficacité des 5-ASA ou de poussées modérées à sévères de la maladie. Ils sont plus efficaces mais présentent un certain nombre d’effets secondaires. Les thérapies avancées (biothérapies et petites molécules) peuvent être utilisées également pour enduire une rémission avant un relais en traitement de fond. En traitement de fond: les immunomodulateurs sont utilisés pour réguler l’immunité des patients et réduire l’inflammation à long terme. Il existe plusieurs molécules : azathioprine, mercaptopurine et méthotrexate les thérapies avancées comprenant les biothérapies (Anticorps spécifique Anti-TNF, anti interleukine, anti intégrine) arrivées en 1999 et récemment les petites molécules (anti-JAK et S1PR). Ces traitements de nouvelle génération bloquent spécifiquement des récepteurs et des facteurs d’inflammation impliqués dans la maladie. Par ailleurs, la fréquence et l’importance des diarrhées peuvent entraîner une carence nutritionnelle. Une supplémentation en fer, acide folique, zinc, magnesium, vitamines, etc. peut être nécessaire par voie orale ou intraveineuse et chez l’enfant, le recours à la nutrition entérale, exclusive ou en complément, est parfois nécessaire. Enfin, un traitement chirurgical est réservé aux malades résistants à un traitement bien suivi ou présentant des complications. Cette prise en charge conventionnelle doit s’accompagner d’une prise en charge holistique considérant l’individu dans sa globalité. L’environnement et notre hygiène de vie étant un facteur de risque de dysbiose. Importance d’une équipe spécialisée et d'un parcours de soin dédié Pour les patients en Occitanie, il est crucial de pouvoir compter sur une équipe médico chirurgicale spécialisée dans la prise en charge de la maladie de Crohn et de la RCH. Au sein du groupe CMAD nous assurons l’ensemble de la prise en charge des MICI du diagnostic au traitement. Au sein de la clinique Pasteur à Toulouse , le Dr Faure Patrick et ses associés offrent une expertise reconnue dans le diagnostic et le traitement de cette maladie complexe. Leur approche multidisciplinaire, associant médecine conventionnelle et complémentaire, traitements médicaux en thérapies avancées, chirurgie, soutien psychologique, prise en charge diététique, et suivi infirmier permet d'offrir des soins complets et personnalisés pour chaque patient. Nous proposons sur la clinique Pasteur aux patients porteurs de maladie de Crohn et de la RCH de nombreuses possibilités pour leur prise en charge : Une unité de perfusion de biothérapie et thérapies avancées dans un service dédié. Des parcours d’annonce de la maladie avec un livret d’annonce Des parcours de soins holistiques (prise en charge globale) avec évaluation diététique, psychologique, physique et autre selon besoin. Des parcours de soins de suivi de la maladie. Les parcours sont réalisés au sein d’un service dédié le Centre de soin de la maladie chronique de la clinique Pasteur (CSMC) . Le CSMC MICI permet en Hôpital de jour sur ½ journée de rencontrer psychologue, diététicienne, IDE de coordination, pharmacienne, tabacologue, éducateur APA (activité physique) médecin spécialiste permettant l’élaboration à l’issu du parcours d’un plan personnalisé de soins. Les patients peuvent participer au programme de surveillance Constel’action et Télésurveillance par IDE spécialisée dans le cadre du projet de l’article 51. un r éseau de suivi externe établi avec la clinique ou notre partenaire Digesteam à proximité de son domicile (diététicienne, psychologue, APA) En Hospitalisation à domicile ( HAD Pasteur ) si nécessaire pour des perfusions de Fer ou autre. Un programme d’ Éducation thérapeutique MICI : nous proposons sur une journée 4 fois/an, 5 ateliers pour les patients autour