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  • mici, endoscopies et mici

    Certains examens complémentaires sont indispensables pour faire le diagnostic de MICI (Maladies Inflammatoires Chroniques de l’Intestin), pour juger de la sévérité de la poussée, rechercher ou dépister des complications, c’est le cas des examens endoscopiques. Endoscopies et MICI Endoscopies et les Maladies Inflammatoires Chroniques de l’Intestin (MICI) Certains examens complémentaires sont indispensables pour faire le diagnostic de MICI (Maladies Inflammatoires Chroniques de l’Intestin), pour juger de la sévérité de la poussée, rechercher ou dépister des complications, c’est le cas des examens endoscopiques. On entend par endoscopie, l’ensemble des examens utilisant des endoscopes : appareils munis d’un système d’éclairage qui peuvent être introduits dans un organe creux et en permettre l’exploration. On peut, à l’aide de ces appareils, regarder directement à l’intérieur de tous les organes, et en particulier pour le tube digestif de l’osophage, de l’estomac, du duodénum, de l’intestin grêle et du côlon, y recueillir des photos, des films. Grâce à la présence de canaux opérateurs, il est possible d’introduire au travers de l’endoscope des pinces, des anses, des aiguilles, des cathéters, des ballons de dilatations qui permettent la respectivement la réalisation de biopsies (prélèvements), l’ablation de polypes, l’injection de substances, de colorations,de traitement de sténoses (rétrécissements). Ces appareils fonctionnent avec des systèmes vidéo : l’appareil étant muni à son extrémité d’un système de caméra miniaturisé à CCD comparable à celui d’utilisé dans les caméras vidéo. La coloscopie constitue l’examen clef du diagnostic de MICI. Elle va permettre de visualiser l’ensemble du côlon (gros intestin) et la dernière partie de l’intestin grêle (partie terminale du petit intestin)e, de réaliser des prélèvements, éventuellement de faire des photos. Comment réaliser un endoscopie de bonne qualité ? Une préparation est nécessaire pour nettoyer le côlon. Une excellente préparation sera le garant d’un examen de qualité et la coopération du patient est donc indispensable. Il faut suivre un régime sans résidus les trois jours précédant l’examen, c’est-à-dire exclure les fruits, les légumes et le pain. Dans les heures qui précèdent la coloscopie, le patient absorbera une solution purgative. La préparation doit être effectuée correctement pour que le médecin puisse réaliser un examen complet et de bonne qualité. La coloscopie s’effectue sous anesthésie de courte durée. Il est donc indispensable d’avoir une consultation de pré-anesthésie, au plus tard 48 heures avant l’examen, sauf en cas d’urgence. L’examen est réalisé en hospitalisation de jour. Le patient arrive à jeun (sans avoir bu, mangé et fumé depuis au moins 6 heures). La coloscopie dure entre 15 et 30 minutes. Un repos de quelques heures après l’examen est nécessaire avant de quitter le centre d’examen. Le patient ne doit pas conduire de véhicule pendant les 24 heures qui suivent. Il est souhaitable de repartir accompagné. A quoi sert ce premier examen ? La coloscopie permet au gastro-entérologue de confirmer le diagnostic de MICI et d’en préciser la nature : Maladie de Crohn (MC) Rectocolite hémorragique (RCH). Sur un compte rendu détaillé, il va décrire les lésions (ulcérations, rétrécissements, polypes.) l’étendue de la maladie (est-elle limitée ou étendue à tout le côlon, touche-t-elle la partie terminale de l’intestin grêle ?) Dans la majorité des cas, ces éléments permettent de préciser la nature de la MICI (maladie de Crohn ou RCH), mais parfois cela est plus difficile et les prélèvements (biopsies), que le médecin aura réalisés à l’aide de pinces et qu’il adressera au laboratoire d’anatomo-pathologie, permettront de confirmer le diagnostic. Grâce à cet examen un traitement adapté sera mis en route. En dehors du diagnostic initial de MICI, faut-il faire d’autres coloscopies ? La coloscopie devra la plupart du temps être renouvelée en fonction des troubles digestifs mais elle ne sera pas systématique lors de chaque poussée. Mais elle sera indispensable si le médecin suspecte une complication, en cas d’absence de réponse au traitement médical, après chirurgie pour juger de l’intérêt d’un traitement préventif des rechutes (immunosuppresseurs), avant la mise en route d’un traitement par anti-TNF pour éliminer une sténose (rétrécissement du côlon ou de l’intestin grêle), avant une intervention chirurgicale, Parfois la coloscopie sera réalisée pour dilater des sténoses et éviter une intervention chirurgicale. Des coloscopies sont-elles nécessaires lorsque tout semble aller bien ? La coloscopie est essentielle également dans la prévention du cancer colo-rectal même en l’absence de tout symptôme. Le cancer colo-rectal est le cancer digestif le plus fréquent et les malades atteints de MICI ont un risque accru et précoce. Ce risque est d’autant plus élevé que la maladie est étendue et ancienne même si elle est en rémission grâce au traitement. Avant d’atteindre le stade de cancer les lésions passent par le stade d’inflammation puis de dysplasie (Modification progressive des caractéristiques de normalité d’une cellule. Perte par exemple de la paroi, ou de certaines propriétés de fabrication, de sécrétion etc.). La surveillance par coloscopie, réalisée en dehors des poussées de la maladie, permet de dépister ces dysplasies. Au cours de la coloscopie, des biopsies systématiques sont réalisées dans ce but. De nouvelles techniques sont apparues pour aider à la recherche de ces dysplasies comme la chromo-endoscopie. On répand dans le côlon, au cours de la coloscopie, un colorant, le bleu de méthylène, par un canal opérateur pour colorer la paroi colique, les zones anormales dites dysplasiques apparaissent, permettant ainsi de cibler les biopsies. Le risque d’apparition d’une dysplasie augmente avec : l’ancienneté de la maladie le jeune âge au moment du diagnostic l’étendue de la maladie Quand faut-il débuter cette surveillance ? En cas d’atteinte de l’ensemble du côlon, la surveillance systématique doit débuter à partir de la 8° année d’évolution puis sera répétée à intervalles réguliers. En cas de maladie limitée à la partie gauche du côlon, la surveillance s’effectue, de la même manière, à partir de la 15° année. Par contre qu’elle que soit l’étendue de la maladie, l’existence d’une cholangite sclérosante associée (maladie inflammatoire des voies biliaires), incite à débuter la surveillance immédiatement. La découverte d’une dysplasie, conduira dans la plupart des cas à l’indication d’une colectomie (ablation du côlon), afin d’éviter l’apparition d’un cancer. Peut-on réaliser d’autres explorations endoscopiques digestives ? La maladie de Crohn pouvant toucher tout le tube digestif il est parfois nécessaire de réaliser une exploration de l’osophage, de l’estomac, et du duodénum : on réalise alors une endoscopie à l’aide d’un appareil introduit par la bouche. L’entéroscopie utilise également un endoscope introduit par la bouche permettant l’exploration d’une partie de l’intestin grêle, il est rarement réalisé au cours des MICI. La vidéocapsule endoscopique est une gélule contenant une caméra vidéo miniaturisée et une source lumineuse. Avalée, elle progresse naturellement. La caméra permet d’enregistrer des images vidéos, transmises par télémétrie à un enregistreur externe que le patient porte à la ceinture. La capsule est éliminée dans les selles au bout de 24 heures environ. Elle permetd’explorer en totalité l’intestin grêle mais il n’est pas possible de réaliser des prélèvements et, actuellement, elle ne peut pas examiner le côlon. Elle est contre indiquée en cas de sténose mais peut être utile pour différencier une maladie de Crohn et une RCH (dans cette dernière il n’y a jamais de lésion sur l’intestin grêle) ou pour établir l’étendue des lésions d’une maladie de Crohn. Que doit-on retenir ? La coloscopie est indispensable pour faire le diagnostic de MICI, pour évaluer l’étendue et la gravité des lésions afin d’adapter le traitement. Une surveillance endoscopique est nécessaire après quelques années d’évolution afin de dépister des lésions pré-cancéreuses et ainsi de prévenir l’apparition d’un cancer colo-rectal. endoscopies_et_mici .pdf Download PDF • 151KB

