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  • cancerologie, cancerologie

    Cancer du colon Cancer du colon Toutes les informations concernant le cancer du colon sur le site du CREGG. Le cancer du colon est un cancer évitable. Si vous répondez OUI à une des questions ci-dessous, vous devez probablement réaliser une coloscopie. Vous avez dans votre famille un parent proche au 1er degré qui a eu un cancer du côlon : frère, soeur, père, mère, enfant ? OUI NON Vous avez dans votre famille un parent proche suivi pour des polypes du côlon par coloscopie ? OUI NON Vous avez eu personnellement un cancer du côlon ou des polypes du côlon ? OUI NON Vous avez vous-même eu par le passé une maladie inflammatoire du côlon OUI NON Vous avez récemment constaté la présence de sang dans les selles ? OUI NON Vous avez récemment constaté des modifications inhabituelles de votre transit (diarrhée, constipation, ballonnement) OUI NON Vous souffrez de douleurs abdominales récentes et inexpliquées OUI NON Votre Médecin Généraliste a découvert sur la prise de sang une anémie inexpliquée (diminution du nombre de globules rouges) OUI NON Cancer de l’oesophage et de l’estomac Toutes les informations concernant le cancer du colon sur le site du CREGG . Si vous répondez OUI à une des questions ci-dessous, vous devez probablement réaliser une endoscopie oeso-gastro-duodénale. Vous avez avez un parent du 1er degré (parents, frères et soeurs, enfants) qui a présenté un cancer de l’estomac OUI NON Vous avez un antécédent d’ulcère de l’estomac ou du duodénum OUI NON Vous avez un antécédent de brûlure caustique de l’oesophage, de mégaoesophage, de sclérodermie OUI NON Vous avez été opéré de l’estomac OUI NON Vous avez fait l’objet de prélèvements lors d’une gastroscopie qui ont montré la présence : d’une gastrite chronique, d’hélicobacter pylori, de métaplasie intestinale, d’atrophie ou de dysplasie OUI NON Vous avez déjà bénéficié d’un examen de l’estomac qui a montré la présence d’un endobrachyoesophage (encore appelé oesophage de Barett) OUI NON Vous avez plus de 50 ans et présentez des signes de reflux gastro-oesophagien : brûlures de l’estomac ou derrière le sternum OUI NON Vous avez moins de 50 ans mais vous présentez les mêmes signes régulièrement qui résistent au traitement ou récidivent à l’arrêt OUI NON Vous présentez des symptômes d’alarme : amaigrissement, anémie par carence en fer, blocage des aliments après la déglutition derrière le sternum (dysphagie) OUI NON Vous avez été traité pour un cancer ORL (larynx, corde vocale, sinus piriforme, amygdale, base de langue, voile du palais, joue, lèvre) OUI NON Vous avez depuis longtemps une consommation excessive de tabac et d’alcool OUI NON Vous avez une maladie génétique digestive OUI NON cancer colon estomac oesophage toulouse .pdf Download PDF • 550KB Liens Vous trouverez ci-dessous des liens permettant des informations complémentaires. Fédération française de cancérologie digestive Institut national du cancer 4ème Journée de prévention du cancer du côlon par endoscopie

  • La gastroscopie à Toulouse | Centre des Maladies de l'Appareil Digestif

    La Gastroscopie La Gastroscopie La gastroscopie est une exploration visuelle, qui sert à mettre en évidence des lésions de l’œsophage, de l’estomac et du duodénum. Elle est utile à votre médecin, pour déterminer l’origine de vos symptômes. Pourquoi choisir la gastroscopie ? C’est actuellement l’examen de référence pour explorer l’œsophage, l’estomac et le duodénum. Elle permet de mettre en évidence d’éventuelles lésions et de faire des biopsies (prélèvement d’un fragment de tissu pour l’étudier au microscope). Comment se préparer pour la gastroscopie ? Il faut être à jeun strict (sans boire, ni manger, ni fumer) durant les 6 heures précédant l’examen. Comment va se dérouler votre gastroscopie ? L’examen utilise un appareil souple appelé endoscope qui est introduit par la bouche ou par le nez, après, dans certains cas, une anesthésie locale. Le plus souvent, vous êtes installé(e), couché(e) sur le côté gauche. L’examen n’est pas douloureux. Vous n’êtes pas gêné(e) pour respirer car l’endoscope ne va pas dans les poumons. En revanche, il faut maintenir une respiration bien régulière durant toute la durée de l’examen afin d’éviter d’éventuelles nausées. Par ailleurs, vous devez éviter d’avaler votre salive, en la laissant s’écouler à l’extérieur de votre bouche sur une protection. Pendant l’examen, de l’air est insufflé pour déplisser les parois et peut vous occasionner de petits renvois d’air. D’éventuels prélèvements sont réalisés en cours d’examen si votre médecin le juge nécessaire. Pour améliorer la tolérance de l’examen une anesthésie générale peut être programmée. Il est alors de la compétence du médecin anesthésiste-réanimateur de répondre à vos questions relatives à sa spécialité. Entre chaque patient et suivant la réglementation en vigueur, l’endoscope est désinfecté et l’ensemble des accessoires utilisés (pinces à biopsies, …) est stérilisé ou jeté (matériel à usage unique). Ces procédures font référence pour prévenir d’éventuelles transmissions d’infections. Explication animée Animations présentant les Examens Endoscopiques – La gastroscopie [ Société Française d’Endoscopie Digestive – www.sfed.org ] Fiches d’informations La gastroscopie diagnostique : gastroscopie_diagnostique .pdf Download PDF • 52KB La gastroscopie thérapeutique : gastroscopie_therapeutique .pdf Download PDF • 50KB En savoir plus sur la gastroscopie La gastroscopie est une procédure médicale couramment utilisée pour examiner la muqueuse de l'œsophage, de l'estomac et du duodénum. Elle est souvent recommandée pour diagnostiquer divers problèmes gastro-intestinaux. Cependant, les patients se posent souvent des questions sur les effets secondaires, la différence entre une gastroscopie et une coloscopie, ainsi que sur l'alimentation à adopter la veille de l'examen. Cet article vous fournira des informations complètes sur ces sujets. Effets Secondaires de la Gastroscopie Bien que la gastroscopie soit généralement considérée comme une procédure sûre, elle peut entraîner certains effets secondaires. La majorité de ces effets sont bénins et temporaires, mais il est important d'en être conscient. Gêne et Douleur Abdominales Il est courant de ressentir une légère gêne ou des douleurs abdominales après une gastroscopie. Cela est souvent dû à l'air insufflé dans l'estomac pour améliorer la visibilité pendant l'examen. Cette sensation devrait disparaître en quelques heures. Gorge Irritée Une gorge irritée ou douloureuse est également fréquente après une gastroscopie. L'endoscope, passant par la bouche et l'œsophage, peut provoquer une irritation mineure. Cette gêne peut durer un jour ou deux. Ballonnements et Gaz L'insufflation d'air peut également causer des ballonnements et des gaz temporaires. Ces symptômes disparaissent généralement rapidement. Nausées et Vomissements Certains patients peuvent ressentir des nausées ou même vomir après la procédure, bien que cela soit relativement rare. Risques de Complications Bien que rares, des complications plus graves peuvent survenir. Celles-ci incluent des perforations (déchirures dans la paroi de l'estomac ou de l'œsophage), des infections, ou des réactions à l'anesthésie. Si vous ressentez des douleurs sévères, de la fièvre ou des saignements importants après une gastroscopie, contactez immédiatement votre médecin. Différence entre Gastroscopie et Coloscopie La gastroscopie et la coloscopie sont deux procédures endoscopiques utilisées pour examiner différentes parties du système digestif. Voici leurs principales différences : Zones Examinées Gastroscopie : Examine l'œsophage, l'estomac et le duodénum (première partie de l'intestin grêle). Coloscopie : Examine le côlon (gros intestin) et la partie terminale de l'intestin grêle. Indications Gastroscopie : Utilisée pour diagnostiquer des problèmes comme les ulcères, la gastrite, les reflux gastro-œsophagiens, et les cancers de l'œsophage ou de l'estomac. Coloscopie : Utilisée pour diagnostiquer et surveiller les maladies inflammatoires de l'intestin, les polypes, les cancers colorectaux, et les sources de saignements intestinaux. Procédure Gastroscopie : Un endoscope flexible est inséré par la bouche. Coloscopie : Un endoscope plus long est inséré par l'anus. Préparation Gastroscopie : Nécessite généralement de jeûner pendant environ 6 à 8 heures avant l'examen. Coloscopie : Nécessite une préparation intestinale plus rigoureuse, incluant souvent des laxatifs puissants et une alimentation liquide claire la veille de l'examen. Durée Gastroscopie : Environ 15 à 30 minutes. Coloscopie : Environ 30 à 60 minutes. Que Manger la Veille d'une Gastroscopie La préparation alimentaire avant une gastroscopie est cruciale pour garantir des résultats précis et éviter les complications. Voici des conseils sur ce que vous pouvez manger la veille de l'examen : Aliments Légers Optez pour des aliments faciles à digérer. Les repas légers tels que les soupes claires, les légumes cuits, le poisson cuit à la vapeur, ou les céréales sans lait sont recommandés. Évitez les Aliments Lourdes et Gras Évitez les aliments gras, frits ou lourds qui peuvent rester plus longtemps dans l'estomac et compliquer l'examen. Hydratation Buvez beaucoup d'eau pour rester hydraté. Cependant, arrêtez de boire des liquides clairs au moins deux heures avant la procédure. Jeûne La plupart des médecins recommandent un jeûne de 6 à 8 heures avant l'examen. Cela signifie que vous ne devriez pas manger ni boire (y compris de l'eau) pendant cette période. Consultez Votre Médecin Suivez toujours les instructions spécifiques de votre médecin concernant la préparation. Certains cas peuvent nécessiter des recommandations personnalisées en fonction de votre état de santé. En suivant ces conseils, vous pouvez vous assurer que vous êtes bien préparé pour votre gastroscopie, minimisant ainsi les risques et maximisant la précision de l'examen. La gastroscopie est une procédure essentielle pour diagnostiquer divers problèmes gastro-intestinaux, mais elle peut entraîner certains effets secondaires mineurs. Comprendre les différences entre la gastroscopie et la coloscopie, ainsi que savoir quoi manger la veille de l'examen, peut aider à réduire l'anxiété et à améliorer l'expérience globale du patient. Pour les résidents de Toulouse et de la région Occitanie, les hépato-gastroentérologues du CMAD sont disponibles pour fournir des soins spécialisés, du diagnostic à la guérison, en vous accompagnant à chaque étape de votre parcours de santé. Radiofréquence Endobrachyoesophage En savoir + Prise en charge de l’obésité par endoscopie : Ballon intra-gastrique ou Endosleeve En savoir + Qu'est-ce qu'une MICI En savoir + CPRE ( Cholangio-Pancréatographie Rétrograde Endoscopique) ou Endoscopie des voies biliaires En savoir + Dissection sous muqueuse endoscopique En savoir + Drainages biliaires En savoir + Cholangioscopie En savoir + Urgence hémoccult En savoir + Troubles de la statique du périné En savoir + Explorations ano-rectales En savoir + Explorations de l’oesophage : PH métrie et manométrie En savoir + MICI : maladie inflammatoire chronique de l’intestin En savoir + Explorations fonctionnelles En savoir + Endoscopies digestives En savoir + Proctologie En savoir + Hépatologie En savoir + Gastro-entérologie En savoir + Cancérologie En savoir + Voyages, Vaccinations et MICI En savoir + Ma MICI : Fonder une famille En savoir + Livret d’information destiné aux patients porteurs de MICI En savoir + Enfants et Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin - MICI En savoir + Endoscopies et MICI En savoir + Droits Sociaux et MICI En savoir + Corticoïdes et MICI En savoir + Assurances et MICI En savoir + Alimentation et MICI En savoir + Cancer du colon En savoir + pH Métrie En savoir + Fiches régimes En savoir + MICI : maladie inflammatoire chronique de l’intestin En savoir + Cancérologie et dépistage En savoir + La Gastroscopie En savoir + L’Echo-endoscopie En savoir + La Vidéocapsule de l'intestin grêle En savoir + La manométrie oesophagienne En savoir + Elastométrie hépatique (Fibroscan°, Supersonic°) En savoir + La Coloscopie En savoir + L’Entéroscopie double ballon En savoir + Une Question ? Le Centre des Maladies de l’Appareil Digestif (CMAD) de Toulouse est dédié à la prise en charge des affections gastro-intestinales et hépatiques. Forts de notre expertise et de notre engagement envers l'excellence médicale, nous proposons une gamme complète de services diagnostiques et thérapeutiques pour répondre à vos besoins spécifiques. Notre équipe d’hépato-gastroentérologues expérimentés est à votre disposition pour vous accompagner tout au long de votre parcours de santé, de la prévention au traitement. ​ Si vous avez des questions ou des doutes concernant votre état de santé, n’hésitez pas à fixer un rendez-vous de consultation avec l’un de nos spécialistes. Nous sommes là pour vous offrir les meilleurs soins possibles et vous aider à retrouver une meilleure qualité de vie. Contactez-nous dès aujourd'hui pour planifier votre consultation et bénéficier d'une prise en charge personnalisée et attentive. Contact