de leur pathologie afin de mieux comprendre leur maladie, de partager, d’acquérir des compétences. Les séances sont animées par une IDE et un médecin diplômé en éducation thérapeutique. Un Centre de recherche Clinique : nous proposons aux patients de participer à des études observationnelles ou de stratégie permettant l’accès à de nouveaux traitement ou suivi de leur maladie. Enfin notre équipe participe à de nombreux congrès nationaux et internationaux en tant qu’orateur ou membre des comités scientifiques de symposium. Nous comprenons les défis et les incertitudes auxquels vous pourriez être confrontés en vivant avec cette maladie inflammatoire chronique de l'intestin. C'est pourquoi nous avons rassemblé une série de ressources utiles pour vous aider à mieux comprendre et gérer votre condition (Voir l'onglet "Espace Patients : Tout savoir sur les MICI"). Sur cette page, vous trouverez une sélection de fichiers PDF téléchargeables couvrant divers aspects de la prise en charge des MICI (crohn / RCH). Ces ressources ont été soigneusement élaborées pour fournir des informations précieuses sur les symptômes, les traitements, l'alimentation adaptée, les droits sociaux, et bien plus encore. Que vous soyez nouvellement diagnostiqué ou que vous cherchiez des conseils supplémentaires pour gérer votre maladie, nos fichiers PDF sont conçus pour répondre à vos besoins. Voici un aperçu de ce que vous trouverez dans nos ressources : Des informations détaillées sur les symptômes des MICI et sur la manière de les reconnaître. Des explications sur les différents traitements disponibles, y compris les médicaments, les thérapies biologiques et les interventions chirurgicales. Des conseils pratiques sur l'alimentation et la nutrition pour gérer les symptômes et améliorer votre qualité de vie. Des informations sur vos droits en matière d'assurance et de sécurité sociale, ainsi que sur les aides financières disponibles. Des ressources spécifiquement conçues pour les parents et les familles, pour les aider à comprendre et à soutenir un enfant atteint de MICI Nous vous encourageons à explorer nos fichiers PDF et à les télécharger pour une référence future. Si vous avez des questions ou si vous avez besoin de plus d'informations, n'hésitez pas à nous contacter. Nous sommes là pour vous aider et pour vous accompagner dans votre parcours de santé avec votre MICI Contact sur la clinique Pasteur cmc@clinique-pasteur.com Références Source internet Inserm Télécharger le Guide patient HAS maladie de CROHN et RCH Liens Vous trouverez ci-dessous des liens permettant des informations complémentaires Commission MICI du CREGG My MICI Book Livret d’information destiné aux patients porteurs de MICI Groupe d’Étude Thérapeutique des Affections Inflammatoires du Tube Digestif Une Question ? Le Centre des Maladies de l’Appareil Digestif (CMAD) de Toulouse est dédié à la prise en charge des affections gastro-intestinales et hépatiques. Forts de notre expertise et de notre engagement envers l'excellence médicale, nous proposons une gamme complète de services diagnostiques et thérapeutiques pour répondre à vos besoins spécifiques. Notre équipe d’hépato-gastroentérologues expérimentés est à votre disposition pour vous accompagner tout au long de votre parcours de santé, de la prévention au traitement. Si vous avez des questions ou des doutes concernant votre état de santé, n’hésitez pas à fixer un rendez-vous de consultation avec l’un de nos spécialistes. Nous sommes là pour vous offrir les meilleurs soins possibles et vous aider à retrouver une meilleure qualité de vie. Contactez-nous dès aujourd'hui pour planifier votre consultation et bénéficier d'une prise en charge personnalisée et attentive. Contact