  • mici, ma mici fonder une famille

    Vous désirez fonder une famille mais vous souffrez d’une maladie inflammatoire chronique de l’intestin (MICI, maladie de Crohn ou Rectocolite Hémorragique) ou votre partenaire en est atteint. Ma MICI : Fonder une famille La grossesse et les Maladies Inflammatoires Chroniques de l'Intestin (MICI) Vous désirez fonder une famille mais vous souffrez d’une maladie inflammatoire chronique de l’intestin (MICI, maladie de Crohn ou Rectocolite Hémorragique) ou votre partenaire en est atteint. Cette décision est probablement l’une des plus importantes à prendre dans votre vie mais vous vous posez de nombreuses questions : Puis-je tomber enceinte ? Quelles sont les répercussions de fonder une famille sur la santé ? Dois-je continuer à prendre mes médicaments pendant ma grossesse ? Mes enfants seront ils atteints d’une MICI ? Comment vont se dérouler ma grossesse et mon accouchement ? Quelques précautions sont de mise, mais il est possible d’envisager et de mener à bien une grossesse sans véritable difficulté. Nous espérons que cette brochure vous aidera à répondre simplement à la plupart des questions que vous vous posez. La fertilité du couple est-elle modifiée par les Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin (MICI) ? La fertilité des femmes atteintes de MICI n’est pas modifiée, sauf durant les périodes d’activité de la maladie, c’est-à-dire en poussée. En période de poussée de la maladie, souvent à l’occasion d’un amaigrissement important avec aménorrhée (absence des règles), la fécondité peut être réduite. La bonne nouvelle en revanche c’est qu’en période de rémission les études ont montré que la fécondité est sensiblement identique à celle des autres femmes non malades ! Il est donc déconseillé d’envisager une conception pendant une période d’activité importante de la MICI. Les interventions chirurgicales antérieures ou les récidives répétées sont susceptibles d’entraîner des adhérences (phénomènes cicatriciels à l’intérieur de l’abdomen) et de rendre plus aléatoire la fécondation. Néanmoins, la seule chirurgie actuellement responsable d’un taux inférieur de fécondité est « l’anastomose iléo-anale avec poche ». Pour cette raison, il est essentiel que vous en parliez avec votre médecin si vous envisagez un tel projet (planification familiale). Et du côté du père ? Pendant une poussée active de la MICI, il peut présenter un nombre réduit de spermatozoïdes qui reviendra à la normale en période de rémission. Une alimentation équilibrée est également nécessaire. Il devra arrêter certains traitements 3 mois avant de concevoir un enfant car ils peuvent entraîner une diminution du nombre de spermatozoïdes et parfois une malformation des spermatozoïdes. Il faudra donc vérifier avec son médecin que le traitement est compatible avec le désir de grossesse et envisager le cas échéant un changement de thérapeutique pour permettre une conception dans de bonnes conditions. Cette diminution du nombre de spermatozoïdes est réversible en deux mois après l’arrêt du traitement (Pour plus de renseignement, il faudra en discuter avec votre médecin). Chez un homme ayant subi une amputation du rectum, il arrive exceptionnellement qu’une impuissance ou des problèmes d’éjaculation rétrograde s’installent (éjaculation du sperme dans la vessie). Les Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin (MICI) influencent-elles la grossesse ? La contraception est nécessaire quand le traitement en cours comporte un médicament non autorisé pendant la grossesse. Lorsque la maladie est active au moment de la conception, les fausses couches sont fréquentes ainsi que le risque de prématurité et d’insuffisance pondérale à la naissance. Il est donc nécessaire de ne pas envisager de grossesse tant que la maladie n’est pas parfaitement stabilisée et c’est pourquoi il est important de bien suivre le traitement de la MICI. Lorsque la conception survient en période de quiescence (stabilisation de la maladie) de la maladie et qu’une poussée ne survient pas au cours de la grossesse, la patiente doit être certes suivie de façon attentive et plus étroite que de coutume (en particulier pendant le dernier trimestre) mais, dans la majorité des cas, grossesse et accouchement se déroulent normalement. Un risque possible de prématurité et d’hypotrophie (insuffisance pondérale) a été rapporté au cours de la MC (maladie de Crohn) et de la RCH. Il convient de signaler qu’aucune étude n’a montré un risque majoré de malformation (liée à la MICI) chez le nouveau-né. Enfin, il peut arriver que votre MICI entre en phase active pendant la grossesse, mais les risques ne semblent pas plus élevés que si vous êtes en phase de stabilisation. La grossesse influence-t-elle la MICI ? Lorsque la maladie est active au moment de la conception : la MICI peut s’aggraver (1/3 des cas), rester stable (1/3 des cas) ou s’améliorer jusqu’à l’accouchement (1/3 des cas). Il est donc logique de ne pas envisager de conception tant que la MICI reste évolutive. Si la maladie est inactive au moment de la conception, le risque de rechute pendant la grossesse est de l’ordre de 20 à 25 %. Lorsqu’une rechute survient, c’est le plus souvent au cours du premier trimestre de la grossesse. Le problème est celui du traitement médicamenteux, il se résout au cas par cas et doit faire l’objet de discussions entre la patiente (son partenaire), le gastro-entérologue et le gynécologue. Au mieux, cette discussion doit être abordée avant la conception afin de prendre la bonne décision avant la grossesse. En règle générale : s’il existe un traitement d’entretien de la MICI lorsque la grossesse est déclarée, il est préférable de le maintenir (sauf si ce traitement est contre-indiqué pendant la grossesse) ; si une poussée survient au cours de la grossesse, la plupart des études ont montré que les thérapeutiques de première ligne pouvaient être utilisées sans risque. Existe-t-il un risque de transmission des maladies inflammatoires chroniques de l'intestin (MICI) à l’enfant ? Ce risque existe mais il est faible, de l’ordre de 1 % si l’un des parents est atteint mais il s’élève à 30 % si les 2 parents sont atteints. Les tests génétiques, utilisés pour la recherche, n’ont aucune utilité en pratique quotidienne. En effet, qu’ils soient positifs ou négatifs, ils ne permettent pas de prévoir si la maladie va ou non se développer chez l’enfant. De plus, il n’existe pas actuellement de traitement préventif. Je suis enceinte : que dois-je faire ? Tout d’abord, félicitations et voici quelques recommandations : Parlez-en avec votre gastro-entérologue rapidement ; Ne changez rien à votre traitement sans son accord ; Assurez-vous de bien vous nourrir ; Fumer avant, pendant ou après la grossesse est une mauvaise idée. Le tabac est responsable d’insuffisance pondérale (diminution anormale du poids du corps) chez le foetus, de la manifestation ou de l’aggravation de la maladie de Crohn. Profitez de ce moment pour vous sevrer définitivement ! Il vous faut garder à l’esprit qu’il y a plus de femmes qui feront l’expérience d’une merveilleuse grossesse menée à terme que de femmes qui éprouveront des problèmes ; Profitez de ce moment d’attente qui précède la naissance pour préparer la venue de votre bébé en toute sérénité. L’accouchement par voie naturelle est-il possible ? Il est souvent préférable d’éviter l’épisiotomie en cas de maladie de Crohn en raison de la possibilité de fistule. La présence de fistule ou d’abcès dans la région périnéale doit conduire à envisager une césarienne compte tenu des risques infectieux et parfois d’aggravation de la maladie périnéale. Néanmoins, cette appréciation reste à évaluer par le gynécologue obstétricien. En cas d’anastomose iléo-anale, il n’y a pas de contre-indication formelle à un accouchement par voie naturelle ; les modalités de l’accouchement ne doivent être décidées que par le gynécologue obstétricien. Est-ce que je peux allaiter mon enfant ? L’allaitement ne modifie pas l’évolution de la MICI ; Les enfants qui reçoivent un allaitement maternel auraient un moindre risque de MICI. Certains médicaments pris par la mère passent dans le lait maternel, il faudra donc en discuter avec votre médecin ; Il n’y a pas lieu de paniquer. Les risques pour le nourrisson varient selon le médicament et la dose ; ? Aucune règle ne vous contraint à interrompre la prise de tous vos médicaments sous prétexte que vous allaitez. Rappelezvous qu’il importe d’abord que vous vous mainteniez en aussi bonne santé que possible avec les médicaments indiqués de sorte que vous puissiez prendre soin de votre bébé. Il faudra donc en discuter avec votre médecin. Mon traitement MICI avant et pendant la grossesse La plupart des médicaments de ma MICI sont sans danger pour les hommes et les femmes lorsqu’ils tentent de fonder une famille. Un faible nombre de traitement est à proscrire à tout prix au cours de cette période. Il faudra donc en discuter avec votre gastro-entérologue pour vous informer clairement sur les risques encourus avec votre traitement et trouver une solution de rechange si cela est nécessaire avant de concevoir un enfant. Pendant la grossesse, nous insistons sur l’importance de bien contrôler votre MICI afin d’avoir une grossesse sans problème et un bébé en bonne santé. Les médicaments contribuent à votre bien-être. Le gastro-entérologue vous prescrit des médicaments pour les bienfaits qu’ils vous procurent, mais bien entendu, ils ne sont pas exempts d’effets indésirables. Comme toujours, une discussion avec votre gastro-entérologue vous permettra de peser les risques par rapport aux bénéfices de prendre tel ou tel médicament, surtout pendant la grossesse. Pour cette raison, le milieu médical recommande aux femmes de continuer à prendre leurs traitements (à l’exception de certains) avant et pendant leur grossesse même au cours d’une poussée active (inflammation de la muqueuse sans signe clinique). Il n’est pas recommandé de cesser automatiquement vos médicaments sous prétexte que vous êtes enceinte. Etre porteur de MICI n’empêche pas de devenir mère ou père mais il est préférable d’évoquer le projet d’une grossesse avec son équipe soignante (gastro-entérologue, gynécologue, médecin traitant, sage-femme) qui saura vous guider dans les choix thérapeutiques, les conduites à tenir et vous rassurer dans ce formidable projet. Références utiles Marteau Ph, Beaugerie L, Schénowitz G, Tucat G. MICI et grossesse : Prise en charge des MICI. John Libbey Eurotext Ed. Paris 2003:82-90. Couve S, Seksik Ph, Elefant E, Jian R, Marteau Ph. Maladies inflammatoires de l’intestin et procréation. Gastroenterol Clin Biol 2003;27:618-26. Cornish JA et al. Pregnancy a meta-analysis on the influence of inflammatory bowel disease on pregnancy. Gut 2007;56:830-7. Mahadevan U et al. The London position statement of the World Congress of Gastroenterology on Biological Therapy for IBD with the European Crohn’s and Colitis Organisation: Pregnancy and Pediatrics. Am J Gastroenterol 2010;106:214-23. mici_fonder_famille .pdf Download PDF • 97KB