  • FibroScan® Toulouse Occitanie | Centre des Maladies de l'Appareil Digestif

    Elastométrie hépatique (Fibroscan°, Supersonic°) Le FibroScan® quantifie de façon instantanée et totalement non invasive la fibrose du foie en s’appuyant sur l’élastographie impulsionelle à vibration contrôlée. Le FibroScan® garantit une évaluation fiable, précise et reproductible de l’élasticité hépatique . Le principe utilisé va rejoindre la palpation clinique du foie par le médecin : plus le foie est dur, plus la fibrose est importante . Pour mesurer cette dureté, on évalue l’élasticité qui correspond en physique, à la capacité d’un milieu à se déformer lorsqu’on lui applique une contrainte mécanique. Plus un milieu est dur plus son élasticité augmente, ce qui peut paraître paradoxal dans le langage courant mais il s’agit ici de physique. Cette élasticité s’exprime en Kilo Pascal (kPa) comme pour une pression. Pour mesurer cette élasticité du foie, le FibroScan® utilise l’élastographie impulsionnelle à vibration contrôlée, technologie brevetée par Echosens® qui permet de mesurer la vitesse de propagation dans le foie d’une onde de choc. La vitesse de propagation de l’onde sismique est mesurée par ultrasons par le Transducteur et dépend de la dureté de l’organe qu’elle traverse. La mesure obtenue permet de quantifier la dureté du foie : plus il est dur, donc fibreux, plus la propagation de l’onde est rapide. La machine FibroScan® Le FibroScan® est composé de trois éléments : une sonde, une platine couplée à un système d’élastographie un logiciel spécifique qui permet de réaliser les examens de mesure et de gérer les données « patient ». Les appareils répondent à un large champ d’applications, du diagnos tic initial aux complications de la cirrhose. Comment se passe le FibroScan ? L’examen en pratique L’examen dure moins de 10 min et se fait pendant la consultation. Il ressemble à une échographie abdominale Les mesures sont réalisées sur le coté droit au niveau du foie par voie intercostale. Le patient est allongé sur le dos avec le bras droit relevé derrière la tête. La sonde est perpendiculaire à la surface de la peau. L’examen est réalisé au moins deux heures après un repas. Si le patient est stressé, il peut être utile de faire les mesures en apnée. L’opérateur doit réaliser 10 à 20 mesures valides. Le patient perçoit la percussion du vibreur sur la peau de façon totalement indolore. Avantages Fibroscan® Les avantages de l’utilisation du FibroScan® sont nombreux : la mesure est entièrement non invasive et totalement indolore pour le patient. l’examen est très simple et s’apparente à un examen doppler. Il ne prend que 5 à 15 minutes. le résultat de la mesure est connu immédiatement la mesure peut être faite au cours d’un traitement pour évaluer l’impact anti-fibrosant d’une thérapie la mesure peut être faite aussi souvent que nécessaire Radiofréquence Endobrachyoesophage En savoir + Prise en charge de l’obésité par endoscopie : Ballon intra-gastrique ou Endosleeve En savoir + Qu'est-ce qu'une MICI En savoir + CPRE ( Cholangio-Pancréatographie Rétrograde Endoscopique) ou Endoscopie des voies biliaires En savoir + Dissection sous muqueuse endoscopique En savoir + Drainages biliaires En savoir + Cholangioscopie En savoir + Urgence hémoccult En savoir + Troubles de la statique du périné En savoir + Explorations ano-rectales En savoir + Explorations de l’oesophage : PH métrie et manométrie En savoir + MICI : maladie inflammatoire chronique de l’intestin En savoir + Explorations fonctionnelles En savoir + Endoscopies digestives En savoir + Proctologie En savoir + Hépatologie En savoir + Gastro-entérologie En savoir + Cancérologie En savoir + Voyages, Vaccinations et MICI En savoir + Ma MICI : Fonder une famille En savoir + Livret d’information destiné aux patients porteurs de MICI En savoir + Enfants et Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin - MICI En savoir + Endoscopies et MICI En savoir + Droits Sociaux et MICI En savoir + Corticoïdes et MICI En savoir + Assurances et MICI En savoir + Alimentation et MICI En savoir + Cancer du colon En savoir + pH Métrie En savoir + Fiches régimes En savoir + MICI : maladie inflammatoire chronique de l’intestin En savoir + Cancérologie et dépistage En savoir + La Gastroscopie En savoir + L’Echo-endoscopie En savoir + La Vidéocapsule de l'intestin grêle En savoir + La manométrie oesophagienne En savoir + Elastométrie hépatique (Fibroscan°, Supersonic°) En savoir + La Coloscopie En savoir + L’Entéroscopie double ballon En savoir + Une Question ? Le Centre des Maladies de l’Appareil Digestif (CMAD) de Toulouse est dédié à la prise en charge des affections gastro-intestinales et hépatiques. Forts de notre expertise et de notre engagement envers l'excellence médicale, nous proposons une gamme complète de services diagnostiques et thérapeutiques pour répondre à vos besoins spécifiques. Notre équipe d’hépato-gastroentérologues expérimentés est à votre disposition pour vous accompagner tout au long de votre parcours de santé, de la prévention au traitement. ​ Si vous avez des questions ou des doutes concernant votre état de santé, n’hésitez pas à fixer un rendez-vous de consultation avec l’un de nos spécialistes. Nous sommes là pour vous offrir les meilleurs soins possibles et vous aider à retrouver une meilleure qualité de vie. Contactez-nous dès aujourd'hui pour planifier votre consultation et bénéficier d'une prise en charge personnalisée et attentive. Contact

