Résultats de recherche
95 results found for ""
- Qu'est-ce qu'une MICI | Centre des Maladies de l'Appareil Digestif
Qu'est-ce qu'une MICI ? Réponses à vos questions avec le Centre des Maladies de l'Appareil Digestif Qu'est-ce qu'une MICI Qu'est ce que les MICI ? Les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (ou MICI) regroupent la maladie de Crohn et la recto-colite hémorragique. Elles se caractérisent toutes les deux par une inflammation de la paroi d’une partie du tube digestif. Dans la maladie de Crohn, elle peut être localisée dans tout le système digestif, de la bouche à l’anus (le plus souvent au niveau de l’intestin) tandis que dans la rectocolite hémorragique, elle est localisée au niveau du rectum et du colon. Ces maladies évoluent par poussées inflammatoires de durée et de fréquence extrêmement variables en fonction des patients, alternant avec des phases de rémission. Les MICI sont le plus souvent diagnostiquées chez des sujets jeunes âgés de 20 à 30 ans mais peuvent survenir à tout âge ; 15 % des cas concernent des enfants. Leur fréquence varie considérablement d’un pays à l’autre mais les taux les plus importants sont retrouvés dans les pays industrialisés et notamment en Europe du Nord-Ouest et aux Etats-Unis. En France, environ 5 nouveaux cas de maladie de Crohn et autant de rectocolites hémorragiques sont diagnostiqués chaque année pour 100 000 habitants. Il y a actuellement 200 000 cas nouveaux par an. Des facteurs d’environnement sur un terrain génétique Plusieurs facteurs de risque sont suspectés, notamment génétiques et environnementaux. Les études génétiques de patients atteints de MICI montre qu’il s’agit de maladies polygénétiques impliquant près de 100 gènes. Un gène de prédisposition de la maladie de Crohn a notamment été découvert (NOD2/CARD15) : une ou deux mutations sur ce gène peut multiplier par 40 le risque de développer la maladie. Mais le fait que cette maladie se développe dans les pays industrialisés fait largement suspecter le rôle de l’environnement. Les MICI apparaissent peu à peu dans les pays émergents et le suivi de migrants montre que le risque de développer la maladie rejoint celui de la population parmi laquelle ils vivent. Pollution, alimentation, hygiène, toutes les pistes sont ouvertes même si aucune étude ne permet à ce jour d’incriminer l’une ou l’autre. Seul facteur de risque avéré de la maladie de Crohn, le tabac mais qui, paradoxalement, protège de la rectocolite hémorragique. Diagnostic des MICI Le diagnostic des MICI repose sur plusieurs critères cliniques, biologiques, endoscopique et d’imagerie médicale . Aux symptômes, il faut ajouter un bilan biologique qui permet de détecter un syndrome inflammatoire et des carences nutritionnelles éventuelles. L’endoscopie digestive (iléo coloscopie) consiste à introduire une sonde équipée d’une camera dans le système digestif du patient par voie naturelle et permet d’observer la présence de lésions et de pratiquer des prélèvements. Un bilan radiologique complémentaire peut aider à estimer l’étendue des lésions (scanner, IRM..). Aucun test à lui seul ne permet de diagnostiquer fermement la maladie, il se fait sur un faisceaux d’argument . Références Source internet Inserm Télécharger le Guide patient HAS maladie de CROHN et RCH Liens Vous trouverez ci-dessous des liens permettant des informations complémentaires Commission MICI du CREGG My MICI Book Livret d’information destiné aux patients porteurs de MICI Groupe d’Étude Thérapeutique des Affections Inflammatoires du Tube Digestif Recto Colite Hémorragique (RCH) à Toulouse En savoir + Maladie de Crohn Toulouse En savoir + Radiofréquence Endobrachyoesophage En savoir + Prise en charge de l’obésité par endoscopie : Ballon intra-gastrique ou Endosleeve En savoir + Qu'est-ce qu'une MICI En savoir + CPRE ( Cholangio-Pancréatographie Rétrograde Endoscopique) ou Endoscopie des voies biliaires En savoir + Dissection sous muqueuse endoscopique En savoir + Drainages biliaires En savoir + Cholangioscopie En savoir + Urgence hémoccult En savoir + Troubles de la statique du périné En savoir + Explorations ano-rectales En savoir + Explorations de l’oesophage : PH métrie et manométrie En savoir + MICI : maladies inflammatoires chroniques de l’intestin En savoir + Explorations fonctionnelles En savoir + Endoscopies digestives En savoir + Proctologie En savoir + Hépatologie En savoir + Gastro-entérologie En savoir + Cancérologie En savoir + Voyages, Vaccinations et MICI En savoir + Ma MICI : Fonder une famille En savoir + Livret d’information destiné aux patients porteurs de MICI En savoir + Enfants et Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin - MICI En savoir + Endoscopies et MICI En savoir + Droits Sociaux et MICI En savoir + Corticoïdes et MICI En savoir + Assurances et MICI En savoir + Alimentation et MICI En savoir + Cancer du colon En savoir + pH Métrie En savoir + Fiches régimes En savoir + Tout savoir sur les MICI En savoir + Cancérologie et dépistage En savoir + La Gastroscopie En savoir + L’Echo-endoscopie En savoir + La Vidéocapsule de l'intestin grêle En savoir + La manométrie oesophagienne En savoir + Elastométrie hépatique (Fibroscan°, Supersonic°) En savoir + La Coloscopie En savoir + L’Entéroscopie double ballon En savoir + Une Question ? Le Centre des Maladies de l’Appareil Digestif (CMAD) de Toulouse est dédié à la prise en charge des affections gastro-intestinales et hépatiques. Forts de notre expertise et de notre engagement envers l'excellence médicale, nous proposons une gamme complète de services diagnostiques et thérapeutiques pour répondre à vos besoins spécifiques. Notre équipe d’hépato-gastroentérologues expérimentés est à votre disposition pour vous accompagner tout au long de votre parcours de santé, de la prévention au traitement. Si vous avez des questions ou des doutes concernant votre état de santé, n’hésitez pas à fixer un rendez-vous de consultation avec l’un de nos spécialistes. Nous sommes là pour vous offrir les meilleurs soins possibles et vous aider à retrouver une meilleure qualité de vie. Contactez-nous dès aujourd'hui pour planifier votre consultation et bénéficier d'une prise en charge personnalisée et attentive. Contact
- Urgence hémoccult Toulouse | Centre des Maladies de l'Appareil Digestif
Nous encourageons vivement tous les patients du CMAD, Centre des Maladies de l'Appareil Digestif, à remplir le formulaire de contact en cas d'urgence liée à un test Hémoccult positif. Une détection rapide et une prise en charge précoce sont essentielles pour assurer les meilleurs soins possibles. N'hésitez pas à nous contacter immédiatement pour toute question ou inquiétude. Notre équipe est là pour vous accompagner et vous fournir l'assistance nécessaire. Urgence hémoccult Nous encourageons vivement tous les patients du CMAD, Centre des Maladies de l'Appareil Digestif, à remplir le formulaire de contact en cas d'urgence liée à un test Hémoccult positif. Une détection rapide et une prise en charge précoce sont essentielles pour assurer les meilleurs soins possibles. N'hésitez pas à nous contacter immédiatement pour toute question ou inquiétude. Notre équipe est là pour vous accompagner et vous fournir l'assistance nécessaire.