  • proctologie operations, ph metrie toulouse

    pH métrie à Toulouse et à Quint Fonsegrives en Occitanie avec le CMAD : Centre des Maladies de l'Appareil Digestif. pH Métrie pH-métrie œsophagienne à Toulouse Mesure et enregistrement en continu , pendant plusieurs heures, du pH du bas œsophage. La pH-métrie est un examen qui contribue à établir le diagnostic du reflux gastro-œsophagien (passage anormal de liquide gastrique acide dans l'œsophage). Elle permet également de contrôler l'efficacité du traitement chirurgical ou médical de celui-ci. La pH-métrie est un examen très fiable qui permet de détecter un RGO dans 96% des cas avec une spécificité de 96%. Technique de pH-métrie La capsule de reflux Bravo™ est un dispositif qui se fixe au tissu œsophagien pour évaluer les niveaux de pH et transmettre les données à l’enregistreur. Le dispositif d’évaluation de reflux Bravo™ est un test de pH ambulatoire par capsule œsophagienne qui capture les données de pH œsophagien pendant 96 heures au maximum. Cet examen permet de mesurer en continu l’acidité dans le bas de votre œsophage à l’aide d’une capsule qui est temporairement fixée dans le bas de votre œsophage sous anesthésie générale. L’objectif est de déterminer si vous souffrez de reflux gastro-œsophagiens (RGO). Elle transmet les variations de pH par télémétrie à un récepteur externe que vous devrez garder continuellement à votre proximité pendant 96 heures. La capsule télémétrique de pH métrie Bravo® permet un enregistrement du pH œsophagien plus prolongé (96 heures) et dans des conditions plus physiologiques que la pH-métrie conventionnelle « filaire ». Le traitement par inhibiteur de la pompe à protons (IPP) sera le plus souvent arrêté 8 jours avant, sauf indication contraire du médecin. Les anti H2 48 heures et les anti acides 12 h avant . Déroulement d'une pH-métrie œsophagienne à Toulouse Le patient porte l’enregistreur pendant 96 heures au maximum pour enregistrer les données de reflux et l’activité du patient transmises par la capsule. Lorsque le boîtier est situé trop loin de vous, il émet un signal sonore. La capsule se détache ensuite spontanément dans un délai de 7 à 14 jours, pour être éliminée spontanément dans les selles. Les pacemakers, stimulateur cardiaque, défibrillateur, grossesse, IRM programmée dans les 30 jours ou la prise d’anti-coagulant sont des contre-indications à la pose de la capsule Bravo. La tolérance de la pH-métrie sans fil est meilleure que la pH-métrie avec sonde (filaire) et elle autorise une activité normale. Les symptômes liés à la fixation de la capsule sont rares et habituellement d’intensité légère : douleurs thoraciques, blocage alimentaire et sensation de corps étranger. Ils conduisent exceptionnellement au retrait anticipé de la capsule endoscopique . Durant les 96 heures d’enregistrement, il est recommandé de poursuivre vos activités habituelles pour que l’examen se base sur un « quotidien » aussi représentatif que possible. Vous ne devez boire que de l’eau, du café ou du thé, pas de soda, pas de bière, pas de vin, pas d’alcool. Évitez le vinaigre et tout ce qui est acide. Vous devrez noter les événements sur le boîtier : début et fin de repas, périodes couchées, et symptômes (brûlures œsophagiennes , sensation de reflux, , douleurs thoraciques). Vous reviendrez 96 heures après la pose de la capsule pour rendre le boitier et l'interprétation vous sera envoyée, ainsi qu' à votre médecin traitant, quelques jours plus tard. A quoi sert une pH-métrie ? Cette exploration n’est utile que dans les cas difficiles (symptômes peu typiques, absence d’œsophagite à l’endoscopie). Elle permet de déterminer si vous souffrez de reflux gastro-œsophagien (RGO). Le RGO occasionne des symptômes pouvant être très variés : toux, douleur thoracique, enrouement, maux de gorge, etc… En pratique Penser à apporter tous documents complémentaires nécessaires à votre examen : courrier du médecin qui demande l'exploration fonctionnelle, compte-rendu d’endoscopie œsogastrique ainsi que les clichés radiologiques en votre possession notamment un transit œsogastroduodénale (TOGD) ou scanner.

  • Les Examens du CMAD | Centre des Maladies de l'Appareil Digestif

    Les examens du Centre des Maladies de l'Appareil Digestif Les examens

  • mici, corticoides et mici

    Corticoïdes et MICI avec le CMAD : Les corticoïdes sont des médicaments dérivés de la cortisone, hormone naturellement sécrétée dans l’organisme par les glandes surrénales (1). Les corticoïdes ont une action anti-inflammatoire puissante, c’est pourquoi ils sont prescrits dans le traitement des poussées des MICI* (Maladies Inflammatoires Chroniques de l’Intestin) (2). Corticoïdes et MICI Les Corticoïdes et les Maladies Inflammatoires Chroniques de l'Intestin Que signifie « corticoïdes » ? Les corticoïdes sont des médicaments dérivés de la cortisone, hormone naturellement sécrétée dans l’organisme par les glandes surrénales (1). Les corticoïdes ont une action anti-inflammatoire puissante, c’est pourquoi ils sont prescrits dans le traitement des poussées des MICI* (Maladies Inflammatoires Chroniques de l’Intestin) (2). Deux classes de corticoïdes sont utilisées dans ces maladies (3) : les corticoïdes classiques les corticoïdes qui ont essentiellement une action locale intestinale. * Les MICI comprennent essentiellement la maladie de Crohn et la RCH. Corticoïdes classiques : ce qu’il faut savoir Quand et comment sont-ils utilisés ? Les corticoïdes classiques sont utilisés pour traiter les poussées des MICI d’intensité moyenne à sévère (1). Ils sont le plus souvent utilisés par voie orale (2). Ils sont d’abord prescrits à forte dose pour faire régresser les symptômes, puis les doses sont réduites progressivement, par paliers, après quelques semaines. C’est ce qu’on appelle le « sevrage » (1, 2). Dans les formes de MICI limitées au rectum ou à la partie terminale du côlon, les corticoïdes classiques peuvent être administrés par voie rectale (lavement, mousse, suppositoire) (1, 2). Quels sont leurs avantages ? Quand la poussée est d’intensité moyenne à sévère, les corticoïdes classiques constituent le traitement le plus rapidement efficace, quelle que soit la région du tube digestif atteinte (2, 3). Quels sont leurs inconvénients ? Les corticoïdes classiques peuvent provoquer des effets indésirables parce qu’ils passent dans la circulation sanguine. Ces effets s’observent surtout lors de traitements à forte dose et prolongés (1). Lors d’une prescription limitée au traitement d’une poussée de MICI (c’est-à-dire pendant quelques semaines), ils sont parfois responsables d’une prise de poids liée à une stimulation de l’appétit, d’un gonflement du visage, d’une surexcitation avec insomnie, d’une acné (1). Ces manifestations disparaissent après l’arrêt du traitement (2). En cas de traitements prolongés, d’autres modifications de l’aspect physique sont possibles : vergetures, augmentation de la pilosité, atrophie de certains muscles (2). Les corticoïdes peuvent aussi déstabiliser un diabète, aggraver une hypertension artérielle et faciliter certaines infections en diminuant les défenses immunitaires de l’organisme (3, 4). Lorsqu’ils sont pris pendant plusieurs mois, ils peuvent entraîner une déminéralisation des os et, chez l’enfant, un retard de croissance (1). Pendant la prise de ces médicaments, les glandes surrénales se mettent au repos. à l’arrêt du traitement,si celui-ci a été prolongé, il faut vérifier par des tests qu’elles reprennent bien une activité normale (2, 4). Un traitement par corticoïdes classiques est parfois difficile à arrêter car les symptômes réapparaissent dès que les doses sont diminuées. C’est ce qu’on appelle la corticodépendance (3). Quelles précautions prendre ? Les corticoïdes classiques doivent être pris de préférence en une seule fois le matin pour ne pas perturber le sommeil (2). Il ne faut jamais les arrêter brutalement car cela peut déclencher une rechute et un risque d’insuffisance surrénalienne (3). Pour éviter la prise de poids et le gonflement, au cours des MICI, un régime sans sel ne sert à rien. Il faut simplement ne pas trop manger et réduire les aliments qui font grossir (graisses, sucreries) (2, 3). La prise de calcium et de vitamine D est nécessaire dans les traitements prolongés pour prévenir la déminéralisation osseuse (2, 3). Les vaccins « vivants » (tels que ceux par exemple contre la rubéole, la rougeole, la fièvre jaune) sont interdits (3). Il faut toujours signaler la prise de corticoïdes aux différents médecins que vous pouvez consulter, en particulier si vous devez subir une intervention chirurgicale. Pour les sportifs, attention : les corticoïdes peuvent donner une réaction positive aux tests des contrôles antidopage (4). Corticoïdes à action intestinale locale : ce qu’il faut savoir Quand et comment sont-ils utilisés ? Ce type de corticoïdes est utilisé pour traiter les poussées de maladie de Crohn d’intensité légère ou modérée, touchant la fin de l’intestin grêle et/ou la partie initiale du gros intestin (région iléocolique droite) (2, 3). Ils s’administrent par voie orale. Les gélules qui les contiennent sont conçues pour libérer le médicament au niveau de la muqueuse intestinale atteinte (3). L’arrêt du traitement doit se faire en diminuant progressivement les doses (3, 4). Quels sont leurs avantages ? Ces corticoïdes ne passent que très peu dans la circulation sanguine. Ils sont donc mieux tolérés que les corticoïdes classiques, même en cas de traitements prolongés(1, 3). Même si des effets indésirables comparables à ceux des corticoïdes classiques peuvent être observés, ceux-ci sont deux fois moins fréquents (4). Quels sont leurs inconvénients ? Ces médicaments ne peuvent pas servir à traiter toutes les formes de MICI. Ils sont réservés au traitement des poussées de la maladie de Crohn de l’adulte, lorsqu’elles ne sont pas trop sévères et lorsqu’elles ne touchent que la région iléo-colique droite (4). Quelles précautions prendre ? Ne pas arrêter le traitement brutalement (3). Prendre votre médicament selon les indications de la notice ou de votre médecin. Les vaccins « vivants » (tels que ceux par exemple contre la rubéole, la rougeole, la fièvre jaune) sont interdits (4). Il faut toujours signaler la prise de ces médicaments aux différents médecins que vous pouvez consulter. Pour les sportifs, attention : ce type de corticoïdes peut donner une réaction positive aux tests des contrôles antidopage (4). Bibliographie (1) Bouhnik Y, Rambaud JC. Traitement médical. In: Les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin. Ed. John Libbey, Eurotext Paris, 1998:87-121. (2) Marteau P et al. Principaux traitements. Corticoïdes. In: Prise en charge des MICI. Ed. John Libbey Eurotext Paris, 2003:26-8. (3) Traitement de la maladie de Crohn. Dossier du CNHIM 2001; XXII,6. (4) Vidal 2009. corticoides_et_mici .pdf Download PDF • 220KB