  • Echo-endoscopie Toulouse | Centre des Maladies de l'Appareil Digestif

    L’Echo-endoscopie L'echo-endoscopie à Toulouse Qu’est-ce que l’écho-endoscopie? C’est une exploration qui associe l’endoscopie (visualisation de l’intérieur du tube digestif) à l’échographie (analyse par les ultrasons de la paroi et des organes situés au-delà de la paroi). Une sonde d’échographie est amenée à l’aide d’un endoscope à proximité de l’organe à étudier. Elle sert à rechercher ou à explorer des lésions du tube digestif ou des organes de voisinage. L’écho-endoscopie est l’examen le plus performant pour étudier la paroi de l’œsophage, de l’estomac ou du duodénum (pour rechercher et analyser des tumeurs bénignes ou malignes) et les organes de voisinage (vésicule, voies biliaires, pancréas, papille, ganglions). Appareil d’écho-endoscopie radial Il permet en outre de rechercher la présence de calculs, de kystes ou de tumeur dans les voies biliaires et/ou le pancréas. Il permet d’obtenir des informations qui ne peuvent pas être apportées par les autres explorations. Dans certains cas, il peut permettre de réaliser des prélèvements de fragments de tissu par ponction pour les étudier au microscope. Comment procède-t-on à l'écho-endoscopie ? Appareil linéaire et Aiguille à ponction L’examen utilise un appareil souple, un écho-endoscope. L’écho-endoscopie haute (œsophage, estomac, voies biliaires, pancréas) est en général réalisée sous anesthésie générale. Les patients ne ressentent rien durant l’intervention. Cet examen nécessite alors une consultation pré anesthésique. Les traitements en cours doivent être arrêtés ou continués conformément aux recommandations de l’anesthésiste. Il est de la compétence de l’anesthésiste de répondre à vos questions relatives à sa spécialité. Entre chaque patient et suivant les recommandations en vigueur, l’endoscope est désinfecté et les accessoires sont stérilisés ou jetés (matériel à usage unique) pour éviter toute transmission d’infections. Il est possible de réaliser des biopsies au cours de l’écho-endoscopie, au moyen d’une aiguille passée à l’intérieur de l’appareil, qui permet de prélever une carotte de tissus pour l’analyser. Dans ce cas il faut au préalable avoir réalisé un test sanguin pour vérifier l’absence d’anomalie de la coagulation sanguine. Comment se préparer pour l’écho-endoscopie ? Pour que l’examen se passe dans de bonnes conditions, il faut que l’estomac soit vide. Il ne faut donc ni manger, ni fumer durant les 6 heures précédant l’examen. Informez toujours votre médecin de vos allergies et des médicaments que vous prenez. Avant l’examen, enlevez les prothèses dentaires et les lunettes. Quelle est la durée d'un examen écho-endoscopie ? L’examen dure en moyenne 10 à 20 minutes. L’ensemble de la procédure (installation dans la salle d’examen, administration de la sédation, réalisation de l’examen, réveil et retour dans la salle de repos) peut cependant prendre 1 heure. Il est ensuite recommandé d’attendre au moins 1 heure dans la salle de repos pour surveillance et dissipation des effets de la sédation. Comment se déroule l’examen ? L’anesthésiste ou l’infirmière anesthésiste prépare l’anesthésie : – Pose une voie veineuse périphérique dans le bras (un peu comme une prise de sang), – Monitoring (surveillance) cardio respiratoire : saturomètre au doigt, électrodes d’ECG sur la poitrine et tensiomètre au bras, – Oxygénothérapie aux lunettes (le patient est en ventilation spontanée, il respire avec ses propres poumons durant l’anesthésie). Puis le patient se tourne sur le côté gauche (en décubitus latéral gauche) et met entre ses dents un « cale dents », qui a pour but de protéger l’appareil d’endoscopie des mouvements de mâchoire du patient. L’anesthésiste injecte le produit anesthésiant (propofol) et le patient s’endort en 30 secondes Pendant l’écho-endoscopie : Une fois endormi, l’examen peut débuter, l’écho-endoscope est introduit dans la bouche du patient. La durée d’un examen est courte, elle dure en général environ 15 à 20 min dans le cas d’une écho-endoscopie sans prélèvement. En cas de prélèvements, la durée s’allonge un petit peu (autour de 30 min). Durant l’examen, l’injection de CO2 avec l’endoscope permet de déplisser les parois du tube digestif et avoir un contrôle visuel de la progression de l’endoscope et le placement sur la zone voulue afin de démarrer l’exploration échographique. A l’arrêt de l’injection du produit anesthésiant le patient se réveille en quelques secondes. Après l’écho-endoscopie : Le patient est transféré en salle de réveil. Dès que l’état de vigilance est revenu à la normale (dans les 30 mn qui suivent), le patient est transféré dans sa chambre. Une collation est servie en général 1 heure après l’examen. Une fois la collation terminée, le patient se rhabille et rejoint une salle d’attente, puis le médecin lui donne les résultats ainsi que le compte rendu écrit de l’examen. Entre chaque patient, et suivant la réglementation en vigueur, l’endoscope est désinfecté et l’ensemble des accessoires utilisés (pinces à biopsies, …) est stérilisé ou jeté (matériel à usage unique). Après l’hospitalisation : L’écho-endoscopie est réalisée en ambulatoire, c’est à dire que le patient sort le jour même. Le soir, le patient rentre à la maison et peut manger le plus souvent normalement. Du fait de l’anesthésie, il ne peut pas conduire et doit être accompagné. Il peut être demandé au patient de rester hospitalisé pour surveillance des suites de l’examen, en particulier en cas de prélèvement ou de complication. Quels sont les inconvénients de l’examen ? Tout acte médical, exploration, intervention sur le corps humain, même conduit dans des conditions de compétence et de sécurité conformes aux données actuelles de la médecine et de la réglementation en vigueur, recèle un risque de complications. Les complications de l’écho-endoscopie sont exceptionnelles. Des perforations, en particulier œsophagiennes, peuvent survenir. Elles sont souvent favorisées par des lésions sous-jacentes (tumeur, …). Une intervention chirurgicale (avec ses propres risques) peut alors s’avérer nécessaire. D’autres complications sont possibles telles que les troubles cardio-vasculaires ou respiratoires et les infections. En cas de prélèvements, de rares cas d’infections ou d’hémorragies ont été rapportés. Une intervention chirurgicale et des transfusions de sang ou de dérivés sanguins sont parfois nécessaires. Ces complications peuvent être favorisées par vos antécédents médico-chirurgicaux ou par la prise de certains médicaments. Toutes ces complications apparaissent le plus souvent lors de l’écho-endoscopie mais peuvent également se révéler quelques jours après l’examen (douleurs abdominales ou thoraciques, fièvre, frissons…). Il est alors très important de contacter immédiatement le médecin et/ou l’anesthésiste qui se sont occupés de vous. En cas d’impossibilité de prendre contact avec lui, il est très important de pendre contact très rapidement avec votre médecin traitant. Recommandations particulières Il est recommandé de ne pas conduire de véhicule le jour d’un examen réalisé sous sédation ou anesthésie, car les calmants peuvent affecter vos réflexes ou votre jugement. Le retour à domicile doit donc être assuré par une tierce personne. Pour les mêmes raisons, il vous est également déconseillé de prendre, le jour de l’examen, des décisions importantes requérant toute votre lucidité. Il peut vous être demandé de rester hospitalisé pour surveillance dans les suites de l’examen en particulier en cas de prélèvement ou de complication. Des antibiotiques peuvent être prescrits pour une durée de trois à cinq jours en cas de prélèvements. Alternative L’échographie, le scanner et parfois la résonance magnétique sont souvent pratiqués avant l’écho-endoscopie, qui a pour but de préciser le résultat de ces examens. L’écho-endoscopie est actuellement l’examen le plus sensible pour détecter de très petites anomalies au niveau de la voie biliaire ou du pancréas (petit calcul ou petite tumeur). Ponction d’une tumeur du pancréas Calcul de canal cholédoque (voie biliaire principale) Extraction du calcul par un cathérisme retrograde de la papille Fiche d'information de la Société Française d’Endoscopie Digestive Fiche d'information Radiofréquence Endobrachyoesophage En savoir + Prise en charge de l’obésité par endoscopie : Ballon intra-gastrique ou Endosleeve En savoir + Qu'est-ce qu'une MICI En savoir + CPRE ( Cholangio-Pancréatographie Rétrograde Endoscopique) ou Endoscopie des voies biliaires En savoir + Dissection sous muqueuse endoscopique En savoir + Drainages biliaires En savoir + Cholangioscopie En savoir + Urgence hémoccult En savoir + Troubles de la statique du périné En savoir + Explorations ano-rectales En savoir + Explorations de l’oesophage : PH métrie et manométrie En savoir + MICI : maladie inflammatoire chronique de l’intestin En savoir + Explorations fonctionnelles En savoir + Endoscopies digestives En savoir + Proctologie En savoir + Hépatologie En savoir + Gastro-entérologie En savoir + Cancérologie En savoir + Voyages, Vaccinations et MICI En savoir + Ma MICI : Fonder une famille En savoir + Livret d’information destiné aux patients porteurs de MICI En savoir + Enfants et Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin - MICI En savoir + Endoscopies et MICI En savoir + Droits Sociaux et MICI En savoir + Corticoïdes et MICI En savoir + Assurances et MICI En savoir + Alimentation et MICI En savoir + Cancer du colon En savoir + pH Métrie En savoir + Fiches régimes En savoir + MICI : maladie inflammatoire chronique de l’intestin En savoir + Cancérologie et dépistage En savoir + La Gastroscopie En savoir + L’Echo-endoscopie En savoir + La Vidéocapsule de l'intestin grêle En savoir + La manométrie oesophagienne En savoir + Elastométrie hépatique (Fibroscan°, Supersonic°) En savoir + La Coloscopie En savoir + L’Entéroscopie double ballon En savoir + Une Question ? Le Centre des Maladies de l’Appareil Digestif (CMAD) de Toulouse est dédié à la prise en charge des affections gastro-intestinales et hépatiques. Forts de notre expertise et de notre engagement envers l'excellence médicale, nous proposons une gamme complète de services diagnostiques et thérapeutiques pour répondre à vos besoins spécifiques. Notre équipe d’hépato-gastroentérologues expérimentés est à votre disposition pour vous accompagner tout au long de votre parcours de santé, de la prévention au traitement. Si vous avez des questions ou des doutes concernant votre état de santé, n’hésitez pas à fixer un rendez-vous de consultation avec l’un de nos spécialistes. Nous sommes là pour vous offrir les meilleurs soins possibles et vous aider à retrouver une meilleure qualité de vie. Contactez-nous dès aujourd'hui pour planifier votre consultation et bénéficier d'une prise en charge personnalisée et attentive. Contact