  • mici, droits sociaux et mici

    Droits sociaux et MICI (maladies inflammatoires chroniques de l’intestin) Droits Sociaux et MICI La couverture des frais médicaux et les maladies inflammatoires chroniques de l'intestin (MICI) L’assurance maladie La rectocolite ulcéro-hémorragique (RCH) et la Maladie de Crohn (MC) dans leurs formes « évolutives » figurent dans la liste des 30 affections de longue durée (ALD) établie par le Haut Comité de la Sécurité Sociale. Un assuré ou un de ses ayants droit qui se trouve atteint d’une affection figurant sur cette liste bénéficiera, pour les frais occasionnés exclusivement par le traitement de la maladie en question, de l’exonération totale du paiement du ticket modérateur. Cette exonération s’applique à la totalité des dépenses de santé, y compris les dépenses correspondant à l’achat de médicaments à « vignette bleue ou orange ». Dans le cas des MICI, le libellé de l’ALD comporte l’adjectif « évolutives », ce qui implique certaines contraintes liées à l’interprétation des textes. RCH – Le caractère évolutif de la maladie est défini par »l’existence d’une diarrhée et/ou d’un syndrome dysentérique le plus souvent muco-hémorragique parfois associé à des signes généraux et/ou à des manifestations systémiques ». C’est donc à l’occasion d’une poussée que doit être faite la demande de prise en charge à 100 % de la maladie, valable pour une période de 12 mois.Au terme de cette période, la situation doit être reconsidérée. La prise en charge sera reconduite pour une nouvelle période de 12 mois, excepté le cas où la maladie est restée silencieuse pendant les 6 derniers mois au moins, avec confirmation de l’amélioration clinique et endoscopique. Dans ce cas, l’exonération du ticket modérateur peut être suspendue, le coût du traitement d’entretien ne justifiant pas le maintien de l’exonération. Quant à la surveillance endoscopique des formes étendues et anciennes, elle ne pose pas de problème de remboursement puisqu’une coloscopie totale bénéficie, en raison de sa cotation, de l’exonération du ticket modérateur. Enfin, les patients qui ont subi une colectomie totale peuvent bénéficier d’une prise en charge à 100 % durant les 12 mois qui suivent l’intervention et tant que persistent des séquelles nécessitant des soins particuliers. Maladie de Crohn – Toute MC dont le diagnostic est parfaitement établi sur l’ensemble des données cliniques, morphologiques et histologiques, peut être prise en charge à 100 %. Seules les formes de la maladie, opérées et « blanchies » chirurgicalement, sans séquelles postopératoires nécessitant un traitement régulier, et sans récidive dans les 2 ans suivant la chirurgie, pourraient ne plus bénéficier de la prise en charge du ticket modérateur. Accéder au bénéfice de l’ALD – Le mécanisme est enclenché par le médecin traitant depuis la loi du 13 août 2004. Il rédigera le protocole de soin dans le cadre de ses nouvelles missions de suivi au quotidien de l’ensemble de vos pathologies et de la coordination des soins. Le protocole de soins est établi par le médecin traitant en concertation avec vous et le ou les autres médecins correspondants qui interviennent dans le suivi de votre maladie. Il est ensuite étudié par le médecin conseil de l’Assurance maladie qui donne son accord pour la prise en charge à 100 % d’une partie ou de la totalité des soins et des traitements liés à votre maladie. Lors d’une consultation suivante, votre médecin vous remettra le volet de soin qui vous est destiné, en vous apportant toutes les informations utiles. Le protocole de soin indique les soins et traitements nécessaires à la prise en charge et au suivi de votre maladie, et ceux qui sont pris en charge à 100 %. Le protocole indique également les praticiens qui vous suivent dans le cadre de votre maladie. Vous pourrez ainsi les consulter directement sans passer par votre médecin traitant. Le protocole se compose de 3 volets : un conservé par votre médecin traitant ; un pour le médecin conseil de l’Assurance maladie ; un troisième qui vous est destiné et que vous devrez signer et présenter à chaque médecin consulté pour bénéficier de la prise en charge à 100 % pour les soins liés à votre maladie. Le protocole de soin a une durée déterminée. Les assurances complémentaires santé La couverture à 100 % ne concernant que les actes médicaux directement liés à l’affection longue durée, il est tout à fait légitime pour un patient d’opter par ailleurs pour une assurance complémentaire, afin de bénéficier également d’une prise en charge du tarif opposable pour tout ce qui ne concerne pas l’ALD. Le choix des critères d’exclusion restant encore aujourd’hui à la discrétion des compagnies d’assurance, sous réserve que ces critères d’exclusion soient clairement indiqués sur les contrats qu’elles proposent, il est très difficile de trouver une compagnie d’assurance ou une mutuelle qui accepte de prendre en charge, dans le cadre d’une complémentaire santé et pour des tarifs non prohibitifs, des patients atteints d’une ALD. Il faudra donc ne pas hésiter à les mettre en concurrence afin d’obtenir les meilleurs tarifs ; il est par contre indispensable de les informer de l’ALD sous peine de voir le contrat déclaré nul pour dissimulation volontaire d’information. Signalons la mutuelle INTEGRANCE qui a été créée