- Livret d’information destiné aux patients porteurs de MICI - CREGG | Centre des Maladies de l'Appareil Digestif
Livret d’information destiné aux patients porteurs de MICI Livret d’information destiné aux patients porteurs de MICI Livret d’information destiné aux patients porteurs de MICI My MICI Book - Livret d’information destiné aux patients porteurs de MICI Recto Colite Hémorragique (RCH) à Toulouse En savoir + Maladie de Crohn Toulouse En savoir + Radiofréquence Endobrachyoesophage En savoir + Prise en charge de l’obésité par endoscopie : Ballon intra-gastrique ou Endosleeve En savoir + Qu'est-ce qu'une MICI En savoir + CPRE ( Cholangio-Pancréatographie Rétrograde Endoscopique) ou Endoscopie des voies biliaires En savoir + Dissection sous muqueuse endoscopique En savoir + Drainages biliaires En savoir + Cholangioscopie En savoir + Urgence hémoccult En savoir + Troubles de la statique du périné En savoir + Explorations ano-rectales En savoir + Explorations de l’oesophage : PH métrie et manométrie En savoir + MICI : maladies inflammatoires chroniques de l’intestin En savoir + Explorations fonctionnelles En savoir + Endoscopies digestives En savoir + Proctologie En savoir + Hépatologie En savoir + Gastro-entérologie En savoir + Cancérologie En savoir + Voyages, Vaccinations et MICI En savoir + Ma MICI : Fonder une famille En savoir + Livret d’information destiné aux patients porteurs de MICI En savoir + Enfants et Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin - MICI En savoir + Endoscopies et MICI En savoir + Droits Sociaux et MICI En savoir + Corticoïdes et MICI En savoir + Assurances et MICI En savoir + Alimentation et MICI En savoir + Cancer du colon En savoir + pH Métrie En savoir + Fiches régimes En savoir + Tout savoir sur les MICI En savoir + Cancérologie et dépistage En savoir + La Gastroscopie En savoir + L’Echo-endoscopie En savoir + La Vidéocapsule de l'intestin grêle En savoir + La manométrie oesophagienne En savoir + Elastométrie hépatique (Fibroscan°, Supersonic°) En savoir + La Coloscopie En savoir + L’Entéroscopie double ballon En savoir + Une Question ? Le Centre des Maladies de l’Appareil Digestif (CMAD) de Toulouse est dédié à la prise en charge des affections gastro-intestinales et hépatiques. Forts de notre expertise et de notre engagement envers l'excellence médicale, nous proposons une gamme complète de services diagnostiques et thérapeutiques pour répondre à vos besoins spécifiques. Notre équipe d’hépato-gastroentérologues expérimentés est à votre disposition pour vous accompagner tout au long de votre parcours de santé, de la prévention au traitement. Si vous avez des questions ou des doutes concernant votre état de santé, n’hésitez pas à fixer un rendez-vous de consultation avec l’un de nos spécialistes. Nous sommes là pour vous offrir les meilleurs soins possibles et vous aider à retrouver une meilleure qualité de vie. Contactez-nous dès aujourd'hui pour planifier votre consultation et bénéficier d'une prise en charge personnalisée et attentive. Contact
- Echo-endoscopie Toulouse | Centre des Maladies de l'Appareil Digestif
C’est une exploration qui associe l’endoscopie (visualisation de l’intérieur du tube digestif) à l’échographie (analyse par les ultrasons de la paroi et des organes situés au-delà de la paroi). Une sonde d’échographie est amenée à l’aide d’un endoscope à proximité de l’organe à étudier. Elle sert à rechercher ou à explorer des lésions du tube digestif ou des organes de voisinage. L’Echo-endoscopie L'echo-endoscopie à Toulouse Qu’est-ce que l’écho-endoscopie? C’est une exploration qui associe l’endoscopie (visualisation de l’intérieur du tube digestif) à l’échographie (analyse par les ultrasons de la paroi et des organes situés au-delà de la paroi). Une sonde d’échographie est amenée à l’aide d’un endoscope à proximité de l’organe à étudier. Elle sert à rechercher ou à explorer des lésions du tube digestif ou des organes de voisinage. L’écho-endoscopie est l’examen le plus performant pour étudier la paroi de l’œsophage, de l’estomac ou du duodénum (pour rechercher et analyser des tumeurs bénignes ou malignes) et les organes de voisinage (vésicule, voies biliaires, pancréas, papille, ganglions). Appareil d’écho-endoscopie radial Il permet en outre de rechercher la présence de calculs, de kystes ou de tumeur dans les voies biliaires et/ou le pancréas. Il permet d’obtenir des informations qui ne peuvent pas être apportées par les autres explorations. Dans certains cas, il peut permettre de réaliser des prélèvements de fragments de tissu par ponction pour les étudier au microscope. Comment procède-t-on à l'écho-endoscopie ? Appareil linéaire et Aiguille à ponction L’examen utilise un appareil souple, un écho-endoscope. L’écho-endoscopie haute (œsophage, estomac, voies biliaires, pancréas) est en général réalisée sous anesthésie générale. Les patients ne ressentent rien durant l’intervention. Cet examen nécessite alors une consultation pré anesthésique. Les traitements en cours doivent être arrêtés ou continués conformément aux recommandations de l’anesthésiste. Il est de la compétence de l’anesthésiste de répondre à vos questions relatives à sa spécialité. Entre chaque patient et suivant les recommandations en vigueur, l’endoscope est désinfecté et les accessoires sont stérilisés ou jetés (matériel à usage unique) pour éviter toute transmission d’infections. Il est possible de réaliser des biopsies au cours de l’écho-endoscopie, au moyen d’une aiguille passée à l’intérieur de l’appareil, qui permet de prélever une carotte de tissus pour l’analyser. Dans ce cas il faut au préalable avoir réalisé un test sanguin pour vérifier l’absence d’anomalie de la coagulation sanguine. Comment se préparer pour l’écho-endoscopie ? Pour que l’examen se passe dans de bonnes conditions, il faut que l’estomac soit vide. Il ne faut donc ni manger, ni fumer durant les 6 heures précédant l’examen. Informez toujours votre médecin de vos allergies et des médicaments que vous prenez. Avant l’examen, enlevez les prothèses dentaires et les lunettes. Quelle est la durée d'un examen écho-endoscopie ? L’examen dure en moyenne 10 à 20 minutes. L’ensemble de la procédure (installation dans la salle d’examen, administration de la sédation, réalisation de l’examen, réveil et retour dans la salle de repos) peut cependant prendre 1 heure. Il est ensuite recommandé d’attendre au moins 1 heure dans la salle de repos pour surveillance et dissipation des effets de la sédation. Comment se déroule l’examen ? L’anesthésiste ou l’infirmière anesthésiste prépare l’anesthésie : – Pose une voie veineuse périphérique dans le bras (un peu comme une prise de sang), – Monitoring (surveillance) cardio respiratoire : saturomètre au doigt, électrodes d’ECG sur la poitrine et tensiomètre au bras, – Oxygénothérapie aux lunettes (le patient est en ventilation spontanée, il respire avec ses propres poumons durant l’anesthésie). Puis le patient se tourne sur le côté gauche (en décubitus latéral gauche) et met entre ses dents un « cale dents », qui a pour but de protéger l’appareil d’endoscopie des mouvements de mâchoire du patient. L’anesthésiste injecte le produit anesthésiant (propofol) et le patient s’endort en 30 secondes Pendant l’écho-endoscopie : Une fois endormi, l’examen peut débuter, l’écho-endoscope est introduit dans la bouche du patient. La durée d’un examen est courte, elle dure en général environ 15 à 20 min dans le cas d’une écho-endoscopie sans prélèvement. En cas de prélèvements, la durée s’allonge un petit peu (autour de 30 min). Durant l’examen, l’injection de CO2 avec l’endoscope permet de déplisser les parois du tube digestif et avoir un contrôle visuel de la progression de l’endoscope et le placement sur la zone voulue afin de démarrer l’exploration échographique. A l’arrêt de l’injection du produit anesthésiant le patient se réveille en quelques secondes. Après l’écho-endoscopie : Le patient est transféré en salle de réveil. Dès que l’état de vigilance est revenu à la normale (dans les 30 mn qui suivent), le patient est transféré dans sa chambre. Une collation est servie en général 1 heure après l’examen. Une fois la collation terminée, le patient se rhabille et rejoint une salle d’attente, puis le médecin lui donne les résultats ainsi que le compte rendu écrit de l’examen. Entre chaque patient, et suivant la réglementation en vigueur, l’endoscope est désinfecté et l’ensemble des accessoires utilisés (pinces à biopsies, …) est stérilisé ou jeté (matériel à usage unique). Après l’hospitalisation : L’écho-endoscopie est réalisée en ambulatoire, c’est à dire que le patient sort le jour même. Le soir, le patient rentre à la maison et peut manger le plus souvent normalement. Du fait de l’anesthésie, il ne peut pas conduire et doit être accompagné. Il peut être demandé au patient de rester hospitalisé pour surveillance des suites de l’examen, en particulier en cas de prélèvement ou de complication. Quels sont les inconvénients de l’examen ? Tout acte médical, exploration, intervention sur le corps humain, même conduit dans des conditions de compétence et de sécurité conformes aux données actuelles de la médecine et de la réglementation en vigueur, recèle un risque de complications. Les complications de l’écho-endoscopie sont exceptionnelles. Des perforations, en particulier œsophagiennes, peuvent survenir. Elles sont souvent favorisées par des lésions sous-jacentes (tumeur, …). Une intervention chirurgicale (avec ses propres risques) peut alors s’avérer nécessaire. D’autres complications sont possibles telles que les troubles cardio-vasculaires ou respiratoires et les infections. En cas de prélèvements, de rares cas d’infections ou d’hémorragies ont été rapportés. Une intervention chirurgicale et des transfusions de sang ou de dérivés sanguins sont parfois nécessaires. Ces complications peuvent être favorisées par vos antécédents médico-chirurgicaux ou par la prise de certains médicaments. Toutes ces complications apparaissent le plus souvent lors de l’écho-endoscopie mais peuvent également se révéler quelques jours après l’examen (douleurs abdominales ou thoraciques, fièvre, frissons…). Il est alors très important de contacter immédiatement le médecin et/ou l’anesthésiste qui se sont occupés de vous. En cas d’impossibilité de prendre contact avec lui, il est très important de pendre contact très rapidement avec votre médecin traitant. Recommandations particulières Il est recommandé de ne pas conduire de véhicule le jour d’un examen réalisé sous sédation ou anesthésie, car les calmants peuvent affecter vos réflexes ou votre jugement. Le retour à domicile doit donc être assuré par une tierce personne. Pour les mêmes raisons, il vous est également déconseillé de prendre, le jour de l’examen, des décisions importantes requérant toute votre lucidité. Il peut vous être demandé de rester hospitalisé pour surveillance dans les suites de l’examen en particulier en cas de prélèvement ou de complication. Des antibiotiques peuvent être prescrits pour une durée de trois à cinq jours en cas de prélèvements. Alternative L’échographie, le scanner et parfois la résonance magnétique sont souvent pratiqués avant l’écho-endoscopie, qui a pour but de préciser le résultat de ces examens. L’écho-endoscopie est actuellement l’examen le plus sensible pour détecter de très petites anomalies au niveau de la voie biliaire ou du pancréas (petit calcul ou petite tumeur). Ponction d’une tumeur du pancréas Calcul de canal cholédoque (voie biliaire principale) Extraction du calcul par un cathérisme retrograde de la papille Fiche d'information de la Société Française d’Endoscopie Digestive Fiche d'information Recto Colite Hémorragique (RCH) à Toulouse En savoir + Maladie de Crohn Toulouse En savoir + Radiofréquence Endobrachyoesophage En savoir + Prise en charge de l’obésité par endoscopie : Ballon intra-gastrique ou Endosleeve En savoir + Qu'est-ce qu'une MICI En savoir + CPRE ( Cholangio-Pancréatographie Rétrograde Endoscopique) ou Endoscopie des voies biliaires En savoir + Dissection sous muqueuse endoscopique En savoir + Drainages biliaires En savoir + Cholangioscopie En savoir + Urgence hémoccult En savoir + Troubles de la statique du périné En savoir + Explorations ano-rectales En savoir + Explorations de l’oesophage : PH métrie et manométrie En savoir + MICI : maladies inflammatoires chroniques de l’intestin En savoir + Explorations fonctionnelles En savoir + Endoscopies digestives En savoir + Proctologie En savoir + Hépatologie En savoir + Gastro-entérologie En savoir + Cancérologie En savoir + Voyages, Vaccinations et MICI En savoir + Ma MICI : Fonder une famille En savoir + Livret d’information destiné aux patients porteurs de MICI En savoir + Enfants et Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin - MICI En savoir + Endoscopies et MICI En savoir + Droits Sociaux et MICI En savoir + Corticoïdes et MICI En savoir + Assurances et MICI En savoir + Alimentation et MICI En savoir + Cancer du colon En savoir + pH Métrie En savoir + Fiches régimes En savoir + Tout savoir sur les MICI En savoir + Cancérologie et dépistage En savoir + La Gastroscopie En savoir + L’Echo-endoscopie En savoir + La Vidéocapsule de l'intestin grêle En savoir + La manométrie oesophagienne En savoir + Elastométrie hépatique (Fibroscan°, Supersonic°) En savoir + La Coloscopie En savoir + L’Entéroscopie double ballon En savoir + Une Question ? Le Centre des Maladies de l’Appareil Digestif (CMAD) de Toulouse est dédié à la prise en charge des affections gastro-intestinales et hépatiques. Forts de notre expertise et de notre engagement envers l'excellence médicale, nous proposons une gamme complète de services diagnostiques et thérapeutiques pour répondre à vos besoins spécifiques. Notre équipe d’hépato-gastroentérologues expérimentés est à votre disposition pour vous accompagner tout au long de votre parcours de santé, de la prévention au traitement. Si vous avez des questions ou des doutes concernant votre état de santé, n’hésitez pas à fixer un rendez-vous de consultation avec l’un de nos spécialistes. Nous sommes là pour vous offrir les meilleurs soins possibles et vous aider à retrouver une meilleure qualité de vie. Contactez-nous dès aujourd'hui pour planifier votre consultation et bénéficier d'une prise en charge personnalisée et attentive. Contact