  • Voyages, Vaccinations et MICI | Centre des Maladies de l'Appareil Digestif

    Voyages, Vaccinations et MICI Voyages, Vaccinations et les Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin (MICI) Les MICI ne sont pas un obstacle aux voyages, cependant, sauf urgences professionnelles, mieux vaut envisager les déplacements en période de rémission quand tout va bien. Comme pour tout voyageur, quelques précautions élémentaires sont nécessaires, en sachant rester raisonnable sur les destinations. Les perspectives d’un voyage peuvent être source d’angoisse et sont un défi pour un patient porteur de MICI avec à la clé plusieurs questions : langue, transports, hygiène ; médicaments, soins médicaux ; alimentation (que boire, que manger ?) ; vaccinations (cf. chapitre spécifique) et prévention médicamenteuse de certaines maladies (paludisme par exemple). Langue – Transports et hébergement – Hygiène L’anglais est la langue de référence du voyageur, un lexique avec quelques termes médicaux est souhaitable. Transports, hébergement et hygiène Les toilettes et sanitaires sont un souci permanent pour les patients porteurs de MICI : en avion réservez plutôt un siège côté allée près des toilettes auprès de la compagnie en lui demandant par ailleurs si des repas spécifiques peuvent être proposés (ex : sans fibres ou sans lactose) ; en autocar renseignez-vous sur les « pauses pipi » ou si le bus est équipé de toilettes ; vérifiez auprès de votre hébergeur (hôtel ou autres) quel type de commodités vous sont proposées ; pour les longs trajets en voiture, préférez parfois les itinéraires très fréquentés, en général mieux dotés en aires de repos, stations-service et restaurants ; pensez aussi à quelques rouleaux de papier toilette. Alimentation Changement d’alimentation, turista (diarrhée du voyageur) favorisent chez tout voyageur la survenue de troubles digestifs plus ou moins graves, a fortiori pour toute personne dont le tube digestif est fragilisé. Ces désordres peuvent par ailleurs être le facteur déclenchant d’une poussée de la maladie. Aucune recette « miracle » ne permet de les prévenir à 100 %. Néanmoins, le respect strict des consignes suivantes est souhaitable : évitez glaçons, glaces, salades, aliments réchauffés ou non cuits (fruits de mer, mollusques ?) et les aliments offerts par les vendeurs de rue ; buvez de l’eau minérale embouteillée ouverte devant vous ou de l’eau bouillie ou désinfectée (idem pour le lavage des dents) ; soyez vigilant face aux produits laitiers, faites bouillir le lait non pasteurisé ; n’oubliez pas que les excès de soleil, d’alcool ou de mets épicés peuvent perturber la digestion normale ; lorsque vous choisissez des fruits et des légumes, choisissez ceux que vous pouvez peler vous même. Lavez-les bien. Il n’existe pas à ce jour de prévention médicamenteuse validée de la turista. Les traitements utilisés sont les mêmes que pour la population générale à base d’antidiarrhéiques, d’antiinfectieux voire d’antibiotiques. Médicaments Vous devez faire le point avec votre médecin sur l’état évolutif de votre maladie et profiter de cette consultation pour vous faire établir : un résumé de votre histoire clinique (si possible en anglais) ; une ordonnance établie en dénomination commune internationale (DCI) de vos médicaments habituels et des traitements éventuels communs à tout voyageur (antidiarrhéiques) ; une liste d’éventuelles consignes d’adaptation de votre traitement en cas de problème. Votre médecin vérifiera avec vous la mise à jour de vos vaccinations. Pour ce qui est de vos traitements : emmenez suffisamment de médicaments pour la durée totale de votre séjour et même plus, en prévoyant les retards possibles ? ; prenez vos médicaments dans vos bagages à main avec votre ordonnance et les notices ; ne pas oublier une crème solaire ou un écran total. Une consultation dermatologique pourra s’envisager si vous voyagez fréquemment en zone ensoleillée ; prévoyez un conditionnement spécial si vous utilisez des suppositoires ou si vous voyagez en pays chaud ; il est bien évident, qu’en cas de traitement d’entretien nécessitant une prise en charge hospitalière, il convient de programmer le voyage dans l’intervalle de deux rendez-vous. Il n’y a pas de contre-indication à la chimio-prophylaxie contre le paludisme. Prise en charge des soins médicaux éventuels Modulable, en fonction du pays dans lequel vous vous rendez : pour la communauté économique européenne et certains pays voisins (ex : Suisse) vous pouvez vous faire établir une carte européenne d’assurance maladie qui est valable un an et qui ne réclame pas de document spécifique pour être établie. Elle s’utilise comme la carte vitale et remplace les anciens formulaires papier. Prévoyez de faire la demande auprès de votre caisse au moins 15 jours avant votre départ ; pour les autres pays, prenez contact avec votre caisse d’assurance maladie car certains accords bilatéraux de prise en charge des soins existent. Si vous devez faire l’avance des frais, pensez à conserver tous les justificatifs. Selon le code de la sécurité sociale, une prise en charge forfaitaire au retour est possible ; dans tous les cas, prenez une garantie d’assistance et de rapatriement. D’une manière générale, il est aujourd’hui conseillé de se renseigner sur les risques d’épidémie infectieuse (ex. : virus de la grippe, paludisme?) dans les pays que vous projetez de visiter et de suivre les mesures recommandées. Les MICI ne sont pas une contre-indication aux voyages, toutefois un minimum de précautions et d’organisation est requis ! Vaccinations La vaccination est basée sur la stimulation des systèmes de défense de l’organisme vis-à-vis d’agents infectieux extérieurs (bactéries, virus) de manière à prévenir ou à atténuer les maladies induites par ces agents, bien entendu sans provoquer la maladie. Il existe schématiquement deux types de vaccins : GROUPE 1 – les vaccins dits vivants atténués : fièvre jaune (antiamarile), tuberculose (BCG), polio oral, varicelle-zona, oreillons, rougeole, rubéole, rotavirus. GROUPE 2 – les vaccins inactivés, recombinants et anatoxines : tétanos, diphtérie, coqueluche, méningocoque, pneumocoque, hépatite A et B, fièvre typhoïde, rage, grippe, choléra, haemophilus influenzae type b, poliomyélite injectable, papillomavirus (HPV), leptospirose, encéphalite à tiques. Les vaccins peuvent être utilisés seuls ou en association. L’immunité acquise (capacité de défense) est variable d’un vaccin à l’autre, de même que la durée de la protection acquise. Certains s’adressent à la population générale, d’autres à des populations particulières. Chaque vaccination repose sur un calendrier vaccinal propre à chaque vaccin, l’immunité acquise apparaît en général au bout de quelques jours à quelques semaines. Les vaccinations de rappel sont nécessaires au maintien d’une protection durable. Certaines vaccinations ne peuvent être pratiquées que dans des centres autorisés (fièvre jaune par exemple). Pour les patients porteurs de MICI, il est impératif d’être à jour de ces vaccinations avant de débuter certains traitements. Il est important de vérifier son carnet de santé ou de vaccination. Chez les patients sous traitement immunomodulateur (corticothérapie, immunosuppresseurs, anti-TNF alpha) les vaccins dits vivants du groupe 1 sont contre-indiqués. Il est même recommandé d’attendre 3 mois après la fin du traitement immunomodulateur pour mettre en route la vaccination. Pour les vaccins du groupe 2, la vaccination est possible sans danger, en revanche son efficacité peut être moindre voire nulle. Il convient donc de vérifier à l’aide du dosage des anticorps l’efficacité de la vaccination. Le patient voyageur souffrant de MICI ayant besoin d’une vaccination du groupe 1 comme la fièvre jaune ne pourra pas faire cette injection s’il est sous traitement immunomodulateur. Dans le cas contraire, il n’y aura aucune contre-indication. En cas de voyage nécessitant des vaccinations spécifiques, il est préférable d’en parler avec son spécialiste pour vérifier l’absence de contre-indication. Il est donc fondamental, dès le diagnostic de MICI posé, dans la mesure du possible : de contrôler l’état vaccinal du patient ; d’envisager les rappels de vaccination ; de pratiquer au cas par cas certaines primo-vaccinations notamment du groupe 1 si nécessaire en fonction des orientations personnelles ou professionnelles du patient (par ex : fièvre jaune qui ne sera plus possible sous immunosuppresseurs ou anti-TNF alpha). Enfin toute vaccination est relativement contre-indiquée lorsqu’une maladie est en phase aiguë et donc lors d’une MICI en poussée. voyages_vaccinations_et_mici .pdf Download PDF • 170KB Radiofréquence Endobrachyoesophage En savoir + Prise en charge de l’obésité par endoscopie : Ballon intra-gastrique ou Endosleeve En savoir + Qu'est-ce qu'une MICI En savoir + CPRE ( Cholangio-Pancréatographie Rétrograde Endoscopique) ou Endoscopie des voies biliaires En savoir + Dissection sous muqueuse endoscopique En savoir + Drainages biliaires En savoir + Cholangioscopie En savoir + Urgence hémoccult En savoir + Troubles de la statique du périné En savoir + Explorations ano-rectales En savoir + Explorations de l’oesophage : PH métrie et manométrie En savoir + MICI : maladie inflammatoire chronique de l’intestin En savoir + Explorations fonctionnelles En savoir + Endoscopies digestives En savoir + Proctologie En savoir + Hépatologie En savoir + Gastro-entérologie En savoir + Cancérologie En savoir + Voyages, Vaccinations et MICI En savoir + Ma MICI : Fonder une famille En savoir + Livret d’information destiné aux patients porteurs de MICI En savoir + Enfants et Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin - MICI En savoir + Endoscopies et MICI En savoir + Droits Sociaux et MICI En savoir + Corticoïdes et MICI En savoir + Assurances et MICI En savoir + Alimentation et MICI En savoir + Cancer du colon En savoir + pH Métrie En savoir + Fiches régimes En savoir + MICI : maladie inflammatoire chronique de l’intestin En savoir + Cancérologie et dépistage En savoir + La Gastroscopie En savoir + L’Echo-endoscopie En savoir + La Vidéocapsule de l'intestin grêle En savoir + La manométrie oesophagienne En savoir + Elastométrie hépatique (Fibroscan°, Supersonic°) En savoir + La Coloscopie En savoir + L’Entéroscopie double ballon En savoir + Une Question ? Le Centre des Maladies de l’Appareil Digestif (CMAD) de Toulouse est dédié à la prise en charge des affections gastro-intestinales et hépatiques. Forts de notre expertise et de notre engagement envers l'excellence médicale, nous proposons une gamme complète de services diagnostiques et thérapeutiques pour répondre à vos besoins spécifiques. Notre équipe d’hépato-gastroentérologues expérimentés est à votre disposition pour vous accompagner tout au long de votre parcours de santé, de la prévention au traitement. Si vous avez des questions ou des doutes concernant votre état de santé, n’hésitez pas à fixer un rendez-vous de consultation avec l’un de nos spécialistes. Nous sommes là pour vous offrir les meilleurs soins possibles et vous aider à retrouver une meilleure qualité de vie. Contactez-nous dès aujourd'hui pour planifier votre consultation et bénéficier d'une prise en charge personnalisée et attentive. Contact