spécialement pour pallier les éventuelles carences des différentes compagnies et mutuelles vis-à-vis des personnes handicapées, ainsi que HANDI-ASSUR. Vie professionnelle et MICI La capacité à travailler d’un patient atteint de MICI est susceptible d’être perturbée par le retentissement sur son travail des divers épisodes cliniques qui seront cause d’arrêts de travail souvent itératifs. Mais signalons d’emblée que la simple absence pour maladie n’est pas un motif valable de licenciement d’un salarié. Son interlocuteur privilégié sera le Médecin du Travail (MdT) dont il est utile de rappeler qu’il est tenu à un secret professionnel absolu, y compris envers l’employeur et les collègues de travail. Son rôle est, à tout moment, de s’assurer de l’aptitude physique du salarié pour son poste de travail. Le salarié le rencontrera tout au long de sa carrière : à l’embauche , toute discrimination liée aux antécédents pathologiques est interdite par le Code du travail, tout au moins dans le secteur privé, car dans les Fonctions Publiques les critères sont différents ; tous les ans ou tous les 2 ans, pour une visite régulière dont bénéficie tout salarié ; après une absence pour maladie de plus de 21 jours ; en cas d’ absences répétées pour raison de santé ; mais aussi à sa demande , sans avoir besoin d’en référer à son employeur. Indemnisation des périodes de maladie Durant l’arrêt de travail, prescrit par le médecin traitant (MT) et dans la mesure où il a occupé un emploi salarié pendant 200 h au cours des 3 mois qui ont précédé l’arrêt de travail, l’assuré social perçoit, au-delà du 4ème jour d’arrêt, des indemnités journalières (I.J). ALD . Si l’arrêt de travail se prolonge au-delà de 6 mois l’assuré entre, sous conditions de durée de travail antérieur, dans la catégorie « maladie de longue durée ». Si ce n’est déjà fait, un protocole d’examen spécial (PIRES/ALD 30) sera rempli par le M.T. Dès lors, le Médecin Conseil de la Sécurité Sociale examinera périodiquement la situation, ce qui permettra la poursuite duversement des I.J. La finalité est de prévenir l’évolution vers l’invalidité. REPRISE . Si le patient n’a pas perdu les 2/3 de ses capacités de travail, le Médecin Conseil se prononcera sur l’aptitude au travail, puis le MdT se prononcera sur l’aptitude au poste de travail dans l’entreprise et le salarié effectuera sa reprise et le versement des I.J cessera. Le bénéfice de l’ALD 30 permet au salarié de bénéficier d’autorisations d’absences pour soins. MI-TEMPS THÉRAPEUTIQUE . Si le salarié est jugé apte à reprendre son travail mais reste fatigable, la reprise du travail peut se faire temporairement à « mi-temps thérapeutique » sur prescription du M.T et avec l’accord du MdT, du Médecin Conseil de la Caisse et de l’employeur. Dans ce cas, la perte de salaire est compensée par une indemnité. LICENCIEMENT . Si le salarié est déclaré par le MdT inapte à reprendre l’emploi qu’il occupait précédemment, l’employeur est tenu de lui proposer un autre emploi, adapté à ses capacités, au besoin après aménagements du poste de travail. Si le reclassement dans l’entreprise s’avère impossible, l’employeur procède au licenciement et le salarié perçoit l’indemnité légale ou conventionnelle. Si, au bout d’un mois, le salarié n’est pas reclassé dans l’entreprise ou n’est pas licencié, l’employeur est tenu de lui maintenir son salaire antérieur. Si la reprise du travail antérieur paraît impossible, la COTOREP (Commission Technique d’Orientation et de Reclassement Professionnel) recherche le moyen d’organiser une reconversion. Si le salarié atteint sa 60ème année alors qu’il est en maladie de longue durée, il peut demander sa retraite pour « inaptitude médicale ». Si la maladie de longue durée dure depuis 3 ans, l’invalidité est le plus souvent prononcée. Bien faire la distinction entre inaptitude (MdT) et invalidité (Caisses). Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin (MICI) et handicap Pension d’invalidité L’état d’invalidité est prononcé par le Médecin Conseil de la CPAM, lorsqu’il estime à 66 % l’amputation des potentialités de travail ou du gain du salarié. En fonction de divers paramètres socioprofessionnels et si les conditions administratives sont remplies, il procède au classement dans l’une des 3 catégories d’invalidité ouvrant droit à pension : Catégorie 1 : capable d’exercer une activité rémunérée : pension égale à 30 % du salaire moyen des 10 meilleures années (246 à 754 ?/mois en 2005) ; Catégorie 2 : incapable d’exercer une profession quelconque : pension égale à 50 % du salaire moyen (246 à 1258 ?) ; Catégorie 3 : nécessitant de plus l’assistance d’une tierce personne (majoration non imposable de 964 ?). La pension d’invalidité est attribuée à titre temporaire et il est possible de changer de catégorie d’invalidité en fonction de l’état de santé. – Si l’exercice de son activité entraîne des frais supplémentaires, liés à son handicap, l’intéressé peut déposer à la COTOREP une demande d’Allocation compensatrice pour frais professionnels. – Une allocation supplémentaire du fonds spécial d’invalidité peut être sollicitée, en dessous d’un certain niveau de ressources. – Les contentieux administratifs s’exercent devant la commission de recours amiable (CRA) puis éventuellement devant le Tribunal des Affaires de Sécurité Sociale (TASS), la Cour d’Appel puisla Cour de Cassation. – Les contentieux d’ordre médical s’exercent devant le Tribunal du contentieux de l’incapacité et de la tarification de l’assurance des accidents du travail (TCI), voire la Cour de Cassation. Allocation adulte handicapé Les patients qui ne peuvent bénéficier d’une pension d’invalidité, mais qui ont un handicap reconnu de 80 %, peuvent soumettre un dossier à la COTOREP pour avoir accès à cette allocation (599 ?)et à son complément. Ce niveau de handicap donne également droit à la Carte d’Invalidité et aux avantages (transport, fiscalité) qui lui sont attachés. Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin (MICI) et les enfants Dans chaque département siège une commission de 12 membres (CDES), compétente à l’égard de tous les enfants et adolescents handicapés et chargée d’évaluer la situation de chaque enfant et de déterminer les prises en charge et les aides qui conviennent. Elle peut avoir recours à un service d’aide à l’intégration scolaire (SAIS) voire à un service d’éducation spéciale et de soins à domicile (SESSAD). Elle attribue également l’Allocation d’Education Spéciale (AES) qui est destinée à aider les parents à faire face aux dépenses liées à l’éducation d’un enfant handicapé. Elle peut être saisie par les parents de l’enfant (formulaire/CAF) et leur délivre la carte d’invalidité. Droits découlant de la loi (2002 / 303) du 4 mars 2002 relative aux droits des malades Accès au dossier médical Par commodité, on regroupe sous le terme de « dossier » « les informations auxquelles est donné un support avec l’intention de les conserver », notamment comptes rendus de consultations, d’hospitalisation, d’examens, d’interventions, « et qui ont contribué à l’élaboration et au suivi du diagnostic et du traitement » ; en sont exclues les « notes personnelles » du médecin. La Loi stipule que toute personne a désormais accès aux informations concernant sa santé : il convient d’en faire la demande auprès du médecin ou de l’établissement : satisfaction doit être donnée dans un délai compris entre 2 et 8 jours, qui est porté à 2 mois si les informations remontent à 5 ans et plus. En fonction du contenu du dossier, il peut être conseillé, voire exigé, que l’accès a posteriori soit accompagné par un médecin. Bien entendu, le droit d’accès a posteriori au dossier n’enlève rien au devoir de communiquer régulièrement avec son patient. « L’information fait partie intégrante de la relation de soins ». Information et consentement Aucun acte médical, ni traitement, ne peut être pratiqué sans le consentement éclairé de la personne. Inversement, le médecin a le devoir de tout mettre en oeuvre pour convaincre le malade de l’intérêt des soins envisagés. Mais il a l’obligation de respecter le refus éventuel du patient. L’information doit être délivrée au cours d’un entretien individuel et en langage simple. Elle concerne les investigations, leurs risques normalement prévisibles, les conséquences d’un refus, les traitements et éventuellement leur urgence ainsi que leur coût. La Loi introduit la notion nouvelle de « personne de confiance » que le patient désigne par écrit et qui sera consultée au cas où il serait hors d’état d’exprimer sa volonté. Responsabilité médicale La Loi en a prévu 3 types : La responsabilité pour faute . Les professionnels de santé n’ont, sauf exceptions, qu’une obligation de moyens et ne « sont responsables des conséquences dommageables d’actes de prévention de diagnostic et de soins qu’en cas de faute ». La preuve de la faute suppose de démontrer que tout n’a pas été mis en oeuvre pour atteindre le résultat espéré. La responsabilité sans faute . Les fabricants et les établissements de soins sont responsables des conséquences provoquées par les produits utilisés. Une faute n’a pas à être démontrée mais seulement le rapport entre le produit incriminé et le dommage. La responsabilité par présomption irréfragable . Les établissements de soins et les médecins sont alors tenus à une obligation de résultat. C’est le cas des infections nosocomiales, contractées soit en hospitalisation soit en ambulatoire. Il y a présomption de responsabilité, sauf s’il est prouvé que cette infection est due à une cause étrangère aux soins donnés. Secret médical La loi rappelle que « toute personne prise en charge par un professionnel, un établissement, un réseau de santé ou tout autre organisme participant à la prévention et aux soins a droit au respect de sa vie privée et au secret des informations la concernant ». Le code de déontologie en définit l’étendue dans son article 4, dont la violation constitue un délit.Le secret ne supporte que quelques exceptions : dans l’intérêt direct du patient, telle que la délivrance des certificats prévus par les textes ; ou dictées par la Loi, dont la déclaration d’Accident du Travail ou de Maladie Professionnelle. Pour en savoir plus, quelques sites Internet www.service-public.fr www.handicap.gouv.fr www.caf.fr www.afa.asso.fr www.handroit.com www.integrance.fr www.handi-assur.com Courtier en assurance avec risque aggravé de santé | Handi-Assur Courtier spécialisé en assurance de prêt avec risque aggravé de santé, Handi-Assur apporte depuis maintenant 15 ans des solutions d'assurance crédit adaptées. droits_sociaux_et_mici .pdf Download PDF • 165KB