- Droits Sociaux et MICI - Maladies inflammatoire chroniques | Centre des Maladies de l'Appareil Digestif
Droits sociaux et MICI (maladies inflammatoires chroniques de l’intestin) Droits Sociaux et MICI La couverture des frais médicaux et les maladies inflammatoires chroniques de l'intestin (MICI) L’assurance maladie La rectocolite ulcéro-hémorragique (RCH) et la Maladie de Crohn (MC) dans leurs formes « évolutives » figurent dans la liste des 30 affections de longue durée (ALD) établie par le Haut Comité de la Sécurité Sociale. Un assuré ou un de ses ayants droit qui se trouve atteint d’une affection figurant sur cette liste bénéficiera, pour les frais occasionnés exclusivement par le traitement de la maladie en question, de l’exonération totale du paiement du ticket modérateur. Cette exonération s’applique à la totalité des dépenses de santé, y compris les dépenses correspondant à l’achat de médicaments à « vignette bleue ou orange ». Dans le cas des MICI, le libellé de l’ALD comporte l’adjectif « évolutives », ce qui implique certaines contraintes liées à l’interprétation des textes. RCH – Le caractère évolutif de la maladie est défini par »l’existence d’une diarrhée et/ou d’un syndrome dysentérique le plus souvent muco-hémorragique parfois associé à des signes généraux et/ou à des manifestations systémiques ». C’est donc à l’occasion d’une poussée que doit être faite la demande de prise en charge à 100 % de la maladie, valable pour une période de 12 mois.Au terme de cette période, la situation doit être reconsidérée. La prise en charge sera reconduite pour une nouvelle période de 12 mois, excepté le cas où la maladie est restée silencieuse pendant les 6 derniers mois au moins, avec confirmation de l’amélioration clinique et endoscopique. Dans ce cas, l’exonération du ticket modérateur peut être suspendue, le coût du traitement d’entretien ne justifiant pas le maintien de l’exonération. Quant à la surveillance endoscopique des formes étendues et anciennes, elle ne pose pas de problème de remboursement puisqu’une coloscopie totale bénéficie, en raison de sa cotation, de l’exonération du ticket modérateur. Enfin, les patients qui ont subi une colectomie totale peuvent bénéficier d’une prise en charge à 100 % durant les 12 mois qui suivent l’intervention et tant que persistent des séquelles nécessitant des soins particuliers. Maladie de Crohn – Toute MC dont le diagnostic est parfaitement établi sur l’ensemble des données cliniques, morphologiques et histologiques, peut être prise en charge à 100 %. Seules les formes de la maladie, opérées et « blanchies » chirurgicalement, sans séquelles postopératoires nécessitant un traitement régulier, et sans récidive dans les 2 ans suivant la chirurgie, pourraient ne plus bénéficier de la prise en charge du ticket modérateur. Accéder au bénéfice de l’ALD – Le mécanisme est enclenché par le médecin traitant depuis la loi du 13 août 2004. Il rédigera le protocole de soin dans le cadre de ses nouvelles missions de suivi au quotidien de l’ensemble de vos pathologies et de la coordination des soins. Le protocole de soins est établi par le médecin traitant en concertation avec vous et le ou les autres médecins correspondants qui interviennent dans le suivi de votre maladie. Il est ensuite étudié par le médecin conseil de l’Assurance maladie qui donne son accord pour la prise en charge à 100 % d’une partie ou de la totalité des soins et des traitements liés à votre maladie. Lors d’une consultation suivante, votre médecin vous remettra le volet de soin qui vous est destiné, en vous apportant toutes les informations utiles. Le protocole de soin indique les soins et traitements nécessaires à la prise en charge et au suivi de votre maladie, et ceux qui sont pris en charge à 100 %. Le protocole indique également les praticiens qui vous suivent dans le cadre de votre maladie. Vous pourrez ainsi les consulter directement sans passer par votre médecin traitant. Le protocole se compose de 3 volets : un conservé par votre médecin traitant ; un pour le médecin conseil de l’Assurance maladie ; un troisième qui vous est destiné et que vous devrez signer et présenter à chaque médecin consulté pour bénéficier de la prise en charge à 100 % pour les soins liés à votre maladie. Le protocole de soin a une durée déterminée. Les assurances complémentaires santé La couverture à 100 % ne concernant que les actes médicaux directement liés à l’affection longue durée, il est tout à fait légitime pour un patient d’opter par ailleurs pour une assurance complémentaire, afin de bénéficier également d’une prise en charge du tarif opposable pour tout ce qui ne concerne pas l’ALD. Le choix des critères d’exclusion restant encore aujourd’hui à la discrétion des compagnies d’assurance, sous réserve que ces critères d’exclusion soient clairement indiqués sur les contrats qu’elles proposent, il est très difficile de trouver une compagnie d’assurance ou une mutuelle qui accepte de prendre en charge, dans le cadre d’une complémentaire santé et pour des tarifs non prohibitifs, des patients atteints d’une ALD. Il faudra donc ne pas hésiter à les mettre en concurrence afin d’obtenir les meilleurs tarifs ; il est par contre indispensable de les informer de l’ALD sous peine de voir le contrat déclaré nul pour dissimulation volontaire d’information. Signalons la mutuelle INTEGRANCE qui a été créée spécialement pour pallier les éventuelles carences des différentes compagnies et mutuelles vis-à-vis des personnes handicapées, ainsi que HANDI-ASSUR. Vie professionnelle et MICI La capacité à travailler d’un patient atteint de MICI est susceptible d’être perturbée par le retentissement sur son travail des divers épisodes cliniques qui seront cause d’arrêts de travail souvent itératifs. Mais signalons d’emblée que la simple absence pour maladie n’est pas un motif valable de licenciement d’un salarié. Son interlocuteur privilégié sera le Médecin du Travail (MdT) dont il est utile de rappeler qu’il est tenu à un secret professionnel absolu, y compris envers l’employeur et les collègues de travail. Son rôle est, à tout moment, de s’assurer de l’aptitude physique du salarié pour son poste de travail. Le salarié le rencontrera tout au long de sa carrière : à l’embauche , toute discrimination liée aux antécédents pathologiques est interdite par le Code du travail, tout au moins dans le secteur privé, car dans les Fonctions Publiques les critères sont différents ; tous les ans ou tous les 2 ans, pour une visite régulière dont bénéficie tout salarié ; après une absence pour maladie de plus de 21 jours ; en cas d’ absences répétées pour raison de santé ; mais aussi à sa demande , sans avoir besoin d’en référer à son employeur. Indemnisation des périodes de maladie Durant l’arrêt de