  • Urgence Hémoccult Positif | CMAD - Centre des Maladies de l’Appareil Digestif

    Urgence hémoccult Toulouse Les Urgences En cas de test Hémoccult + (test de dépistage du cancer colorectal par recherche de sang dans les selles), vous pouvez nous appeler ou nous adresser directement un mail pour obtenir un rendez-vous rapide. Contactez : Croix du Sud Secrétariat : 05 32 02 71 60 gastro1lcds@gmail.com Pasteur Secrétariat : 05 62 21 16 02 smgastro@clinique-pasteur.com En cas d’urgence hors test hémoccult et en dehors des heures d’ouverture des cabinets de consultation : s’il s’agit d’une urgence vitale vous pouvez composer le 15 ​ Le service des urgences de la clinique La Croix Du Sud à Quint Fonsegrives pourra vous accueillir 24h/24h tous les jours (05 36 28 00 00) Le standard de la Clinique Pasteur à Toulouse (05 62 21 31 31) ou de La Croix Du Sud (05 36 28 00 00) pourra également vous mettre en relation avec le gastro-entérologue d’astreinte. Urgence hémoccult +

  • Manométrie œsophagienne Toulouse | Centre des Maladies de l'Appareil Digestif

    La manométrie oesophagienne Manométrie œsophagienne à Toulouse La manométrie œsophagienne consiste à enregistrer la pression qui règne à l’intérieur des différentes parties de l’œsophage à l’aide d’une sonde munie d’un capteur de pression. Elle renseigne sur le fonctionnement de la contraction musculaire de l’œsophage. Les troubles fonctionnels de l’œsophage sont de deux types, diffus ou limité au sphincter inférieur de l’œsophage, qui régule le passage des aliments dans l’estomac. Troubles moteurs diffus : perte ou anomalie de la contraction (péristaltisme) qui fait progresser les aliments de la bouche jusqu’à l’estomac. Troubles sphinctériens : le sphincter inférieur de l’œsophage est trop lâche et peut entraîner un reflux ou une hernie hiatale. le sphincter inférieur de l’œsophage est trop serré et peut entraîner une dysphagie (difficulté au passage des aliments) en rapport avec une achalasie. Il s’agit rarement d’un examen de première intention, il est souvent proposé après une gastroscopie en fonction de la pathologie recherchée et des anomalies observées à l’endoscopie. Comment se déroule l’examen de manométrie ? Le patient est assis lors de l’introduction de la sonde souple par le nez jusque dans l’estomac. Puis il est allongé pendant le déroulement de l’examen qui n’est pas douloureux. Seule l’introduction de la sonde par le nez peut être désagréable. Cette sonde contient un capteur et l’enregistrement de la pression est effectué à différents niveaux de l’œsophage. Certaines manœuvres comme la compression abdominale ou la dilatation de l’œsophage par la sonde sont parfois nécessaires. L’examen dure 15 à 20 minutes. Prenez rendez-vous dès aujourd’hui avec l’un de nos gastro-entérologues ou hépatologues à Toulouse , au sein de la Clinique Pasteur ou de la Clinique Croix du Sud, pour bénéficier d’une prise en charge experte et d’un suivi de qualité. Votre santé digestive et hépatique est notre priorité. Radiofréquence Endobrachyoesophage En savoir + Prise en charge de l’obésité par endoscopie : Ballon intra-gastrique ou Endosleeve En savoir + Qu'est-ce qu'une MICI En savoir + CPRE ( Cholangio-Pancréatographie Rétrograde Endoscopique) ou Endoscopie des voies biliaires En savoir + Dissection sous muqueuse endoscopique En savoir + Drainages biliaires En savoir + Cholangioscopie En savoir + Urgence hémoccult En savoir + Troubles de la statique du périné En savoir + Explorations ano-rectales En savoir + Explorations de l’oesophage : PH métrie et manométrie En savoir + MICI : maladie inflammatoire chronique de l’intestin En savoir + Explorations fonctionnelles En savoir + Endoscopies digestives En savoir + Proctologie En savoir + Hépatologie En savoir + Gastro-entérologie En savoir + Cancérologie En savoir + Voyages, Vaccinations et MICI En savoir + Ma MICI : Fonder une famille En savoir + Livret d’information destiné aux patients porteurs de MICI En savoir + Enfants et Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin - MICI En savoir + Endoscopies et MICI En savoir + Droits Sociaux et MICI En savoir + Corticoïdes et MICI En savoir + Assurances et MICI En savoir + Alimentation et MICI En savoir + Cancer du colon En savoir + pH Métrie En savoir + Fiches régimes En savoir + MICI : maladie inflammatoire chronique de l’intestin En savoir + Cancérologie et dépistage En savoir + La Gastroscopie En savoir + L’Echo-endoscopie En savoir + La Vidéocapsule de l'intestin grêle En savoir + La manométrie oesophagienne En savoir + Elastométrie hépatique (Fibroscan°, Supersonic°) En savoir + La Coloscopie En savoir + L’Entéroscopie double ballon En savoir + Une Question ? Le Centre des Maladies de l’Appareil Digestif (CMAD) de Toulouse est dédié à la prise en charge des affections gastro-intestinales et hépatiques. Forts de notre expertise et de notre engagement envers l'excellence médicale, nous proposons une gamme complète de services diagnostiques et thérapeutiques pour répondre à vos besoins spécifiques. Notre équipe d’hépato-gastroentérologues expérimentés est à votre disposition pour vous accompagner tout au long de votre parcours de santé, de la prévention au traitement. Si vous avez des questions ou des doutes concernant votre état de santé, n’hésitez pas à fixer un rendez-vous de consultation avec l’un de nos spécialistes. Nous sommes là pour vous offrir les meilleurs soins possibles et vous aider à retrouver une meilleure qualité de vie. Contactez-nous dès aujourd'hui pour planifier votre consultation et bénéficier d'une prise en charge personnalisée et attentive. Contact

  • MICI : maladie inflammatoire chronique de l’intestin | Centre des Maladies de l’Appareil Digestif