  • Explorations de l’anus et du rectum, rééducation type biofeedback | Centre des Maladies de l'Appareil Digestif

    Explorations de l’anus et du rectum, rééducation type biofeedback Explorations ano-rectales Manométrie ano-rectale La manométrie ano-rectale permet l’étude des deux fonctions principales de la région ano-rectale, la continence et de la défécation. Grâce a une sonde reliée à des capteurs de pression, on peut étudier la pression sphinctérienne, les reflexes, la sensibilité rectale et l’évacuation rectale. C’est un examen indolore et reproductible qui permet de mieux comprendre certaines anomalies de fonctionnement dans l’incontinence anale et les troubles de l’évacuation. Comment se déroule l’examen manométrie ano-rectale Il n’est pas nécessaire d’être à jeun. Aucune préparation n’est à faire, il faut juste essayer d’aller à la selle avant. L’examen est indolore et se fait sans anesthésie, il dure entre 15 et 30 minutes. Une sonde est introduite dans l’anus et l’on enregistre la pression de repos, le reflexe recto anal inhibiteur, la contraction volontaire, la fonction d’évacuation et la compliance rectale. L’analyse du tracé se fait secondairement sur l’ordinateur. Dans qu’elle pathologie cet examen est indiqué ? Principalement dans le bilan d’une incontinence anale et d’une constipation . Avant un geste chirurgical pour essayer d’évaluer les risques d’incontinence anale et les troubles de l’évacuation. Dans certain cas de prurit anal pour éliminer une hypocontinence. Dans certaines douleurs ano-rectales de type névralgique. Pour éliminer, principalement chez l’enfant, une maladie de Hirschsprung . Précautions et risques Le risque infectieux : pour éliminer ce risque nous utilisons des sondes à usage unique. Le risque traumatique . La mise en place de la sonde doit être prudente, ce geste est fait par le médecin. Apres une chirurgie attendre une cicatrisation complète. Lors de l’étude de la sensibilité rectale, toujours surveiller la pression rectale lors du gonflement du ballonnet distenseur et arrêter le gonflement si une douleur apparait ou si la pression rectale augmente de trop. Que se passe-t-il après l'examen? Que faire en cas de problèmes après l’examen? Il n'y a pas de surveillance particulière nécessaire après l'examen. Les résultats de l'examen vous seront remis lors de la consultation. En fonction du résultat des investigations complémentaires peuvent être nécessaires Vous pourrez quitter l'hôpital seul après la manométrie ano-rectale. Si vous avez des douleurs, des selles rouges, de la fièvre, des frissons, des vomissements répétés dans les heures ou les jours suivant la manométrie anorectale, ou en cas d’autres problèmes à la suite de l’examen, contactez immédiatement l’hôpital . Rééducation ano rectale par Biofeedback Le biofeedback est une technique thérapeutique destinée à faciliter la rééducation en améliorant la compréhension du patient. Déroulement de l'examen ano rectale par Biofeedback Une sonde de manométrie ano-rectale à usage unique est introduite dans l'anus. Les signaux de pression sont transformés en signaux visuels que le patient suit tout le long de la séance de rééducation sur un écran. Le médecin qui réalise la séance explique au patient les mécanismes physiologiques qui sont perturbés. Chaque séance dure 20 à 30 minutes , elle est indolore , à raison d'une séance par semaine pendant 10 semaines. Les exercices à faire quotidiennement à la maison sont expliqués au patient. Indications Constipation terminale. C'est l'impossibilité d'évacuer les selles mêmes de consistance moulée. Plusieurs anomalies peuvent expliquer la constipation terminale. L’anisme : contraction paradoxale du sphincter strié lors de l'évacuation. La rééducation vise à faire prendre conscience de l'anomalie et à obtenir une relaxation du périnée lors de la poussée. Les troubles de la sensibilité rectale . En l'absence d'envie d'aller à la selle le rectum se laisse distendre sans signaler au cerveau la nécessité d'évacuer c'est l’hypo sensibilité rectale voir à un degré de plus le méga rectum fonctionnel Le ballonnet intra rectale est gonflé jusqu'au seuil de sensibilité puis le volume est progressivement diminué pour obtenir une valeur physiologique de ressenties par le patient. L’incontinence anale C’est l'impossibilité de retenir les selles soit lors d'un effort soit au repos. Plusieurs anomalies peuvent expliquer incontinence. Insuffisance du sphincter volontaire de l'anus. La rééducation a pour but d'améliorer la contraction du muscle strié par des exercices de contraction, d'abord faible et brève, puis on augmente progressivement l'amplitude puis la durée de la contraction. L'hypersensibilité du rectum ou hypocompliance rectale. C'est l'incapacité du rectum à se distendre et à s'adapter à son contenu, ce qui lui fait perdre son rôle de réservoir d'où des évacuations fractionnées et urgentes. Le ballonnet intra-rectal est progressivement gonflé pour augmenter le volume de tolérance à la distension. On demande au patient de réaliser une contraction volontaire dès qu'il ressent le besoin d'exonération, pour récupérer le réflexe de contraction du sphincter externe. Le biofeedback doit être l'occasion d' établir une relation psychologique avec le patient , d' être à son écoute , de corriger les troubles transit telle une diarrhée ou des selles très dures. La présence du médecin est indispensable tout au long de la séance. Recto Colite Hémorragique (RCH) à Toulouse En savoir + Maladie de Crohn Toulouse En savoir + Radiofréquence Endobrachyoesophage En savoir + Prise en charge de l’obésité par endoscopie : Ballon intra-gastrique ou Endosleeve En savoir + Qu'est-ce qu'une MICI En savoir + CPRE ( Cholangio-Pancréatographie Rétrograde Endoscopique) ou Endoscopie des voies biliaires En savoir + Dissection sous muqueuse endoscopique En savoir + Drainages biliaires En savoir + Cholangioscopie En savoir + Urgence hémoccult En savoir + Troubles de la statique du périné En savoir + Explorations ano-rectales En savoir + Explorations de l’oesophage : PH métrie et manométrie En savoir + MICI : maladies inflammatoires chroniques de l’intestin En savoir + Explorations fonctionnelles En savoir + Endoscopies digestives En savoir + Proctologie En savoir + Hépatologie En savoir + Gastro-entérologie En savoir + Cancérologie En savoir + Voyages, Vaccinations et MICI En savoir + Ma MICI : Fonder une famille En savoir + Livret d’information destiné aux patients porteurs de MICI En savoir + Enfants et Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin - MICI En savoir + Endoscopies et MICI En savoir + Droits Sociaux et MICI En savoir + Corticoïdes et MICI En savoir + Assurances et MICI En savoir + Alimentation et MICI En savoir + Cancer du colon En savoir + pH Métrie En savoir + Fiches régimes En savoir + Tout savoir sur les MICI En savoir + Cancérologie et dépistage En savoir + La Gastroscopie En savoir + L’Echo-endoscopie En savoir + La Vidéocapsule de l'intestin grêle En savoir + La manométrie oesophagienne En savoir + Elastométrie hépatique (Fibroscan°, Supersonic°) En savoir + La Coloscopie En savoir + L’Entéroscopie double ballon En savoir + Une Question ? Le Centre des Maladies de l’Appareil Digestif (CMAD) de Toulouse est dédié à la prise en charge des affections gastro-intestinales et hépatiques. Forts de notre expertise et de notre engagement envers l'excellence médicale, nous proposons une gamme complète de services diagnostiques et thérapeutiques pour répondre à vos besoins spécifiques. Notre équipe d’hépato-gastroentérologues expérimentés est à votre disposition pour vous accompagner tout au long de votre parcours de santé, de la prévention au traitement. Si vous avez des questions ou des doutes concernant votre état de santé, n’hésitez pas à fixer un rendez-vous de consultation avec l’un de nos spécialistes. Nous sommes là pour vous offrir les meilleurs soins possibles et vous aider à retrouver une meilleure qualité de vie. Contactez-nous dès aujourd'hui pour planifier votre consultation et bénéficier d'une prise en charge personnalisée et attentive. Contact