travail, prescrit par le médecin traitant (MT) et dans la mesure où il a occupé un emploi salarié pendant 200 h au cours des 3 mois qui ont précédé l’arrêt de travail, l’assuré social perçoit, au-delà du 4ème jour d’arrêt, des indemnités journalières (I.J). ALD . Si l’arrêt de travail se prolonge au-delà de 6 mois l’assuré entre, sous conditions de durée de travail antérieur, dans la catégorie « maladie de longue durée ». Si ce n’est déjà fait, un protocole d’examen spécial (PIRES/ALD 30) sera rempli par le M.T. Dès lors, le Médecin Conseil de la Sécurité Sociale examinera périodiquement la situation, ce qui permettra la poursuite duversement des I.J. La finalité est de prévenir l’évolution vers l’invalidité. REPRISE . Si le patient n’a pas perdu les 2/3 de ses capacités de travail, le Médecin Conseil se prononcera sur l’aptitude au travail, puis le MdT se prononcera sur l’aptitude au poste de travail dans l’entreprise et le salarié effectuera sa reprise et le versement des I.J cessera. Le bénéfice de l’ALD 30 permet au salarié de bénéficier d’autorisations d’absences pour soins. MI-TEMPS THÉRAPEUTIQUE . Si le salarié est jugé apte à reprendre son travail mais reste fatigable, la reprise du travail peut se faire temporairement à « mi-temps thérapeutique » sur prescription du M.T et avec l’accord du MdT, du Médecin Conseil de la Caisse et de l’employeur. Dans ce cas, la perte de salaire est compensée par une indemnité. LICENCIEMENT . Si le salarié est déclaré par le MdT inapte à reprendre l’emploi qu’il occupait précédemment, l’employeur est tenu de lui proposer un autre emploi, adapté à ses capacités, au besoin après aménagements du poste de travail. Si le reclassement dans l’entreprise s’avère impossible, l’employeur procède au licenciement et le salarié perçoit l’indemnité légale ou conventionnelle. Si, au bout d’un mois, le salarié n’est pas reclassé dans l’entreprise ou n’est pas licencié, l’employeur est tenu de lui maintenir son salaire antérieur. Si la reprise du travail antérieur paraît impossible, la COTOREP (Commission Technique d’Orientation et de Reclassement Professionnel) recherche le moyen d’organiser une reconversion. Si le salarié atteint sa 60ème année alors qu’il est en maladie de longue durée, il peut demander sa retraite pour « inaptitude médicale ». Si la maladie de longue durée dure depuis 3 ans, l’invalidité est le plus souvent prononcée. Bien faire la distinction entre inaptitude (MdT) et invalidité (Caisses). Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin (MICI) et handicap Pension d’invalidité L’état d’invalidité est prononcé par le Médecin Conseil de la CPAM, lorsqu’il estime à 66 % l’amputation des potentialités de travail ou du gain du salarié. En fonction de divers paramètres socioprofessionnels et si les conditions administratives sont remplies, il procède au classement dans l’une des 3 catégories d’invalidité ouvrant droit à pension : Catégorie 1 : capable d’exercer une activité rémunérée : pension égale à 30 % du salaire moyen des 10 meilleures années (246 à 754 ?/mois en 2005) ; Catégorie 2 : incapable d’exercer une profession quelconque : pension égale à 50 % du salaire moyen (246 à 1258 ?) ; Catégorie 3 : nécessitant de plus l’assistance d’une tierce personne (majoration non imposable de 964 ?). La pension d’invalidité est attribuée à titre temporaire et il est possible de changer de catégorie d’invalidité en fonction de l’état de santé. – Si l’exercice de son activité entraîne des frais supplémentaires, liés à son handicap, l’intéressé peut déposer à la COTOREP une demande d’Allocation compensatrice pour frais professionnels. – Une allocation supplémentaire du fonds spécial d’invalidité peut être sollicitée, en dessous d’un certain niveau de ressources. – Les contentieux administratifs s’exercent devant la commission de recours amiable (CRA) puis éventuellement devant le Tribunal des Affaires de Sécurité Sociale (TASS), la Cour d’Appel puisla Cour de Cassation. – Les contentieux d’ordre médical s’exercent devant le Tribunal du contentieux de l’incapacité et de la tarification de l’assurance des accidents du travail (TCI), voire la Cour de Cassation. Allocation adulte handicapé Les patients qui ne peuvent bénéficier d’une pension d’invalidité, mais qui ont un handicap reconnu de 80 %, peuvent soumettre un dossier à la COTOREP pour avoir accès à cette allocation (599 ?)et à son complément. Ce niveau de handicap donne également droit à la Carte d’Invalidité et aux avantages (transport, fiscalité) qui lui sont attachés. Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin (MICI) et les enfants Dans chaque département siège une commission de 12 membres (CDES), compétente à l’égard de tous les enfants et adolescents handicapés et chargée d’évaluer la situation de chaque enfant et de déterminer les prises en charge et les aides qui conviennent. Elle peut avoir recours à un service d’aide à l’intégration scolaire (SAIS) voire à un service d’éducation spéciale et de soins à domicile (SESSAD). Elle attribue également l’Allocation d’Education Spéciale (AES) qui est destinée à aider les parents à faire face aux dépenses liées à l’éducation d’un enfant handicapé. Elle peut être saisie par les parents de l’enfant (formulaire/CAF) et leur délivre la carte d’invalidité. Droits découlant de la loi (2002 / 303) du 4 mars 2002 relative aux droits des malades Accès au dossier médical Par commodité, on regroupe sous le terme de « dossier » « les informations auxquelles est donné un support avec l’intention de les conserver », notamment comptes rendus de consultations, d’hospitalisation, d’examens, d’interventions, « et qui ont contribué à l’élaboration et au suivi du diagnostic et du traitement » ; en sont exclues les « notes personnelles » du médecin. La Loi stipule que toute personne a désormais accès aux informations concernant sa santé : il convient d’en faire la demande auprès du médecin ou de l’établissement : satisfaction doit être donnée dans un délai compris entre 2 et 8 jours, qui est porté à 2 mois si les informations remontent à 5 ans et plus. En fonction du contenu du dossier, il peut être conseillé, voire exigé, que l’accès a posteriori soit accompagné par un médecin. Bien entendu, le droit d’accès a posteriori au dossier n’enlève rien au devoir de communiquer régulièrement avec son patient. « L’information fait partie intégrante de la relation de soins ». Information et consentement Aucun acte médical, ni traitement, ne peut être pratiqué sans le consentement éclairé de la personne. Inversement, le médecin a le devoir de tout mettre en oeuvre pour convaincre le malade de l’intérêt des soins envisagés. Mais il a l’obligation de respecter le refus éventuel du patient. L’information doit être délivrée au cours d’un entretien individuel et en langage simple. Elle concerne les investigations, leurs risques normalement prévisibles, les conséquences d’un refus, les traitements et éventuellement leur urgence ainsi que leur coût. La Loi introduit la notion nouvelle de « personne de confiance » que le patient désigne par écrit et qui sera consultée au cas où il serait hors d’état d’exprimer sa volonté. Responsabilité médicale La Loi en a prévu 3 types : La responsabilité pour faute . Les professionnels de santé n’ont, sauf exceptions, qu’une obligation de moyens et ne « sont responsables des conséquences dommageables d’actes de prévention de diagnostic et de soins qu’en cas de faute ». La preuve de la faute suppose de démontrer que tout n’a pas été mis en oeuvre pour atteindre le résultat espéré. La responsabilité sans faute . Les fabricants et les établissements de soins sont responsables des conséquences provoquées par les produits utilisés. Une faute n’a pas à être démontrée mais seulement le rapport entre le produit incriminé et le dommage. La responsabilité par présomption irréfragable . Les établissements de soins et les médecins sont alors tenus à une obligation de résultat. C’est le cas des infections nosocomiales, contractées soit en hospitalisation soit en ambulatoire. Il y a présomption de responsabilité, sauf s’il est prouvé que cette infection est due à une cause étrangère aux soins donnés. Secret médical La loi rappelle que « toute personne prise en charge par un professionnel, un établissement, un réseau de santé ou tout autre organisme participant à la prévention et aux soins a droit au respect de sa vie privée et au secret des informations la concernant ». Le code de déontologie en définit l’étendue dans son article 4, dont la violation constitue un délit.Le secret ne supporte que quelques exceptions : dans l’intérêt direct du patient, telle que la délivrance des certificats prévus par les textes ; ou dictées par la Loi, dont la déclaration d’Accident du Travail ou de Maladie Professionnelle. Pour en savoir plus, quelques sites Internet www.service-public.fr www.handicap.gouv.fr www.caf.fr www.afa.asso.fr www.handroit.com www.integrance.fr www.handi-assur.com Courtier en assurance avec risque aggravé de santé | Handi-Assur Courtier spécialisé en assurance de prêt avec risque aggravé de santé, Handi-Assur apporte depuis maintenant 15 ans des solutions d'assurance crédit adaptées. droits_sociaux_et_mici .pdf Download PDF • 165KB Recto Colite Hémorragique (RCH) à Toulouse En savoir + Maladie de Crohn Toulouse En savoir + Radiofréquence Endobrachyoesophage En savoir + Prise en charge de l’obésité par endoscopie : Ballon intra-gastrique ou Endosleeve En savoir + Qu'est-ce qu'une MICI En savoir + CPRE ( Cholangio-Pancréatographie Rétrograde Endoscopique) ou Endoscopie des voies biliaires En savoir + Dissection sous muqueuse endoscopique En savoir + Drainages biliaires En savoir + Cholangioscopie En savoir + Urgence hémoccult En savoir + Troubles de la statique du périné En savoir + Explorations ano-rectales En savoir + Explorations de l’oesophage : PH métrie et manométrie En savoir + MICI : maladies inflammatoires chroniques de l’intestin En savoir + Explorations fonctionnelles En savoir + Endoscopies digestives En savoir + Proctologie En savoir + Hépatologie En savoir + Gastro-entérologie En savoir + Cancérologie En savoir + Voyages, Vaccinations et MICI En savoir + Ma MICI : Fonder une famille En savoir + Livret d’information destiné aux patients porteurs de MICI En savoir + Enfants et Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin - MICI En savoir + Endoscopies et MICI En savoir + Droits Sociaux et MICI En savoir + Corticoïdes et MICI En savoir + Assurances et MICI En savoir + Alimentation et MICI En savoir + Cancer du colon En savoir + pH Métrie En savoir + Fiches régimes En savoir + Tout savoir sur les MICI En savoir + Cancérologie et dépistage En savoir + La Gastroscopie En savoir + L’Echo-endoscopie En savoir + La Vidéocapsule de l'intestin grêle En savoir + La manométrie oesophagienne En savoir + Elastométrie hépatique (Fibroscan°, Supersonic°) En savoir + La Coloscopie En savoir + L’Entéroscopie double ballon En savoir + Une Question ? Le Centre des Maladies de l’Appareil Digestif (CMAD) de Toulouse est dédié à la prise en charge des affections gastro-intestinales et hépatiques. Forts de notre expertise et de notre engagement envers l'excellence médicale, nous proposons une gamme complète de services diagnostiques et thérapeutiques pour répondre à vos besoins spécifiques. Notre équipe d’hépato-gastroentérologues expérimentés est à votre disposition pour vous accompagner tout au long de votre parcours de santé, de la prévention au traitement. Si vous avez des questions ou des doutes concernant votre état de santé, n’hésitez pas à fixer un rendez-vous de consultation avec l’un de nos spécialistes. Nous sommes là pour vous offrir les meilleurs soins possibles et vous aider à retrouver une meilleure qualité de vie. Contactez-nous dès aujourd'hui pour planifier votre consultation et bénéficier d'une prise en charge personnalisée et attentive. Contact
- Alimentation et MICI - Maladies inflammatoire chroniques | Centre des Maladies de l'Appareil Digestif
L'alimentation et maladie inflammatoire chronique de l'intestin avec le CMAD. Alimentation et MICI Maladies inflammatoires chroniques intestinales (MICI) et l'alimentation : des conseils diététiques au traitement nutritionnel Il est logique qu’un patient atteint d’une maladie de l’appareil digestif pose souvent à son médecin la question de savoir ce qu’il doit manger et surtout… Quels sont les aliments interdits !! Généralement la réponse est assez déconcertante et se résume à : « En dehors des poussées ou certains aliments seront vraisemblablement plus difficiles à digérer, vous pouvez manger ce que vous supportez ». Cette formule quelque peu laconique n’est pas la plus mauvaise mais dans son saisissant raccourci, elle laisse un peu sur sa faim, au sens propre et au sens figuré, le patient soucieux de ne pas faire d’erreur qui pourrait aggraver cette maladie complexe, avec laquelle il a déjà assez de mal à se débrouiller au quotidien. Les quelques pages qui vont suivre devraient vous éclairer sur ce qu’il y a lieu de faire et de ne pas faire, non pas sur des impressions ou des convictions personnelles, qu’il s’agisse des vôtres ou de celles de votre entourage médical, mais bien en s’appuyant sur l’expérience de milliers de malades et les résultats de nombreuses études qui ont essayé de faire le point sur l’importance de l’alimentation dans les MICI. Afin de vous aider à mieux comprendre, nous aborderons trois situations que vous connaissez bien : celle où la maladie vous laisse tranquille, celle où vous êtes en poussée évolutive modérée et celle où vous êtes soit en poussée sévère, soit déjà au stade des complications, en particulier lorsque ces complications se traduisent par des rétrécissements du tube digestif. Comme vous le verrez, les conseils et mesures hygiéno-diététiques seront différents en fonction de votre état. Lorsque tout va bien Puisque tout va bien Ici, rien ne vous est interdit, seul le bon sens, et un certain sens de la modération, qui est le lot de chacun, vous évitera les inconforts des digestions lentes que procurent à tout