    MICI : maladie inflammatoire chronique de l’intestin MICI : maladie inflammatoire chronique de l’intestin Les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (ou MICI) regroupent la maladie de Crohn et la recto-colite hémorragique. Elles se caractérisent toutes les deux par une inflammation de la paroi d’une partie du tube digestif. Dans la maladie de Crohn, elle peut être localisée dans tout le système digestif, de la bouche à l’anus (le plus souvent au niveau de l’intestin) tandis que dans la rectocolite hémorragique, elle est localisée au niveau du rectum et du colon. Ces maladies évoluent par poussées inflammatoires de durée et de fréquence extrêmement variables en fonction des patients, alternant avec des phases de rémission. Les MICI sont le plus souvent diagnostiquées chez des sujets jeunes âgés de 20 à 30 ans mais peuvent survenir à tout âge ; 15 % des cas concernent des enfants. Leur fréquence varie considérablement d’un pays à l’autre mais les taux les plus importants sont retrouvés dans les pays industrialisés et notamment en Europe du Nord-Ouest et aux Etats-Unis. En France, environ 5 nouveaux cas de maladie de Crohn et autant de rectocolites hémorragiques sont diagnostiqués chaque année pour 100 000 habitants. Il y a actuellement 200 000 cas nouveaux par an. Des facteurs d’environnement sur un terrain génétique Plusieurs facteurs de risque sont suspectés, notamment génétiques et environnementaux. Les études génétiques de patients atteints de MICI montre qu’il s’agit de maladies polygénétiques impliquant près de 100 gènes. Un gène de prédisposition de la maladie de Crohn a notamment été découvert (NOD2/CARD15) : une ou deux mutations sur ce gène peut multiplier par 40 le risque de développer la maladie. Mais le fait que cette maladie se développe dans les pays industrialisés fait largement suspecter le rôle de l’environnement. Les MICI apparaissent peu à peu dans les pays émergents et le suivi de migrants montre que le risque de développer la maladie rejoint celui de la population parmi laquelle ils vivent. Pollution, alimentation, hygiène, toutes les pistes sont ouvertes même si aucune étude ne permet à ce jour d’incriminer l’une ou l’autre. Seul facteur de risque avéré de la maladie de Crohn, le tabac mais qui, paradoxalement, protège de la rectocolite hémorragique. Douleurs et Diarrhée : 2 symptômes typiques Lors des poussées inflammatoires, les MICI se caractérisent le plus souvent par des douleurs abdominales, une diarrhée fréquente parfois sanglante ou encore une atteinte de la région anale (fissure, abcès) . Ils s’accompagnent souvent de fatigue, de perte d’appétit et de fièvre, parfois de manifestations extra-intestinales : articulaires, cutanées, oculaires, hépatiques. Chez environ 20 % des patients, les crises sont sévères. Leur intensité peut imposer l’hospitalisation, l’arrêt de l’alimentation et un traitement par perfusion pendant quelques jours. L’évolution de la maladie et surtout la répétition des crises peut entraîner le rétrécissement (sténose) d’un segment intestinal atteint puis éventuellement une occlusion ou encore un abcès pouvant aboutir à une fistule, c’est-à-dire à l’ouverture d’un trajet anormal partant de l’intestin malade vers un autre organe. Ces complications nécessitent parfois une intervention chirurgicale. Enfin, les MICI sont associées à un risque accru de cancer colorectal, notamment lorsque des lésions sont présentes au niveau du côlon. Une étude danoise a montré que, par rapport à la population générale, le risque était multiplié par 2 à 2.5 après 10 ans d’évolution de la maladie. Plusieurs critères pour un diagnostic Le diagnostic des MICI repose sur plusieurs critères cliniques, biologiques, endoscopique et d’imagerie médicale . Aux symptômes, il faut ajouter un bilan biologique qui permet de détecter un syndrome inflammatoire et des carences nutritionnelles éventuelles. L’endoscopie digestive (iléo coloscopie) consiste à introduire une sonde équipée d’une camera dans le système digestif du patient par voie naturelle et permet d’observer la présence de lésions et de pratiquer des prélèvements. Un bilan radiologique complémentaire peut aider à estimer l’étendue des lésions (scanner, IRM..). Aucun test à lui seul ne permet de diagnostiquer fermement la maladie, il se fait sur un faisceaux d’argument . Traitements de crise et traitements de fond Il n’existe pas de traitement curatif des MICI, mais les médicaments actuels permettent toutefois un contrôle durable de la maladie et une qualité de vie satisfaisante. Comme toute maladie inflammatoire chronique, la prise en charge repose sur un traitement de fond et un traitement de crise. Le premier est destiné à prévenir l’apparition des poussées et prolonger les phases de rémission. Le second permet d’écourter la durée des poussées inflammatoires et de limiter les symptômes. Lors des poussées , les 5-aminosalicylés (5-ASA) sont les anti-inflammatoires prescrits chez la majorité des patients en raison de leur bonne tolérance. Les corticoïdes arrivent en deuxième intention en cas d’inefficacité des 5-ASA ou de poussées modérées à sévères de la maladie. Ils sont plus efficaces mais présentent un certain nombre d’effets secondaires. En traitement de fond , les immunomodulateurs sont utilisés pour réguler l’immunité des patients et réduire l’inflammation à long terme. Il existe plusieurs molécules : azathioprine, mercaptopurine et méthotrexate. Les biothérapies (Anti-TNF) arrivées en 1990 ont amélioré la prise en charge. Elles bloquent spécifiquement le TNF-α, facteur d’inflammation présent dans la maladie. Deux molécules sont indiquées à ce jour dans la maladie de Crohn (infliximab, adalimumab) et une dans la rectocolite hémorragique (infliximab). Ces traitements sont réservés aux formes sévères et résistantes aux autres traitements. Par ailleurs, la fréquence et l’importance des diarrhées peuvent entraîner une carence nutritionnelle. Une supplémentation en fer, acide folique, zinc, magnesium, vitamines, etc. peut être nécessaire par voie orale ou intraveineuse et chez l’enfant, le recours à la nutrition entérale, exclusive ou en complément, est parfois nécessaire. Enfin, un traitement chirurgical est réservé aux malades résistants à un traitement bien suivi ou encore suite à l’apparition de complications. Au sein du groupe CMAD nous assurons l’ensemble de la prise en charge des MICI du diagnostic au traitement. Les traitements par biothérapie (Anti-TNF) se font sur les sites des cliniques La Croix du Sud et Pasteur dans un environnement dédié (unité de perfusion) avec des médecins impliqués spécifiquement dans la mise en œuvre de cette thérapeutique et sa surveillance. Références Source internet Inserm Télécharger le Guide patient HAS maladie de CROHN et RCH Liens Vous trouverez ci-dessous des liens permettant des informations complémentaires Commission MICI du CREGG My MICI Book Livret d’information destiné aux patients porteurs de MICI Groupe d’Étude Thérapeutique des Affections Inflammatoires du Tube Digestif Radiofréquence Endobrachyoesophage En savoir + Prise en charge de l’obésité par endoscopie : Ballon intra-gastrique ou Endosleeve En savoir + Qu'est-ce qu'une MICI En savoir + CPRE ( Cholangio-Pancréatographie Rétrograde Endoscopique) ou Endoscopie des voies biliaires En savoir + Dissection sous muqueuse endoscopique En savoir + Drainages biliaires En savoir + Cholangioscopie En savoir + Urgence hémoccult En savoir + Troubles de la statique du périné En savoir + Explorations ano-rectales En savoir + Explorations de l’oesophage : PH métrie et manométrie En savoir + MICI : maladie inflammatoire chronique de l’intestin En savoir + Explorations fonctionnelles En savoir + Endoscopies digestives En savoir + Proctologie En savoir + Hépatologie En savoir + Gastro-entérologie En savoir + Cancérologie En savoir + Voyages, Vaccinations et MICI En savoir + Ma MICI : Fonder une famille En savoir + Livret d’information destiné aux patients porteurs de MICI En savoir + Enfants et Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin - MICI En savoir + Endoscopies et MICI En savoir + Droits Sociaux et MICI En savoir + Corticoïdes et MICI En savoir + Assurances et MICI En savoir + Alimentation et MICI En savoir + Cancer du colon En savoir + pH Métrie En savoir + Fiches régimes En savoir + MICI : maladie inflammatoire chronique de l’intestin En savoir + Cancérologie et dépistage En savoir + La Gastroscopie En savoir + L’Echo-endoscopie En savoir + La Vidéocapsule de l'intestin grêle En savoir + La manométrie oesophagienne En savoir + Elastométrie hépatique (Fibroscan°, Supersonic°) En savoir + La Coloscopie En savoir + L’Entéroscopie double ballon En savoir + Une Question ? Le Centre des Maladies de l’Appareil Digestif (CMAD) de Toulouse est dédié à la prise en charge des affections gastro-intestinales et hépatiques. Forts de notre expertise et de notre engagement envers l'excellence médicale, nous proposons une gamme complète de services diagnostiques et thérapeutiques pour répondre à vos besoins spécifiques. Notre équipe d’hépato-gastroentérologues expérimentés est à votre disposition pour vous accompagner tout au long de votre parcours de santé, de la prévention au traitement. ​ Si vous avez des questions ou des doutes concernant votre état de santé, n’hésitez pas à fixer un rendez-vous de consultation avec l’un de nos spécialistes. Nous sommes là pour vous offrir les meilleurs soins possibles et vous aider à retrouver une meilleure qualité de vie. Contactez-nous dès aujourd'hui pour planifier votre consultation et bénéficier d'une prise en charge personnalisée et attentive. Contact