  • Radiofréquence Endobrachyoesophage Toulouse | Centre des Maladies de l'Appareil Digestif

    EBO L’endobrachyoesophage est un remaniement de la muqueuse de l’œsophage, liée généralement à une acidité chronique durant de longues années. Mais cette acidité a provoqué des lésions précancéreuses. Un des traitements de ces lésions précancéreuses de l’œsophage est la radiofréquence. Cette intervention est réalisée par un gastro-entérologue formé à cette technique. Radiofréquence Endobrachyoesophage La radiofréquence œsophagienne EBO L’endobrachyoesophage est un remaniement de la muqueuse de l’œsophage, liée généralement à une acidité chronique durant de longues années. Mais cette acidité a provoqué des lésions précancéreuses. Un des traitements de ces lésions précancéreuses de l’œsophage est la radiofréquence. Cette intervention est réalisée par un gastro-entérologue formé à cette technique. Comment est réalisée cette intervention? La radiofréquence œsophagienne est une technique réalisée sous anesthésie générale. À l’aide de l’endoscope, on se positionne au contact de l’endobrachyoesophage. On insère la sonde de radiofréquence au niveau de l’endobrachyoesophage et on réalise 1 à 2 séances de thermo ablation par radiofréquence. La radiofréquence permet de brûler la zone d’endobrachyoesophage afin d’éviter toute récidive d’endobrachyoesophage ou de transformation cancéreuse. Cette intervention dure entre 40 minutes et 1 h et elle est réalisée en ambulatoire. Quelles sont les complications possibles? La principale complication de cette procédure est la douleur. Vous pouvez présenter les jours qui suivent cette intervention, une douleur au niveau de l’œsophage. Cette douleur s’amende rapidement. Les autres complications existantes sont potentiellement une sténose, c’est à dire un rétrécissement de l’œsophage lié à la thermo ablation que vous avez eu. Il existe également dans de rares cas des complications à type hémorragique, mais elles sont exceptionnelles. Recto Colite Hémorragique (RCH) à Toulouse En savoir + Maladie de Crohn Toulouse En savoir + Radiofréquence Endobrachyoesophage En savoir + Prise en charge de l’obésité par endoscopie : Ballon intra-gastrique ou Endosleeve En savoir + Qu'est-ce qu'une MICI En savoir + CPRE ( Cholangio-Pancréatographie Rétrograde Endoscopique) ou Endoscopie des voies biliaires En savoir + Dissection sous muqueuse endoscopique En savoir + Drainages biliaires En savoir + Cholangioscopie En savoir + Urgence hémoccult En savoir + Troubles de la statique du périné En savoir + Explorations ano-rectales En savoir + Explorations de l’oesophage : PH métrie et manométrie En savoir + MICI : maladies inflammatoires chroniques de l’intestin En savoir + Explorations fonctionnelles En savoir + Endoscopies digestives En savoir + Proctologie En savoir + Hépatologie En savoir + Gastro-entérologie En savoir + Cancérologie En savoir + Voyages, Vaccinations et MICI En savoir + Ma MICI : Fonder une famille En savoir + Livret d’information destiné aux patients porteurs de MICI En savoir + Enfants et Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin - MICI En savoir + Endoscopies et MICI En savoir + Droits Sociaux et MICI En savoir + Corticoïdes et MICI En savoir + Assurances et MICI En savoir + Alimentation et MICI En savoir + Cancer du colon En savoir + pH Métrie En savoir + Fiches régimes En savoir + Tout savoir sur les MICI En savoir + Cancérologie et dépistage En savoir + La Gastroscopie En savoir + L’Echo-endoscopie En savoir + La Vidéocapsule de l'intestin grêle En savoir + La manométrie oesophagienne En savoir + Elastométrie hépatique (Fibroscan°, Supersonic°) En savoir + La Coloscopie En savoir + L’Entéroscopie double ballon En savoir + Une Question ? Le Centre des Maladies de l’Appareil Digestif (CMAD) de Toulouse est dédié à la prise en charge des affections gastro-intestinales et hépatiques. Forts de notre expertise et de notre engagement envers l'excellence médicale, nous proposons une gamme complète de services diagnostiques et thérapeutiques pour répondre à vos besoins spécifiques. Notre équipe d’hépato-gastroentérologues expérimentés est à votre disposition pour vous accompagner tout au long de votre parcours de santé, de la prévention au traitement. Si vous avez des questions ou des doutes concernant votre état de santé, n’hésitez pas à fixer un rendez-vous de consultation avec l’un de nos spécialistes. Nous sommes là pour vous offrir les meilleurs soins possibles et vous aider à retrouver une meilleure qualité de vie. Contactez-nous dès aujourd'hui pour planifier votre consultation et bénéficier d'une prise en charge personnalisée et attentive. Contact

  • Maladie de Crohn Toulouse - Prise en Charge | Centre des Maladies de l'Appareil Digestif