un chacun, les repas trop riches en graisses, surtout si elle sont cuites et les repas trop arrosés, le vieil adage : un verre c’est bien … N’est pas réservé qu’aux autres. Il faudra éviter de vous imposer des régimes restrictifs à la suite d’interprétation trop rapide ou d’expériences malheureuses de banale indigestion. La recommandation diététique essentielle sera de respecter un régime équilibré en vue d’assurer un apport nutritif adéquat. Mais qu’est ce qu’un régime alimentaire équilibré ? Et bien, on sait aujourd’hui que les habitudes alimentaires des français, par la variété des produits utilisés, n’excluant aucune forme d’apport calorique minérale et vitaminique sont considérées comme les mieux équilibrées du monde. Si il y a excès d’un type d’apport, c’est le plus souvent par goût personnel excluant tel ou tel type d’aliment des préparations traditionnelles ou parce que les modalités de la vie moderne ont progressivement remplacé certaines habitudes culinaires comme « les plats dits de ménage » par des préparations moins élaborées, à haute teneur calorique, faisant la part belle aux glucides et aux lipides (sandwich, hamburger, saucisse-frites etc . ) avalés en courant en lieu et place des déjeuners et dîners élaborés de manière variée non seulement pour satisfaire le besoin de s’alimenter mais également pour retrouver le plaisir de manger sans culpabilité. Si vous avez des doutes, n’hésitez pas à demander conseils à votre médecin mais sachez écouter tout ce qu’il vous dit et ne renforcez pas vos convictions que vous n’êtes pas comme tout le monde quand il vous explique, que pour ménager le tube digestif et conserver le plaisir de manger, mieux vaut plusieurs repas qu’un seul gros repas car en disant cela, lui, il pense aux nombreuses personnes qui mangent « sur le pouce » à midi qui se goinfrent, affamées, le soir en rentrant chez elles, après une dure journée de travail . Lorsque tout va moins bien En dehors des rares cas ou des carences nutritionnelles, ou encore les effets secondaires de la corticothérapie peuvent être évités par une alimentation rationnelle, avec des apports caloriques, protidiques, vitaminiques et en sels minéraux suffisants afin d’éviter la survenue de carence et d’empêcher des pertes de poids trop importantes. Le plus souvent, en cas de poussées modérées, Il est d’usage et consensuel de réduire dans votre alimentation, les résidus et le lait afin de réduire la diarrhée, les douleurs et les risques d’occlusion. Le régime sans résidu comporte la suppression des aliments riches en fibres, certains légumes et fruits que vous reconnaîtrez facilement avec un peu de bon sens en observant leur allure filandreuse, qu’ils soient crus ou cuits, ou parce qu’ils contiennent des pépins ou des peaux indigestes (raisins, ananas, tomates, légumes secs comme les lentilles les poix chiches et autres, mais également les poireaux céleris, etc.) La liste n’est pas exhaustive et encore une fois votre médecin est là pour vous aider en vous remettant une liste de ces aliments. Mais répétons le, ces aliments ne sont à éviter que pendant les poussées, et ils ne sont pas responsable de la maladie, ils sont simplement peu digérés et de ce fait ils se retrouvent en grande quantité dans l’intestin avec un effet d’accélération du transit et une augmentation de la production de gaz par les bactéries intestinales. Ces phénomènes, bien tolérés en temps normal, peuvent, en cas de poussées de MICI, majorer la diarrhée préexistante. Son intérêt a été bien démontré chez des sujets atteints de colite étendue avec diarrhée. Le lait doit être évité car il est souvent responsable d’une aggravation de la diarrhée par intolérance au lactose qui est le sucre contenu dans le lait. Par contre pour les produits laitiers dérivés, sauf intolérance caractérisée, il est usuel de conseiller un apport normal, ainsi yaourts et fromages pourront être absorbés comme en temps normal, si telles sont vos habitudes, leur intérêt étant de maintenir une consommation de calcium suffisante, intérêt qui n’est pas spécifique à votre maladie, mais conseillé à tous les adultes passée l’heure du biberon. Pour ce qui est des matières grasses, une mauvaise absorption des graisses est soupçonnée lorsque les selles sont entourées d’une auréole grasse ; elle sera confirmée par une analyse des selles. Il faudra alors réduire la quantité de graisses utilisées pour la préparation des repas (une petite quantité de beurre frais peut être maintenue). Lorsque les graisses alimentaires sont mal absorbées, elles peuvent être remplacées par des graisses d’absorption plus facile : les triglycérides à chaîne moyenne, désignées souvent par le sigle T.C.M., disponibles en pharmacie sur prescription médicale, mais ceci est du ressort de votre médecin. La durée de ce régime sans résidu, est adaptée aux symptômes et lésions. Elle est habituellement brève, de trois ou quatre semaines. Dès que cela va mieux, lâchez vous. Les seuls cas où il faudra maintenir ce type de régime, c’est si vous présentez des risques d’occlusion du fait de sténoses mais vous aurez été averti par votre médecin de ce risque, bien avant qu’une occlusion ne survienne. Enfin, pour les amateurs de saveurs sucrées, méfiez-vous enfin de la consommation de bonbons et de chocolat dits « sans sucre » dont la saveur sucrée est due à des « polyols » et qui peuvent entraîner une diarrhée. Lorsque tout va mal La dénutrition est fréquente au cours des poussées sévères de MICI. Il est important de la diagnostiquer et ceci n’est pas toujours facile, mais le calcul de l’indice de masse corporelle qui se calcule facilement en divisant votre poids en kg par votre taille au carré [IMC = Poids (kg)/Taille² (m²)]. Ce simple calcul vous permettra de vous situer soit comme ayant un poids normal si votre IMC est supérieur à 18.5 soit comme dénutri si votre IMC est inférieur à 18,5, soit comme sévèrement dénutri si votre IMC est inférieur à 16. Des résultats indiquant un début de dénutrition doivent vous amener à consulter votre médecin afin d’envisager avec lui les mesures à mettre en ouvre pour palier à ce déficit. Dans ce cas, la façon de se nourrir ne se limite pas à prévenir comme précédemment un nombre d’inconvénients liés à la maladie, mais va réellement servir de base au traitement de la maladie. Un certain nombre de situations conduira votre médecin à envisager ce type de traitement avec vous. Par exemple, en cas de dénutrition sévère isolée, ou en cas de dénutrition associée à une forme grave ou compliquée de la maladie ou bien encore devant une forme résistante au traitement usuel de la maladie. Ces situations bien que rares bénéficient grandement de l’apport des techniques d’alimentation assistée. Le traitement nutritionnel pourra intervenir soit comme une thérapeutique adjuvante, soit comme un traitement spécifique de la MICI. Mais dans tout ces cas fort heureusement assez rares, c’est une équipe spécialisée qui prendra en charge, cette fois ci de manière extrêmement votre alimentation et qui, à votre demande pourra vous