  • Cancérologie digestive Toulouse | Centre des Maladies de l'Appareil Digestif

    La cancérologie digestive et les séances de chimiothérapie sont pratiquées dans les 2 établissements (à Toulouse et à Quint Fonsegrives) en collaboration avec nos confrères oncologues. Cancérologie et dépistage La cancérologie digestive et les séances de chimiothérapie sont pratiquées dans les 2 établissements en collaboration avec nos confrères oncologues. Afin de proposer le meilleur traitement, les dossiers sont systématiquement discutés en réunion de concertation pluridisciplinaire ( RCP ) comprenant une équipe médicale d’au moins 3 spécialistes de la pathologie cancéreuse : chirurgien digestif, oncologue médicaux, radiothérapeute, gastro-entérologue, anatomopathologiste et radiologue. A l’issu de cette RCP une proposition thérapeutique est établie et se base : sur les référentiels régionaux de pratique si le cas présenté relève d’un traitement standard sur une concertation entre les différents spécialistes lorsque plusieurs options thérapeutiques sont envisageables Cet avis est enregistré dans le dossier de cancérologie Oncomip et sera expliqué au patient lors d’une consultation spécifique qui fait partie du dispositif d’annonce. Le suivi de votre cancer et selon le protocole de traitement établi se fera conjointement avec votre gastro-entérologue, votre oncologue et ou le radiothérapeute, le chirurgien digestif. Les traitements par chimiothérapie peuvent être administrés soit au cours d’une hospitalisation classique, soit le plus souvent en hôpital de jour. Les modalités de la prise en charge ainsi que le type de traitement (chimiothérapie, radiothérapie, traitement chirurgical, essai thérapeutique…) sont discutés à l’occasion de réunion bimensuelle d’oncologie digestive Vous trouverez ci-dessous des liens permettant des informations complémentaires. Fédération française de cancérologie digestive Institut national du cancer < Retour La cancérologie digestive et les séances de chimiothérapie sont pratiquées dans les 2 établissements en collaboration avec nos confrères oncologues. Afin de proposer le meilleur traitement, les dossiers sont systématiquement discutés en réunion de concertation pluridisciplinaire ( RCP ) comprenant une équipe médicale d’au moins 3 spécialistes de la pathologie cancéreuse : chirurgien digestif, oncologue médicaux, radiothérapeute, gastro-entérologue, anatomopathologiste et radiologue. A l’issu de cette RCP une proposition thérapeutique est établie et se base : sur les référentiels régionaux de pratique si le cas présenté relève d’un traitement standard sur une concertation entre les différents spécialistes lorsque plusieurs options thérapeutiques sont envisageables Cet avis est enregistré dans le dossier de cancérologie Oncomip et sera expliqué au patient lors d’une consultation spécifique qui fait partie du dispositif d’annonce. Le suivi de votre cancer et selon le protocole de traitement établi se fera conjointement avec votre gastro-entérologue, votre oncologue et ou le radiothérapeute, le chirurgien digestif. Les traitements par chimiothérapie peuvent être administrés soit au cours d’une hospitalisation classique, soit le plus souvent en hôpital de jour. Les modalités de la prise en charge ainsi que le type de traitement (chimiothérapie, radiothérapie, traitement chirurgical, essai thérapeutique…) sont discutés à l’occasion de réunion bimensuelle d’oncologie digestive Vous trouverez ci-dessous des liens permettant des informations complémentaires. Fédération française de cancérologie digestive Institut national du cancer Une Question ? Le Centre des Maladies de l’Appareil Digestif (CMAD) de Toulouse est dédié à la prise en charge des affections gastro-intestinales et hépatiques. Forts de notre expertise et de notre engagement envers l'excellence médicale, nous proposons une gamme complète de services diagnostiques et thérapeutiques pour répondre à vos besoins spécifiques. Notre équipe d’hépato-gastroentérologues expérimentés est à votre disposition pour vous accompagner tout au long de votre parcours de santé, de la prévention au traitement. Si vous avez des questions ou des doutes concernant votre état de santé, n’hésitez pas à fixer un rendez-vous de consultation avec l’un de nos spécialistes. Nous sommes là pour vous offrir les meilleurs soins possibles et vous aider à retrouver une meilleure qualité de vie. Contactez-nous dès aujourd'hui pour planifier votre consultation et bénéficier d'une prise en charge personnalisée et attentive. Contact

  • Dr Matthieu GUIVARCH | Gastro-entérologue Toulouse Clinique Pasteur

    Dr Matthieu GUIVARCH, Gastro-entérologue à Toulouse, Clinique Pasteur. Clinique Pasteur Dr Matthieu GUIVARCH Hépatologue et Gastro-entérologue Toulouse Clinique Pasteur 05 62 21 16 02 smgastro@clinique-pasteur.com Fixer un rendez-vous Retour Examens pratiqués Endoscopies : gastroscopie et coloscopie Cathétérisme biliaire et pancréatique (CPRE) Echo-endoscopie Radiofréquence oesophagienne (Endobrachyoesophage) Vidéo capsule Evaluation non invasive de la fibrose hépatique par Supersonic ® / Fibroscan ® Titres et Diplômes Ancien interne des hôpitaux de Toulouse Ancien chef de clinique des Universités- Assistant des Hôpitaux CHU Purpan, Toulouse, Diplôme Inter Universitaire de Colo-Proctologie – Paris Centres d’intérêts et Expertises Hépato gastro-entérologie Endoscopies diagnostiques et interventionnelles (mucosectomies, prothèses digestives…) Maladies inflammatoires chroniques intestinales (MICI) Maladies du foie : hépatites virales, surcharge en fer, perturbation du bilan hépatique (Augmentation des transaminases, augmentation des Gamma GT…) Vidéocapsules Fonctions Professionnelles et sociétés savantes Membre de la Société Française d’Endoscopie Digestive (SFED ) Membre de la Société Nationale Française de Gastro-Entérologie (SNFGE ) Membre du CREGG Commission Hépatologie (Club de Réflexion des Cabinets et Groupes d’Hépato‑Gastroentérologie) < Retour