    Prise en charge de la maladie de Crohn à Toulouse. Le CMAD : Centre des Maladies de l’Appareil Digestif est un groupe de 14 hépato-gastroentérologues, anciens Chef de clinique, exerçant sur 2 Polycliniques Toulousaines : Clinique La Croix Du Sud et Clinique Pasteur. Maladie de Crohn Toulouse La maladie de Crohn est une maladie inflammatoire chronique de l’intestin qui se caractérise par une inflammation de la paroi d’une partie du tube digestif. Contrairement à d'autres pathologies, elle peut toucher n'importe quelle section du système digestif. Dans la maladie de Crohn, l’inflammation peut être localisée dans tout le système digestif, de la bouche à l’anus (le plus souvent au niveau de l’intestin) tandis que dans la rectocolite hémorragique, elle est localisée au niveau du rectum et du colon. Ces maladies évoluent par poussées inflammatoires de durée et de fréquence extrêmement variables en fonction des patients, alternant avec des phases de rémission. Les MICI sont le plus souvent diagnostiquées chez des sujets jeunes âgés de 20 à 30 ans mais peuvent survenir à tout âge ; 15 % des cas concernent des enfants. Leur fréquence varie considérablement d’un pays à l’autre mais les taux les plus importants sont retrouvés dans les pays industrialisés et notamment en Europe du Nord-Ouest et aux Etats-Unis. En France, environ 5 nouveaux cas de maladie de Crohn et autant de rectocolites hémorragiques sont diagnostiqués chaque année pour 100 000 habitants. Il y a actuellement 250 000 patients. Des facteurs d’environnement sur un terrain génétique Plusieurs facteurs de risque sont suspectés, notamment génétiques et environnementaux. Les études génétiques de patients atteints de MICI montre qu’il s’agit de maladies polygénétiques impliquant près de 100 gènes. Un gène de prédisposition de la maladie de Crohn a notamment été découvert (NOD2/CARD15) : une ou deux mutations sur ce gène peut multiplier par 40 le risque de développer la maladie. Mais le fait que cette maladie se développe dans les pays industrialisés fait largement suspecter le rôle de l’environnement et de notre comportement. Les MICI apparaissent peu à peu dans les pays émergents et le suivi de migrants montre que le risque de développer la maladie rejoint celui de la population parmi laquelle ils vivent. Pollution, alimentation ultra transformée, manque d’activité physique, stress... Les dernières données montrent l’impact de notre mode de vie (alimentation, sédentarité) dans la survenue et la prévention de telles pathologies. Seul facteur de risque avéré de la maladie de Crohn est le tabac qui paradoxalement protège de la rectocolite hémorragique. La maladie de Crohn Chez les adultes, la localisation de la maladie reste assez stable dans le temps. Cependant, les cycles répétés d'inflammation entraînent une transition de la maladie vers une forme sténosante (rétrécissement du tube digestif) et ou pénétrante (fistule). Le segment le plus touché du tube digestif est l'iléon terminal (intestin grêle). La maladie est localisée dans plus de 90% des cas soit dans le colon exclusivement, soitl'intestin grêle (iléon le plus souvent) soit une atteinte combinée du colon et de l’intestin grêle. Des lésions de maladie de Crohn au niveau œsophagien, gastrique et ou duodénale surviennent chez 1 à 4 % des patients. Une maladie périanale est souvent associée à une maladie de Crohn recto-anale concomitante , mais peut survenir comme lésion initiale chez 2 à 5 % des patients nouvellement diagnostiqués. Les symptômes de la maladie de Crohn La maladie peut s'exprimer par des signes digestifs mais également par des signes non digestifs (on parle alors de manifestations extra-digestives de la maladie, ce qui est également vrai pour la recto-colite). Les signes digestifs La maladie peut toucher tous les segments du tube digestif (de la bouche à l'anus), de ce fait les modes de présentation clinique peuvent être très différents. Néanmoins on distingue principalement 4 symptômes d'appels : Des douleurs qui peuvent être de siège et d'intensité variable. La diarrhée, parfois abondantes s'accompagnant d'une mauvaise absorption des aliments, parfois modérée voire alternant avec des épisodes de constipation. Des signes digestifs spécifiques : présence de sang ou de glaires dans les selles, parfois de fausses envies d'aller à selles. Un retentissement variable sur le poids (amaigrissement) et l'état général (fatigue excessive notamment, éventuellement de la fièvre). En fonction de la localisation sur le tube digestif, certains signes peuvent prédominer. Deux formes particulières de révélation sont cependant à isoler : La forme pseudo-appendiculaire (comme une appendicite aiguë avec des douleurs, de la fièvre) surtout fréquente chez l'enfant Les formes dites ano-périnéales lorsque la maladie touche l’anus avec deux types de manifestations initiales : les fissures qui sont des « coupures » au niveau de l’anus avec des douleurs lors de la selle les fistules (communications entre tube et peau par exemple et se manifestant par un écoulement) et les abcès (cavité pleine de pus très douloureuse avec de la fièvre). Les manifestations extra-digestives Présentent dans environ 20% des cas, elles peuvent toucher différents organes : Les articulations avec des arthrites (inflammation de l’articulation qui est chaude, gonflée et douloureuse), isolée ou touchant plusieurs articulations (poly-arthrite). La peau avec des ulcérations ou un érythème noueux (boules sous la peau, bleutées surtout au niveau des jambes) L’œil avec des conjonctivites ou des uvéites Le foie etc…. Ces manifestations sont plus fréquentes en cas d’atteinte du côlon et peuvent parfois être le signe d’appel, le diagnostic étant alors plus difficile. Évolution de la maladie de Crohn La maladie de Crohn est une maladie chronique qui évolue le plus souvent par poussée clinique, entrecoupée de phases de "rémission" plus ou moins prolongée. Les poussées sont d’intensité variable. Paradoxalement, la maladie peut continuer à évoluer silencieusement entre ces phases symptomatiques, ce qui rend nécessaire un suivi médical régulier. Le médecin se servira de scores cliniques, de résultats biologiques, et de résultats morphologiques (coloscopie et examens radiologiques) pour évaluer la maladie. Mais c'est surtout le suivi et la réponse aux différents traitements qui permettra de connaître le profil évolutif de chaque malade. Les complications de la maladie de Crohn Des complications peuvent émailler l'évolution de la maladie avec trois formes principales : Les formes sténosantes avec constitution d’un rétrécissement d’un ou de plusieurs segments du tube digestif. Les formes perforatives ou fistulisantes pouvant s’accompagner d’abcès. Les formes inflammatoires. La plupart des complications peuvent être évitées ou stoppées dans leur évolution par le traitement, d’où la nécessité de suivre correctement la prescription et les conseils du médecin et de se faire suivre régulièrement par celui-ci. La complication la plus fréquente est la fistule. Elle est due à des phénomènes inflammatoires avec constitution d’un d’abcès qui finit par s’ouvrir dans les organes voisins. Ainsi la fistule* met en communication le segment intestinal malade avec un autre segment digestif, ou avec un organe du voisinage (vessie, organes génitaux chez la femme, ou peau). La constitution d’une fistule* s’accompagne de douleurs, d’une altération de l’état général et de fièvre. L’occlusion intestinale sur sténose digestive Elle est la conséquence du rétrécissement d’un segment digestif ; elle cède le plus souvent à un traitement médical mais peut nécessiter un traitement chirurgical. La perforation intestinale est rare. Elle constitue une urgence chirurgicale en raison des risques liés à la péritonite aiguë. Les hémorragies : les lésions intestinales peuvent saigner, mais ces hémorragies sont généralement très discrètes. Le risque de survenue d’un cancer intestinal est exceptionnel. Sa prévention passe par des contrôles endoscopiques réguliers essentiellement dans les formes touchant l’ensemble du colon après un certain temps d’évolution. Mais aussi : L’état inflammatoire et la malabsorption intestinale des aliments peuvent parfois être responsables d’une anémie, de la présence de graisse dans les selles, de carences vitaminiques, et d’une fuite des protéines ; le tout pouvant aboutir à un état de dénutrition avec amaigrissement et œdèmes. Les thromboses veineuses et artérielles, plus fréquentes lors des poussées et qui peuvent être prévenues par un traitement anticoagulant. Le risque de calculs de la vésicule biliaire est plus élevé que dans une population normale, de même que celui de calculs rénaux. Une surcharge en graisse du foie (stéatose) peut exister. Une diminution de la teneur en calcium des os doit être recherchée (ostéopénie voire ostéoporose) et prévenue. La surveillance de la maladie La surveillance est indispensable : elle permet d’adapter le traitement, de juger de l’efficacité de celui-ci, et de contrôler l’absence de complication. Elle est essentiellement clinique et biologique avec le dosage de la calprotectine fécale. L’endoscopie et l’imagerie occupent une place plus limitée mais peuvent être nécessaire dans la surveillance chez certains patients. La pratique d’une coloscopie à intervalles réguliers (avec biopsies) - après un certain temps d’évolution de la colite inflammatoire - a pour seul objectif de dépister d’éventuelles lésions « précancéreuses ». Recto Colite Hémorragique (RCH) à Toulouse En savoir + Maladie de Crohn Toulouse En savoir + Radiofréquence Endobrachyoesophage En savoir + Prise en charge de l’obésité par endoscopie : Ballon intra-gastrique ou Endosleeve En savoir + Qu'est-ce qu'une MICI En savoir + CPRE ( Cholangio-Pancréatographie Rétrograde Endoscopique) ou Endoscopie des voies biliaires En savoir + Dissection sous muqueuse endoscopique En savoir + Drainages biliaires En savoir + Cholangioscopie En savoir + Urgence hémoccult En savoir + Troubles de la statique du périné En savoir + Explorations ano-rectales En savoir + Explorations de l’oesophage : PH métrie et manométrie En savoir + MICI : maladies inflammatoires chroniques de l’intestin En savoir + Explorations fonctionnelles En savoir + Endoscopies digestives En savoir + Proctologie En savoir + Hépatologie En savoir + Gastro-entérologie En savoir + Cancérologie En savoir + Voyages, Vaccinations et MICI En savoir + Ma MICI : Fonder une famille En savoir + Livret d’information destiné aux patients porteurs de MICI En savoir + Enfants et Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin - MICI En savoir + Endoscopies et MICI En savoir + Droits Sociaux et MICI En savoir + Corticoïdes et MICI En savoir + Assurances et MICI En savoir + Alimentation et MICI En savoir + Cancer du colon En savoir + pH Métrie En savoir + Fiches régimes En savoir + Tout savoir sur les MICI En savoir + Cancérologie et dépistage En savoir + La Gastroscopie En savoir + L’Echo-endoscopie En savoir + La Vidéocapsule de l'intestin grêle En savoir + La manométrie oesophagienne En savoir + Elastométrie hépatique (Fibroscan°, Supersonic°) En savoir + La Coloscopie En savoir + L’Entéroscopie double ballon En savoir + Une Question ? Le Centre des Maladies de l’Appareil Digestif (CMAD) de Toulouse est dédié à la prise en charge des affections gastro-intestinales et hépatiques. Forts de notre expertise et de notre engagement envers l'excellence médicale, nous proposons une gamme complète de services diagnostiques et thérapeutiques pour répondre à vos besoins spécifiques. Notre équipe d’hépato-gastroentérologues expérimentés est à votre disposition pour vous accompagner tout au long de votre parcours de santé, de la prévention au traitement. Si vous avez des questions ou des doutes concernant votre état de santé, n’hésitez pas à fixer un rendez-vous de consultation avec l’un de nos spécialistes. Nous sommes là pour vous offrir les meilleurs soins possibles et vous aider à retrouver une meilleure qualité de vie. Contactez-nous dès aujourd'hui pour planifier votre consultation et bénéficier d'une prise en charge personnalisée et attentive. Contact