  • pH Métrie Toulouse | Centre des Maladies de l'Appareil Digestif

    pH Métrie pH-métrie œsophagienne à Toulouse Mesure et enregistrement en continu , pendant plusieurs heures, du pH du bas œsophage. La pH-métrie est un examen qui contribue à établir le diagnostic du reflux gastro-œsophagien (passage anormal de liquide gastrique acide dans l'œsophage). Elle permet également de contrôler l'efficacité du traitement chirurgical ou médical de celui-ci. La pH-métrie est un examen très fiable qui permet de détecter un RGO dans 96% des cas avec une spécificité de 96%. Technique de pH-métrie La capsule de reflux Bravo™ est un dispositif qui se fixe au tissu œsophagien pour évaluer les niveaux de pH et transmettre les données à l’enregistreur. Le dispositif d’évaluation de reflux Bravo™ est un test de pH ambulatoire par capsule œsophagienne qui capture les données de pH œsophagien pendant 96 heures au maximum. Cet examen permet de mesurer en continu l’acidité dans le bas de votre œsophage à l’aide d’une capsule qui est temporairement fixée dans le bas de votre œsophage sous anesthésie générale. L’objectif est de déterminer si vous souffrez de reflux gastro-œsophagiens (RGO). Elle transmet les variations de pH par télémétrie à un récepteur externe que vous devrez garder continuellement à votre proximité pendant 96 heures. La capsule télémétrique de pH métrie Bravo® permet un enregistrement du pH œsophagien plus prolongé (96 heures) et dans des conditions plus physiologiques que la pH-métrie conventionnelle « filaire ». Le traitement par inhibiteur de la pompe à protons (IPP) sera le plus souvent arrêté 8 jours avant, sauf indication contraire du médecin. Les anti H2 48 heures et les anti acides 12 h avant . Déroulement d'une pH-métrie œsophagienne à Toulouse Le patient porte l’enregistreur pendant 96 heures au maximum pour enregistrer les données de reflux et l’activité du patient transmises par la capsule. Lorsque le boîtier est situé trop loin de vous, il émet un signal sonore. La capsule se détache ensuite spontanément dans un délai de 7 à 14 jours, pour être éliminée spontanément dans les selles. Les pacemakers, stimulateur cardiaque, défibrillateur, grossesse, IRM programmée dans les 30 jours ou la prise d’anti-coagulant sont des contre-indications à la pose de la capsule Bravo. La tolérance de la pH-métrie sans fil est meilleure que la pH-métrie avec sonde (filaire) et elle autorise une activité normale. Les symptômes liés à la fixation de la capsule sont rares et habituellement d’intensité légère : douleurs thoraciques, blocage alimentaire et sensation de corps étranger. Ils conduisent exceptionnellement au retrait anticipé de la capsule endoscopique . Durant les 96 heures d’enregistrement, il est recommandé de poursuivre vos activités habituelles pour que l’examen se base sur un « quotidien » aussi représentatif que possible. Vous ne devez boire que de l’eau, du café ou du thé, pas de soda, pas de bière, pas de vin, pas d’alcool. Évitez le vinaigre et tout ce qui est acide. Vous devrez noter les événements sur le boîtier : début et fin de repas, périodes couchées, et symptômes (brûlures œsophagiennes , sensation de reflux, , douleurs thoraciques). Vous reviendrez 96 heures après la pose de la capsule pour rendre le boitier et l'interprétation vous sera envoyée, ainsi qu' à votre médecin traitant, quelques jours plus tard. A quoi sert une pH-métrie ? Cette exploration n’est utile que dans les cas difficiles (symptômes peu typiques, absence d’œsophagite à l’endoscopie). Elle permet de déterminer si vous souffrez de reflux gastro-œsophagien (RGO). Le RGO occasionne des symptômes pouvant être très variés : toux, douleur thoracique, enrouement, maux de gorge, etc… En pratique Penser à apporter tous documents complémentaires nécessaires à votre examen : courrier du médecin qui demande l'exploration fonctionnelle, compte-rendu d’endoscopie œsogastrique ainsi que les clichés radiologiques en votre possession notamment un transit œsogastroduodénale (TOGD) ou scanner. Radiofréquence Endobrachyoesophage En savoir + Prise en charge de l’obésité par endoscopie : Ballon intra-gastrique ou Endosleeve En savoir + Qu'est-ce qu'une MICI En savoir + CPRE ( Cholangio-Pancréatographie Rétrograde Endoscopique) ou Endoscopie des voies biliaires En savoir + Dissection sous muqueuse endoscopique En savoir + Drainages biliaires En savoir + Cholangioscopie En savoir + Urgence hémoccult En savoir + Troubles de la statique du périné En savoir + Explorations ano-rectales En savoir + Explorations de l’oesophage : PH métrie et manométrie En savoir + MICI : maladie inflammatoire chronique de l’intestin En savoir + Explorations fonctionnelles En savoir + Endoscopies digestives En savoir + Proctologie En savoir + Hépatologie En savoir + Gastro-entérologie En savoir + Cancérologie En savoir + Voyages, Vaccinations et MICI En savoir + Ma MICI : Fonder une famille En savoir + Livret d’information destiné aux patients porteurs de MICI En savoir + Enfants et Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin - MICI En savoir + Endoscopies et MICI En savoir + Droits Sociaux et MICI En savoir + Corticoïdes et MICI En savoir + Assurances et MICI En savoir + Alimentation et MICI En savoir + Cancer du colon En savoir + pH Métrie En savoir + Fiches régimes En savoir + MICI : maladie inflammatoire chronique de l’intestin En savoir + Cancérologie et dépistage En savoir + La Gastroscopie En savoir + L’Echo-endoscopie En savoir + La Vidéocapsule de l'intestin grêle En savoir + La manométrie oesophagienne En savoir + Elastométrie hépatique (Fibroscan°, Supersonic°) En savoir + La Coloscopie En savoir + L’Entéroscopie double ballon En savoir + Une Question ? Le Centre des Maladies de l’Appareil Digestif (CMAD) de Toulouse est dédié à la prise en charge des affections gastro-intestinales et hépatiques. Forts de notre expertise et de notre engagement envers l'excellence médicale, nous proposons une gamme complète de services diagnostiques et thérapeutiques pour répondre à vos besoins spécifiques. Notre équipe d’hépato-gastroentérologues expérimentés est à votre disposition pour vous accompagner tout au long de votre parcours de santé, de la prévention au traitement. ​ Si vous avez des questions ou des doutes concernant votre état de santé, n’hésitez pas à fixer un rendez-vous de consultation avec l’un de nos spécialistes. Nous sommes là pour vous offrir les meilleurs soins possibles et vous aider à retrouver une meilleure qualité de vie. Contactez-nous dès aujourd'hui pour planifier votre consultation et bénéficier d'une prise en charge personnalisée et attentive. Contact

  • proctologie operations, ph metrie toulouse

    pH Métrie pH-métrie œsophagienne à Toulouse Mesure et enregistrement en continu , pendant plusieurs heures, du pH du bas œsophage. La pH-métrie est un examen qui contribue à établir le diagnostic du reflux gastro-œsophagien (passage anormal de liquide gastrique acide dans l'œsophage). Elle permet également de contrôler l'efficacité du traitement chirurgical ou médical de celui-ci. La pH-métrie est un examen très fiable qui permet de détecter un RGO dans 96% des cas avec une spécificité de 96%. Technique de pH-métrie La capsule de reflux Bravo™ est un dispositif qui se fixe au tissu œsophagien pour évaluer les niveaux de pH et transmettre les données à l’enregistreur. Le dispositif d’évaluation de reflux Bravo™ est un test de pH ambulatoire par capsule œsophagienne qui capture les données de pH œsophagien pendant 96 heures au maximum. Cet examen permet de mesurer en continu l’acidité dans le bas de votre œsophage à l’aide d’une capsule qui est temporairement fixée dans le bas de votre œsophage sous anesthésie générale. L’objectif est de déterminer si vous souffrez de reflux gastro-œsophagiens (RGO). Elle transmet les variations de pH par télémétrie à un récepteur externe que vous devrez garder continuellement à votre proximité pendant 96 heures. La capsule télémétrique de pH métrie Bravo® permet un enregistrement du pH œsophagien plus prolongé (96 heures) et dans des conditions plus physiologiques que la pH-métrie conventionnelle « filaire ». Le traitement par inhibiteur de la pompe à protons (IPP) sera le plus souvent arrêté 8 jours avant, sauf indication contraire du médecin. Les anti H2 48 heures et les anti acides 12 h avant . Déroulement d'une pH-métrie œsophagienne à Toulouse Le patient porte l’enregistreur pendant 96 heures au maximum pour enregistrer les données de reflux et l’activité du patient transmises par la capsule. Lorsque le boîtier est situé trop loin de vous, il émet un signal sonore. La capsule se détache ensuite spontanément dans un délai de 7 à 14 jours, pour être éliminée spontanément dans les selles. Les pacemakers, stimulateur cardiaque, défibrillateur, grossesse, IRM programmée dans les 30 jours ou la prise d’anti-coagulant sont des contre-indications à la pose de la capsule Bravo. La tolérance de la pH-métrie sans fil est meilleure que la pH-métrie avec sonde (filaire) et elle autorise une activité normale. Les symptômes liés à la fixation de la capsule sont rares et habituellement d’intensité légère : douleurs thoraciques, blocage alimentaire et sensation de corps étranger. Ils conduisent exceptionnellement au retrait anticipé de la capsule endoscopique . Durant les 96 heures d’enregistrement, il est recommandé de poursuivre vos activités habituelles pour que l’examen se base sur un « quotidien » aussi représentatif que possible. Vous ne devez boire que de l’eau, du café ou du thé, pas de soda, pas de bière, pas de vin, pas d’alcool. Évitez le vinaigre et tout ce qui est acide. Vous devrez noter les événements sur le boîtier : début et fin de repas, périodes couchées, et symptômes (brûlures œsophagiennes , sensation de reflux, , douleurs thoraciques). Vous reviendrez 96 heures après la pose de la capsule pour rendre le boitier et l'interprétation vous sera envoyée, ainsi qu' à votre médecin traitant, quelques jours plus tard. A quoi sert une pH-métrie ? Cette exploration n’est utile que dans les cas difficiles (symptômes peu typiques, absence d’œsophagite à l’endoscopie). Elle permet de déterminer si vous souffrez de reflux gastro-œsophagien (RGO). Le RGO occasionne des symptômes pouvant être très variés : toux, douleur thoracique, enrouement, maux de gorge, etc… En pratique Penser à apporter tous documents complémentaires nécessaires à votre examen : courrier du médecin qui demande l'exploration fonctionnelle, compte-rendu d’endoscopie œsogastrique ainsi que les clichés radiologiques en votre possession notamment un transit œsogastroduodénale (TOGD) ou scanner.