  • Lieux d’intervention | CMAD - Centre des Maladies de l’Appareil Digestif

    Lieux d'intervention du CMAD : Centre des Maladies de l'Appareil Digestif. Groupe de 13 hépato-gastroentérologues anciens Chef de clinique exerçant sur 2 Polycliniques Toulousaines : Clinique La Croix Du Sud et Clinique Pasteur. Lieux d'intervention Cliniques Toulousaines renommées Au CMAD, notre objectif est de mutualiser nos connaissances techniques et scientifiques pour garantir une prise en charge de pointe et une continuité des soins 24h/24. Nos hépato-gastroentérologues interviennent dans deux établissements renommés de Toulouse et de la région Occitanie, chacun équipé des technologies les plus avancées et offrant un environnement propice à l'innovation médicale. Nous mettons un point d'honneur à offrir une expertise et une prise en charge complètes, englobant le diagnostic, le traitement et le suivi post-thérapeutique. Grâce à notre panel complet de services, nous assurons à chaque patient une approche personnalisée et un accompagnement tout au long de son parcours de soin, reflétant notre engagement envers l'excellence et l'innovation en soins gastro-entérologiques. Clinique Pasteur À Toulouse Clinique La Croix Du Sud À Quint Fonsegrives Clinique Pasteur Pavillon Îlot Porte 7 Gastro-entérologie 5ème étage Cabinet 52 45 Av. de Lombez BP 27617 - 31076 Toulouse Cedex 03 (31300 Toulouse) Secrétariat : 05 62 21 16 02 smgastro@clinique-pasteur.com Horaires d'ouverture : Lundi : 09h00 - 18h30 Mardi : 09h00 - 18h30 Mercredi : 09h00 - 18h30 Jeudi : 09h00 - 18h30 Vendredi : 09h00 - 18h Hépato-gastroentérologues Clinique Pasteur Toulouse Dr Hélène Blasco Perrin Dr Olivier Croizet Dr Patrick Faure Dr Maeva Guillaume Dr Matthieu Guivarch Dr Pierre-Emmanuel Hervieu Dr Olivier Rouquet Clinique La Croix du Sud Centre de Consultations La Croix du Sud Gastro-entérologie 5ème étage B BAL 501 52 bis chemin de Ribaute 31130 Quint-Fonsegrives Secrétariat : 05 32 02 71 60 gastro1lcds@gmail.com Horaires d'ouverture : Lundi : 09h00 - 18h30 Mardi : 09h00 - 18h30 Mercredi : 09h00 - 18h30 Jeudi : 09h00 - 18h30 Vendredi : 09h00 - 18h Hépato-gastroentérologues La Clinique Croix du Sud Dr Pierre Berlioux Dr Emmanuel Dupuis Dr Thibault Kaighobadi Dr Alexia Laroyenne Dr Adeline Pointreau Dr Estelle Sirach Dr Pierre Toulemonde

  • Les examens | CMAD - Centre des Maladies de l'Appareil Digestif

    Les examens du CMAD : Centre des Maladies de l'Appareil Digestif. Groupe de 13 hépato-gastroentérologues anciens Chef de clinique exerçant sur 2 Polycliniques Toulousaines : Clinique La Croix Du Sud et Clinique Pasteur. Les examens Bouton Titre Bouton Titre Bouton Titre