  • Endoscopies digestives Toulouse | Centre des Maladies de l'Appareil Digestif

    L’endoscopie est une méthode d’exploration et d’imagerie médicale qui permet de visualiser l’intérieur (endon en grec) de conduits ou de cavités inaccessible à l’œil. L’endoscope est composé d’un tube optique muni d’un système d’éclairage, couplé à une caméra vidéo, il retransmet l’image sur un écran. Endoscopies digestives Endoscopies digestives L’ endoscopie est une méthode d’exploration et d’imagerie médicale qui permet de visualiser l’intérieur ( endon en grec) de conduits ou de cavités inaccessible à l’œil. L’endoscope est composé d’un tube optique muni d’un système d’éclairage, couplé à une caméra vidéo, il retransmet l’image sur un écran. Autrefois on parlait de fibroscopie car les endoscopes étaient munis de fibres optiques, aujourd’hui on emploie le terme de vidéo-endoscopie car les endoscopes sont dotés de caméra numérique (CCD) haute définition utilisant une technologie numérique et une lumière froide. L’endoscopie peut être utilisée, soit pour le diagnostic, soit pour traiter une maladie (endoscopie interventionnelle). Il s’agit d’un terme générique qui recouvre des examens spécifiques par organe. Ainsi, la coloscopie est l’exploration du côlon, la gastroscopie celle de l’oesophage et de l’estomac, l’entéroscopie de l’intestin grêle, etc. Les endoscopies se font par les voies naturelles lorsque cela est possible (bouche, voie nasale, anus). Recto Colite Hémorragique (RCH) à Toulouse En savoir + Maladie de Crohn Toulouse En savoir + Radiofréquence Endobrachyoesophage En savoir + Prise en charge de l’obésité par endoscopie : Ballon intra-gastrique ou Endosleeve En savoir + Qu'est-ce qu'une MICI En savoir + CPRE ( Cholangio-Pancréatographie Rétrograde Endoscopique) ou Endoscopie des voies biliaires En savoir + Dissection sous muqueuse endoscopique En savoir + Drainages biliaires En savoir + Cholangioscopie En savoir + Urgence hémoccult En savoir + Troubles de la statique du périné En savoir + Explorations ano-rectales En savoir + Explorations de l’oesophage : PH métrie et manométrie En savoir + MICI : maladies inflammatoires chroniques de l’intestin En savoir + Explorations fonctionnelles En savoir + Endoscopies digestives En savoir + Proctologie En savoir + Hépatologie En savoir + Gastro-entérologie En savoir + Cancérologie En savoir + Voyages, Vaccinations et MICI En savoir + Ma MICI : Fonder une famille En savoir + Livret d’information destiné aux patients porteurs de MICI En savoir + Enfants et Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin - MICI En savoir + Endoscopies et MICI En savoir + Droits Sociaux et MICI En savoir + Corticoïdes et MICI En savoir + Assurances et MICI En savoir + Alimentation et MICI En savoir + Cancer du colon En savoir + pH Métrie En savoir + Fiches régimes En savoir + Tout savoir sur les MICI En savoir + Cancérologie et dépistage En savoir + La Gastroscopie En savoir + L’Echo-endoscopie En savoir + La Vidéocapsule de l'intestin grêle En savoir + La manométrie oesophagienne En savoir + Elastométrie hépatique (Fibroscan°, Supersonic°) En savoir + La Coloscopie En savoir + L’Entéroscopie double ballon En savoir + Une Question ? Le Centre des Maladies de l’Appareil Digestif (CMAD) de Toulouse est dédié à la prise en charge des affections gastro-intestinales et hépatiques. Forts de notre expertise et de notre engagement envers l'excellence médicale, nous proposons une gamme complète de services diagnostiques et thérapeutiques pour répondre à vos besoins spécifiques. Notre équipe d’hépato-gastroentérologues expérimentés est à votre disposition pour vous accompagner tout au long de votre parcours de santé, de la prévention au traitement. Si vous avez des questions ou des doutes concernant votre état de santé, n’hésitez pas à fixer un rendez-vous de consultation avec l’un de nos spécialistes. Nous sommes là pour vous offrir les meilleurs soins possibles et vous aider à retrouver une meilleure qualité de vie. Contactez-nous dès aujourd'hui pour planifier votre consultation et bénéficier d'une prise en charge personnalisée et attentive. Contact

  • Hépatologie Toulouse | Centre des Maladies de l'Appareil Digestif

    L'hépatologie est la branche de la médecine qui s'intéresse à l’étude du foie (hépar) sur un plan anatomique, physiologique et pathologique. Le spécialiste, l'hépatologue est aussi gastro entérologue Hépatologie L'hépatologie L'hépatologie est la branche de la médecine qui s'intéresse à l’étude du foie (hépar) sur un plan anatomique, physiologique et pathologique. Le spécialiste, l'hépatologue est aussi gastro entérologue . Les pathologies rencontrées dans cette discipline sont très nombreuses, du fait de la diversité et de l'importance des fonctions hépatiques : Cirrhose : fibrose du foie, aboutissement d’une maladie chronique qu’elle soit virale alcoolique ou auto immune… Tumeurs : qu’elles soient primitives (carcinome hépato cellulaire favorisé le plus souvent par la cirrhose) ou secondaires (métastases). Insuffisance hépatique : insuffisance physiologique du foie pouvant être aigue (hépatites qu’elle qu’en soit la cause) ou chroniques (cirrhose) Hépatites virales (A, B, C mais aussi Cytomégalovirus, Herpes, Epstein Barr virus et plus rarement D, E….) Médicamenteuses : liste longue et variée. De nombreuses pathologies digestives ou générales peuvent toucher cet organe. Les explorations hépatiques se font essentiellement par la biologie (prise de sang) mais aussi l’imagerie qui comprend l’échographie (faite le plus souvent au cabinet), le scanner et l’IRM. La réalisation d'une ponction biopsie hépatique même si elle est de plus en plus rare reste une possibilité permettant l’analyse histologique du tissu hépatique. Les différents traitements peuvent s'envisager sur un plan médical (arsenal médicamenteux anti viraux et chimiothérapies en évolution constante) ou chirurgical (dérivations, résections, allant même jusqu’à la transplantation hépatique). Recto Colite Hémorragique (RCH) à Toulouse En savoir + Maladie de Crohn Toulouse En savoir + Radiofréquence Endobrachyoesophage En savoir + Prise en charge de l’obésité par endoscopie : Ballon intra-gastrique ou Endosleeve En savoir + Qu'est-ce qu'une MICI En savoir + CPRE ( Cholangio-Pancréatographie Rétrograde Endoscopique) ou Endoscopie des voies biliaires En savoir + Dissection sous muqueuse endoscopique En savoir + Drainages biliaires En savoir + Cholangioscopie En savoir + Urgence hémoccult En savoir + Troubles de la statique du périné En savoir + Explorations ano-rectales En savoir + Explorations de l’oesophage : PH métrie et manométrie En savoir + MICI : maladies inflammatoires chroniques de l’intestin En savoir + Explorations fonctionnelles En savoir + Endoscopies digestives En savoir + Proctologie En savoir + Hépatologie En savoir + Gastro-entérologie En savoir + Cancérologie En savoir + Voyages, Vaccinations et MICI En savoir + Ma MICI : Fonder une famille En savoir + Livret d’information destiné aux patients porteurs de MICI En savoir + Enfants et Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin - MICI En savoir + Endoscopies et MICI En savoir + Droits Sociaux et MICI En savoir + Corticoïdes et MICI En savoir + Assurances et MICI En savoir + Alimentation et MICI En savoir + Cancer du colon En savoir + pH Métrie En savoir + Fiches régimes En savoir + Tout savoir sur les MICI En savoir + Cancérologie et dépistage En savoir + La Gastroscopie En savoir + L’Echo-endoscopie En savoir + La Vidéocapsule de l'intestin grêle En savoir + La manométrie oesophagienne En savoir + Elastométrie hépatique (Fibroscan°, Supersonic°) En savoir + La Coloscopie En savoir + L’Entéroscopie double ballon En savoir + Une Question ? Le Centre des Maladies de l’Appareil Digestif (CMAD) de Toulouse est dédié à la prise en charge des affections gastro-intestinales et hépatiques. Forts de notre expertise et de notre engagement envers l'excellence médicale, nous proposons une gamme complète de services diagnostiques et thérapeutiques pour répondre à vos besoins spécifiques. Notre équipe d’hépato-gastroentérologues expérimentés est à votre disposition pour vous accompagner tout au long de votre parcours de santé, de la prévention au traitement. Si vous avez des questions ou des doutes concernant votre état de santé, n’hésitez pas à fixer un rendez-vous de consultation avec l’un de nos spécialistes. Nous sommes là pour vous offrir les meilleurs soins possibles et vous aider à retrouver une meilleure qualité de vie. Contactez-nous dès aujourd'hui pour planifier votre consultation et bénéficier d'une prise en charge personnalisée et attentive. Contact