  • Dr Maeva GUILLAUME | Gastro-entérologue Toulouse Clinique Pasteur

    Clinique Pasteur Dr Maeva GUILLAUME Hépatologue et Gastro-entérologue Toulouse Clinique Pasteur 05 62 21 16 02 smgastro@clinique-pasteur.com Linkedln Fixer un rendez-vous Retour Examens pratiqués Endoscopies : gastroscopie et coloscopie diagnostiques et interventionnelles Traitement endoscopique du surpoids et de l’obésité (Endoscopie bariatrique) : Ballon intra-gastrique ; Endosleeve Cathétérisme biliaire et pancréatique (CPRE) Vidéo capsule du grêle Évaluation non invasive de la fibrose hépatique par Fibroscan® / Supersonic ® Titres et Diplômes Diplômes 2011 : Master 2 Recherche, Université de Paris – Sud XI « Sciences Chirurgicales » 2012 : Diplôme d’Etat de Docteur en Médecine, Université Toulouse III 2012 : Diplôme d’Etudes Spécialisées en Hépato-Gastro-Entérologie, Université Toulouse III 2013: Diplôme Universitaire « Hépatites virales, Cytokines et antiviraux » Université Paris VI 2016 : Diplôme de Doctorat en biologie, santé, biotechnologies, spécialité Physiopathologie, Université Toulouse III 2018 : Concours National de Praticien Hospitalier type 1 2019 : Diplôme Universitaire de Pédagogie en Santé, Université Toulouse III 2024 : Curriculum d'endoscopie bariatrique de la SFED (Société Française d'Endoscopie Digestive) Titres, formations et cursus 2007 – 2012 : Interne au CHU de Toulouse 2010 – 2011 : Hepatic Hemodynamic Laboratory, Liver Unit, Université de Barcelone, Hospital Clínic – IDIBAPS, CIBERehd, Barcelone, Espagne 2012 -2014 – Poste d’Accueil INSERM – U1048 – Equipe 9 – Institut des Maladies Métaboliques et Cardio-vasculaires (I2MC) – Toulouse Praticien Hospitalier Attaché, Service d’hépato-gastroentérologie, CHU de Toulouse 2014 – 2018 : Chef de Clinique – Assistant – Universitaire au CHU de Toulouse, service d’hépato-gastroentérologie, CHU de Toulouse 2018 – 2019 : Praticien Hospitalo-Universitaire (PHU), service d’hépato-gastroentérologie, CHU de Toulouse Depuis 2019 : Clinique Pasteur, Toulouse Bourses et prix 2010 : Appel d’Offre Jeunes Chercheurs (Direction de la Recherche Clinique et de l’Innovation du CHU de Toulouse) 2011 : Prix de la Fondation de l’avenir 2014 : Appel d’Offre Local (Direction de la Recherche Clinique et de l’Innovation du CHU de Toulouse) 2016 : Bourse FARE (Fonds d’Aide à la Recherche et à l’Evaluation en hépato-gastroentérologie) de la SNFGE 2016 : Prix de la meilleure communication « travaux juniors » à la « Jeunes Hépatologues Conférence » 2018 : Bourse FARE (Fonds d’Aide à la Recherche et à l’Evaluation en hépato-gastroentérologie) de la SNFGE 2018 : Bourse Appel à Projets AFEF (Association Française pour l’Etude du Foie) Centres d’intérêts et Expertises Maladies du foie Endoscopie bariatrique Gastro-entérologie Recherche clinique Publications scientifiques =>suivre ce lien Fonctions Professionnelles et sociétés savantes Membre de sociétés savantes et affiliations Membre AFEF (Association Française pour l’Etude du Foie) Membre du Club Francophone pour l’Etude de l’Hypertension Portale Membre de la SNFGE (Société nationale Française de Gastro-entérologie) Membre de la SFED (Société Française d’Endoscopie Digestive) Membre du CREGG - Commission Hépatologie (Club de Réflexion des Cabinets et Groupes d’Hépato‑Gastroentérologie) < Retour

  • Stéatose hépatique Toulouse - Parcours de Soins | Centre des Maladies de l'Appareil Digestif

    Stéatose Hépatique à Toulouse - un parcours de soins dédié Stéatose hépatique à Toulouse : un parcours de soins pluridisciplinaire dédié au Centre de Soins des Maladies Chronique de la Clinique Pasteur Contact : Clinique PASTEUR, Secrétariat d’hépato-gastro-entérologie : secdrguillaume@clinique-pasteur.com Notre centre a organisé un parcours de soin sur une journée qui se veut complet et pluridisciplinaire avec pour objectif de proposer une prise en charge personnalisée à chaque profil de patient, en respect des règles de bonne pratique recommandées par l’Association Française pour l’Etude du Foie. L’objectif principal est de centrer nos efforts sur la maladie chronique du foie qui connait actuellement la plus forte prévalence (17% en France) et la plus forte augmentation d’incidence : la stéatose, conséquence du syndrome métabolique. Seuls 5 à 10% des patients sont au stade de fibrose sévère. Les sujets les plus à risque de fibrose sont les patients diabétiques de type 2. N’ayant pas les moyens humains pour prendre en charge l’ensemble des patients atteints de stéatose, nous priorisons l’accès à notre parcours de soins à ceux qui nécessitent le plus d'une prise en charge spécialisée multidisciplinaire, c'est à dire les patients poly-pathologiques et/ou ceux qui sont suspects d'être au stade de fibrose avancée. Pour quels patients ? Ce programme s’adresse aux patients (principalement de 40 à 75 ans ) qui présentent une stéatose et des perturbations chroniques du bilan sanguin du foie et qui sont suspectés Soit d’avoir une fibrose du foie . En général, un score de FIB-4 > 1,30 qui fait craindre la présence d’une fibrose ou ne permet pas de l'éliminer. Soit d’avoir plusieurs causes de maladies du foie potentiellement associées ce qui rend un suivi spécialisé nécessaire. Soit des patients dits « poly-pathologiques » c’est-à-dire qui présentent en plus de la stéatose, un diabète de type 2 difficile à équilibrer, des maladies cardio-vasculaires, etc.., et qui bénéficieront de notre approche pluridisciplinaire. Patients non concernés par ce bilan : stéatose isolée, chez un patient jeune qui ne présente qu’un surpoids sans autre comorbidités, et dont le score FIB-4 est < 1,3. Modalités d’adressage Votre médecin traitant ou votre médecin spécialiste (cardiologue, diabétologue, nturionniste, etc …) nous adresse un mail de demande de prise en charge à l’adresse suivante : secdrguillaume@clinique-pasteur.com avec vos coordonnées (nom, prénom, date de naissance, téléphone, adresse mail) et le motif d’adressage. Objectif du bilan Vous serez convoqué en Hôpital de Jour pluridisciplinaire au Centre de Soins des Maladies Chroniques de la Clinique Pasteur. Vous viendrez passer sur une journée pour réaliser un bilan complet avec des consultations spécialisées et des examens complémentaires nécessaires pour : 1/ le diagnostic précis de la maladie du foie : stade de sévérité, recherche d’autres maladies du foie associées (hépatites virales, hépatites auto-immunes, etc…) 2/ le dépistage ou le bilan des maladies métaboliques associées (diabète, cholestérol, hypertension artérielle, apnée du sommeil, maladies cardio-vasculaires) 3/ une prise en charge hygiéno-diététique et médicamenteuse personnalisée en fonction du diagnostic de la maladie du foie, et des complications métaboliques qui y sont associées. Cette hospitalisation est coordonnée par un médecin hépatologue spécialisé. Une lettre de synthèse vous est transmise ainsi qu’à votre médecin traitant et tous les médecins spécialistes qui vous prennent en charge à l’issue de cette journée. La nécessité d’un suivi spécialisé, les modalités et le rythme de surveillance vous seront expliquées en fonction du diagnostic posé. Consultations et Examens pratiqués Avant l’hospitalisation Une ordonnance vous sera adressée lors de la prise de rendez-vous pour réaliser 2 semaines avant votre venue un bilan sanguin à jeun dans un laboratoire proche de votre domicile, afin que nous disposions le jour de votre venue des résultats nous permettant d’avoir toutes les informations nécessaires à une prise en charge optimale (dépistage d’un diabète, de troubles du cholestérol, bilan de toutes les causes de maladie de foie …) Des questionnaires Un questionnaire « enquête alimentaire » pour aider la diététicienne à vous donner des conseils personnalisés Un questionnaire « activité physique » pour aider le médecin du sport à vous donner des conseils personnalisés Un questionnaire AUDIT sur la consommation d’alcool Un questionnaire sur la « qualité de vie » Un questionnaire sur les antécédents médicaux et les traitements en cours Le jour de l’hospitalisation Prise de tension artérielle, poids taille, tour de taille, calcul de l’IMC Un bilan de dépistage des facteurs de risque métaboliques (diabète, cholestérol, hypertension) Une échographie du foie par un radiologie Un score calcique coronaire (dépistage de maladie cardiaque = athérome des artères coronaires) Une élastométrie du foie par 2 méthodes d’évaluation (Fibroscan et Supersonic) Un électrocardiogramme Une consultation avec une infirmière d’éducation thérapeutique spécialisée Une consultation avec une diététicienne Une consultation avec un médecin du sport pour prescrire une Activité Physique Adaptée Consultation avec coach d’Activité Physique Adaptée pour fixer un programme de remise en forme sous l’égide du médecin du sport Une consultation avec une psychologue (si accord du patient) Une consultation avec un tabaccologue (si tabagisme actif) Une consultation avec un médecin hépato-gastro-entérologue pour la synthèse du diagnostic et la proposition de prise en charge personnalisée. Plan personnalisé de soin A l’issue de la consultation de synthèse avec l’hépatologue, seront proposés : Un programme et si besoin un accompagnement personnalisé diététique et sportif Une réorientation si nécessaire vers d’autres parcours de soins : Si découverte de diabète ou si diabète mal équilibré par les traitements actuels => orientation vers un diabétologue Si score calcique coronaire > 100 UI => orientation vers un cardiologue pour un test d’effort myocardique et une échographie-doppler des artères du corps Si suspicion d’apnée du sommeil => orientation vers un examen de diagnostic spécialisé en pneumologie Si obésité et échec des prises en charges nutritionnelles antérieures => orientation vers les parcours de préparation à l’endoscopie ou la chirurgie bariatrique coordonnées par le médecin nutritionniste Un traitement médicamenteux spécifique pour le foie si les critères d’éligibilités sont remplis

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