  • Les Examens du CMAD : Centre des Maladies de l’Appareil Digestif

    Les examens Explorations ano-rectales En savoir + Maladie de Crohn Toulouse En savoir + Corticoïdes et MICI En savoir + Explorations fonctionnelles En savoir + Fiches régimes En savoir + Cancérologie En savoir + Assurances et MICI En savoir + Enfants et Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin - MICI En savoir + Voyages, Vaccinations et MICI En savoir + Recto Colite Hémorragique (RCH) à Toulouse En savoir + Cancérologie et dépistage En savoir + Alimentation et MICI En savoir + Proctologie En savoir + Cancer du colon En savoir + Troubles de la statique du périné En savoir + Urgence hémoccult En savoir + Gastro-entérologie En savoir + Droits Sociaux et MICI En savoir + Explorations de l’oesophage : PH métrie et manométrie En savoir + Tout savoir sur les MICI En savoir + Hépatologie En savoir + Prise en charge de l’obésité par endoscopie : Ballon intra-gastrique ou Endosleeve En savoir + Endoscopies et MICI En savoir + MICI : maladies inflammatoires chroniques de l’intestin En savoir + Livret d’information destiné aux patients porteurs de MICI En savoir + Ma MICI : Fonder une famille En savoir + Qu'est-ce qu'une MICI En savoir + Endoscopies digestives En savoir + La Gastroscopie En savoir + La Coloscopie En savoir + La Vidéocapsule de l'intestin grêle En savoir + L’Entéroscopie double ballon En savoir + Dissection sous muqueuse endoscopique En savoir + Radiofréquence Endobrachyoesophage En savoir + L’Echo-endoscopie En savoir + CPRE ( Cholangio-Pancréatographie Rétrograde Endoscopique) ou Endoscopie des voies biliaires En savoir + Drainages biliaires En savoir + Cholangioscopie En savoir + Elastométrie hépatique (Fibroscan°, Supersonic°) En savoir + La manométrie oesophagienne En savoir + pH Métrie En savoir +

  • Les domaines d'activité | CMAD Centre des Maladies de l’Appareil Digestif

    Domaines d'expertise L’hépato-gastro-entérologie est une spécialité qui diagnostique (si besoin par l’endoscopie : coloscopie, gastroscopie…) et traite les maladies digestives : maladie de l’œsophage et de l’estomac maladie du pancréas maladies de voies biliaires et de la vésicule maladies du foie (domaine de l’hépatologie) maladies de l’intestin grêle – maladies du colon maladies de l’anus (domaine de la proctologie) mais aussi les états de dénutrition ou de surpoids Toutes ces pathologies sont prises en charge par les hépato-gastro-entérologues avec parfois la collaboration de chirurgiens digestifs ou d’oncologues lors de la prise en charge de cancers. Le domaine de notre spécialité est vaste et peut nécessiter de nombreuses investigations, la discipline se situant à la frontière d’autres disciplines médicales ou chirurgicales. Les symptômes digestifs peuvent parfois être le mode de révélations de maladies non digestives, il est donc nécessaire d’avoir une approche globale du patient pour établir au mieux le diagnostic. Toute cette complexité et diversité de la spécialité nécessite parfois la sur-spécialisation des gastro-entérologues dans certains domaines (proctologie, hépatologie, MICI, endoscopie interventionnelle…). Stéatose Hépatique à Toulouse - un parcours de soins dédié En savoir + Urgence hémoccult En savoir + Tout savoir sur la Stéatose Hépatique En savoir + Les examens En savoir + Endoscopies digestives En savoir + MICI : maladies inflammatoires chroniques de l’intestin En savoir + Hépatologie (maladies du foie) En savoir + Cancérologie et dépistage En savoir + L’Endométriose Digestive En savoir + Prise en charge de l’obésité : Ballon gastrique ou Endosleeve à Toulouse En savoir +

  • Les Pathologies | CMAD Centre des Maladies de l'Appareil Digestif

    Les MICI Maladies Inflammatoires Chroniques de l'intestin Recto Colite Hémorragique (RCH) à Toulouse En savoir + Maladie de Crohn Toulouse En savoir + Radiofréquence Endobrachyoesophage En savoir + Prise en charge de l’obésité par endoscopie : Ballon intra-gastrique ou Endosleeve En savoir + Qu'est-ce qu'une MICI En savoir + CPRE ( Cholangio-Pancréatographie Rétrograde Endoscopique) ou Endoscopie des voies biliaires En savoir + Dissection sous muqueuse endoscopique En savoir + Drainages biliaires En savoir + Cholangioscopie En savoir + Urgence hémoccult En savoir + Troubles de la statique du périné En savoir + Explorations ano-rectales En savoir +

  • Les conseils et régimes du CMAD - Centre des Maladies de l'Appareil Digestif

    Les conseils-régimes Bienvenue sur notre page dédiée aux conseils-régimes, conçue pour vous offrir des recommandations alimentaires adaptées à diverses conditions médicales. Chez CMAD, nous comprenons l'importance d'une alimentation équilibrée et spécifique pour améliorer votre santé et bien-être. Nos fiches de recommandations alimentaires sont là pour vous guider dans vos choix nutritionnels et vous aider à gérer efficacement votre condition. Alimentation normale et en cas de surpoids Télécharger Régime sans résidus Télécharger Confort intestinal Télécharger Dyspepsie et colopathie Télécharger Constipation Télécharger Régime en cas de diarrhées Télécharger Régime sans gluten Télécharger Nutrition et Cancer Télécharger Régime Reflux gastro-œsophagien Télécharger

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