  • cancerologie, cancerologie

    Prise en charge : Cancer du colon, de l'oesophage et de l'estomac à Toulouse, Occitanie. Cancer du colon Cancer du colon Toutes les informations concernant le cancer du colon sur le site du CREGG. Le cancer du colon est un cancer évitable. Si vous répondez OUI à une des questions ci-dessous, vous devez probablement réaliser une coloscopie. Vous avez dans votre famille un parent proche au 1er degré qui a eu un cancer du côlon : frère, soeur, père, mère, enfant ? OUI NON Vous avez dans votre famille un parent proche suivi pour des polypes du côlon par coloscopie ? OUI NON Vous avez eu personnellement un cancer du côlon ou des polypes du côlon ? OUI NON Vous avez vous-même eu par le passé une maladie inflammatoire du côlon OUI NON Vous avez récemment constaté la présence de sang dans les selles ? OUI NON Vous avez récemment constaté des modifications inhabituelles de votre transit (diarrhée, constipation, ballonnement) OUI NON Vous souffrez de douleurs abdominales récentes et inexpliquées OUI NON Votre Médecin Généraliste a découvert sur la prise de sang une anémie inexpliquée (diminution du nombre de globules rouges) OUI NON Cancer de l’oesophage et de l’estomac Toutes les informations concernant le cancer du colon sur le site du CREGG . Si vous répondez OUI à une des questions ci-dessous, vous devez probablement réaliser une endoscopie oeso-gastro-duodénale. Vous avez avez un parent du 1er degré (parents, frères et soeurs, enfants) qui a présenté un cancer de l’estomac OUI NON Vous avez un antécédent d’ulcère de l’estomac ou du duodénum OUI NON Vous avez un antécédent de brûlure caustique de l’oesophage, de mégaoesophage, de sclérodermie OUI NON Vous avez été opéré de l’estomac OUI NON Vous avez fait l’objet de prélèvements lors d’une gastroscopie qui ont montré la présence : d’une gastrite chronique, d’hélicobacter pylori, de métaplasie intestinale, d’atrophie ou de dysplasie OUI NON Vous avez déjà bénéficié d’un examen de l’estomac qui a montré la présence d’un endobrachyoesophage (encore appelé oesophage de Barett) OUI NON Vous avez plus de 50 ans et présentez des signes de reflux gastro-oesophagien : brûlures de l’estomac ou derrière le sternum OUI NON Vous avez moins de 50 ans mais vous présentez les mêmes signes régulièrement qui résistent au traitement ou récidivent à l’arrêt OUI NON Vous présentez des symptômes d’alarme : amaigrissement, anémie par carence en fer, blocage des aliments après la déglutition derrière le sternum (dysphagie) OUI NON Vous avez été traité pour un cancer ORL (larynx, corde vocale, sinus piriforme, amygdale, base de langue, voile du palais, joue, lèvre) OUI NON Vous avez depuis longtemps une consommation excessive de tabac et d’alcool OUI NON Vous avez une maladie génétique digestive OUI NON cancer colon estomac oesophage toulouse .pdf Download PDF • 550KB Liens Vous trouverez ci-dessous des liens permettant des informations complémentaires. Fédération française de cancérologie digestive Institut national du cancer 4ème Journée de prévention du cancer du côlon par endoscopie

  • Cancérologie digestive Toulouse | Centre des Maladies de l'Appareil Digestif

    La cancérologie digestive et les séances de chimiothérapie sont pratiquées dans les 2 établissements en collaboration avec nos confrères oncologues. Cancérologie La cancérologie digestive et les séances de chimiothérapie sont pratiquées dans les 2 établissements en collaboration avec nos confrères oncologues. Afin de proposer le meilleur traitement, les dossiers sont systématiquement discutés en réunion de concertation pluridisciplinaire ( RCP ) comprenant une équipe médicale d’au moins 3 spécialistes de la pathologie cancéreuse : chirurgien digestif, oncologue médicaux, radiothérapeute, gastro-entérologue, anatomopathologiste et radiologue. A l’issu de cette RCP une proposition thérapeutique est établie et se base : sur les référentiels régionaux de pratique si le cas présenté relève d’un traitement standard sur une concertation entre les différents spécialistes lorsque plusieurs options thérapeutiques sont envisageables Cet avis est enregistré dans le dossier de cancérologie Oncomip et sera expliqué au patient lors d’une consultation spécifique qui fait partie du dispositif d’annonce. Le suivi de votre cancer et selon le protocole de traitement établi se fera conjointement avec votre gastro-entérologue, votre oncologue et ou le radiothérapeute, le chirurgien digestif. Les traitements par chimiothérapie peuvent être administrés soit au cours d’une hospitalisation classique, soit le plus souvent en hôpital de jour. Les modalités de la prise en charge ainsi que le type de traitement (chimiothérapie, radiothérapie, traitement chirurgical, essai thérapeutique…) sont discutés à l’occasion de réunion bimensuelle d’oncologie digestive D’une façon générale, la fréquence de survenue de ces effets indésirables est variable en fonction du type de protocole de chimiothérapie. Des informations plus spécifiques vous seront données par le médecin. A l’occasion de la première consultation dite d’annonce un document vous sera remis. Ce document précisera les modalités du traitement et ses différents effets secondaires attendus. Il existe par ailleurs une grande variabilité entre les individus en ce qui concerne la tolérance d’une chimiothérapie donnée, de telle sorte qu’il n’est pas possible de prédire de façon fiable sa tolérance pour un individu donné. Vous trouverez ci-dessous des liens permettant des informations complémentaires. Fédération française de cancérologie digestive Institut national du cancer Recto Colite Hémorragique (RCH) à Toulouse En savoir + Maladie de Crohn Toulouse En savoir + Radiofréquence Endobrachyoesophage En savoir + Prise en charge de l’obésité par endoscopie : Ballon intra-gastrique ou Endosleeve En savoir + Qu'est-ce qu'une MICI En savoir + CPRE ( Cholangio-Pancréatographie Rétrograde Endoscopique) ou Endoscopie des voies biliaires En savoir + Dissection sous muqueuse endoscopique En savoir + Drainages biliaires En savoir + Cholangioscopie En savoir + Urgence hémoccult En savoir + Troubles de la statique du périné En savoir + Explorations ano-rectales En savoir + Explorations de l’oesophage : PH métrie et manométrie En savoir + MICI : maladies inflammatoires chroniques de l’intestin En savoir + Explorations fonctionnelles En savoir + Endoscopies digestives En savoir + Proctologie En savoir + Hépatologie En savoir + Gastro-entérologie En savoir + Cancérologie En savoir + Voyages, Vaccinations et MICI En savoir + Ma MICI : Fonder une famille En savoir + Livret d’information destiné aux patients porteurs de MICI En savoir + Enfants et Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin - MICI En savoir + Endoscopies et MICI En savoir + Droits Sociaux et MICI En savoir + Corticoïdes et MICI En savoir + Assurances et MICI En savoir + Alimentation et MICI En savoir + Cancer du colon En savoir + pH Métrie En savoir + Fiches régimes En savoir + Tout savoir sur les MICI En savoir + Cancérologie et dépistage En savoir + La Gastroscopie En savoir + L’Echo-endoscopie En savoir + La Vidéocapsule de l'intestin grêle En savoir + La manométrie oesophagienne En savoir + Elastométrie hépatique (Fibroscan°, Supersonic°) En savoir + La Coloscopie En savoir + L’Entéroscopie double ballon En savoir + Une Question ? Le Centre des Maladies de l’Appareil Digestif (CMAD) de Toulouse est dédié à la prise en charge des affections gastro-intestinales et hépatiques. Forts de notre expertise et de notre engagement envers l'excellence médicale, nous proposons une gamme complète de services diagnostiques et thérapeutiques pour répondre à vos besoins spécifiques. Notre équipe d’hépato-gastroentérologues expérimentés est à votre disposition pour vous accompagner tout au long de votre parcours de santé, de la prévention au traitement. Si vous avez des questions ou des doutes concernant votre état de santé, n’hésitez pas à fixer un rendez-vous de consultation avec l’un de nos spécialistes. Nous sommes là pour vous offrir les meilleurs soins possibles et vous aider à retrouver une meilleure qualité de vie. Contactez-nous dès aujourd'hui pour planifier votre consultation et bénéficier d'une prise en charge personnalisée et attentive. Contact

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