expliquer le pourquoi et le comment de ce qu’ils vous proposeront, qu’il s’agisse de nutrition assistée orale entérale ou parentérale. Se soigner en mangeant différemment Bien que de grands espoirs aient été, ces dernières années, annoncés dans les différentes revues, tant grand public que spécialisées, rien ne mérite aujourd’hui de vous compliquer la vie, tant les résultats obtenus et vérifiés sont maigres. Pour les plus demandeurs d’entre vous, pour qui hors régime point de salut, et si ce qui précède ne les a pas complètement convaincus, vous pourrez toujours essayer par vous-même, et bien que le bénéfice clinique de telles mesures n’ait pas été établi : une supplémentation multi vitaminique systématique. Des régimes d’exclusion personnalisés en fonction de vos constatations individuelles mais vous avez de très forte chance de vous tromper tant la certitude que tel ou tel type d’aliment déclenche vraiment vos poussés est difficile à établir. Il faut au moins que à deux reprises, l’aliment que vous rendez responsable, ait bien déclenché une poussée dans les 24 heures qui suivent son absorption alors que vous alliez très bien avant de l’ingérer, et que à distance plusieurs mois après vous refaisiez la même tentative avec les mêmes résultats négatifs, dans le cas contraire les probabilités que vos impression soient le fruit du hasard reste très vraisemblables, et dans ces conditions il serait vraiment dommage de vous priver de cet aliment pour aucun bénéfice. Enfin, vous pouvez toujours en attendant la fin des études les concernant, absorber des pro-biotiques qui sont des micro-organismes sans danger pour le corps humain et qui, ingérés vivants sous la forme de médicaments ou de produits alimentaires, exercent une influence positive sur la santé ou la physiologie de l’hôte, certains d’entre eux, notamment bactéries lactiques et bifidobactéries, pourraient être inclus dans des aliments à effets thérapeutiques . Mais aujourd’hui, seules les préparations lactées de la grande distribution en contiennent à des doses très en dessous de celles utilisées pour avoir un effet thérapeutique qui reste d’ailleurs à confirmer. De toutes les manières manger des yaourts vous apportera toujours au moins du calcium Mangez le plus souvent possible normalement et ne pensez pas que ce que vous mangez est responsable des différents inconforts, douleurs, diarrhées et déclenchement des poussées que vous observez du fait même de votre maladie. Les aliments n’ont finalement que bien peu de rôle à jouer tant dans le déclenchements que dans la guérison de votre maladie en dehors de très particulières situations qui sont du ressort de traitement nutritionnel qui dépasse de loin les compétences de la ménagère. Alors préservez à tout prix votre qualité de vie et ne vous infligez pas plus d’inconfort que vous n’en avez déjà, en culpabilisant votre légitime envie de manger comme tout le monde, le plus souvent possible. L'alimentation et maladie inflammatoire chronique de l'intestin avec le CMAD. .pdf Download PDF • 150KB Recto Colite Hémorragique (RCH) à Toulouse En savoir + Maladie de Crohn Toulouse En savoir + Radiofréquence Endobrachyoesophage En savoir + Prise en charge de l’obésité par endoscopie : Ballon intra-gastrique ou Endosleeve En savoir + Qu'est-ce qu'une MICI En savoir + CPRE ( Cholangio-Pancréatographie Rétrograde Endoscopique) ou Endoscopie des voies biliaires En savoir + Dissection sous muqueuse endoscopique En savoir + Drainages biliaires En savoir + Cholangioscopie En savoir + Urgence hémoccult En savoir + Troubles de la statique du périné En savoir + Explorations ano-rectales En savoir + Explorations de l’oesophage : PH métrie et manométrie En savoir + MICI : maladies inflammatoires chroniques de l’intestin En savoir + Explorations fonctionnelles En savoir + Endoscopies digestives En savoir + Proctologie En savoir + Hépatologie En savoir + Gastro-entérologie En savoir + Cancérologie En savoir + Voyages, Vaccinations et MICI En savoir + Ma MICI : Fonder une famille En savoir + Livret d’information destiné aux patients porteurs de MICI En savoir + Enfants et Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin - MICI En savoir + Endoscopies et MICI En savoir + Droits Sociaux et MICI En savoir + Corticoïdes et MICI En savoir + Assurances et MICI En savoir + Alimentation et MICI En savoir + Cancer du colon En savoir + pH Métrie En savoir + Fiches régimes En savoir + Tout savoir sur les MICI En savoir + Cancérologie et dépistage En savoir + La Gastroscopie En savoir + L’Echo-endoscopie En savoir + La Vidéocapsule de l'intestin grêle En savoir + La manométrie oesophagienne En savoir + Elastométrie hépatique (Fibroscan°, Supersonic°) En savoir + La Coloscopie En savoir + L’Entéroscopie double ballon En savoir + Une Question ? Le Centre des Maladies de l’Appareil Digestif (CMAD) de Toulouse est dédié à la prise en charge des affections gastro-intestinales et hépatiques. Forts de notre expertise et de notre engagement envers l'excellence médicale, nous proposons une gamme complète de services diagnostiques et thérapeutiques pour répondre à vos besoins spécifiques. Notre équipe d’hépato-gastroentérologues expérimentés est à votre disposition pour vous accompagner tout au long de votre parcours de santé, de la prévention au traitement. Si vous avez des questions ou des doutes concernant votre état de santé, n’hésitez pas à fixer un rendez-vous de consultation avec l’un de nos spécialistes. Nous sommes là pour vous offrir les meilleurs soins possibles et vous aider à retrouver une meilleure qualité de vie. Contactez-nous dès aujourd'hui pour planifier votre consultation et bénéficier d'une prise en charge personnalisée et attentive. Contact
- La gastroscopie à Toulouse | Centre des Maladies de l'Appareil Digestif
La gastroscopie est une procédure médicale couramment utilisée pour examiner la muqueuse de l'œsophage, de l'estomac et du duodénum. Elle est souvent recommandée pour diagnostiquer divers problèmes gastro-intestinaux. Cependant, les patients se posent souvent des questions sur les effets secondaires, la différence entre une gastroscopie et une coloscopie, ainsi que sur l'alimentation à adopter la veille de l'examen. Cet article vous fournira des informations complètes sur ces sujets. La Gastroscopie La Gastroscopie La gastroscopie est une exploration visuelle, qui sert à mettre en évidence des lésions de l’œsophage, de l’estomac et du duodénum. Elle est utile à votre médecin, pour déterminer l’origine de vos symptômes. Pourquoi choisir la gastroscopie ? C’est actuellement l’examen de référence pour explorer l’œsophage, l’estomac et le duodénum. Elle permet de mettre en évidence d’éventuelles lésions et de faire des biopsies (prélèvement d’un fragment de tissu pour l’étudier au microscope). Comment se préparer pour la gastroscopie ? Il faut être à jeun strict (sans boire, ni manger, ni fumer) durant les 6 heures précédant l’examen. Comment va se dérouler votre gastroscopie ? L’examen utilise un appareil souple appelé endoscope qui est introduit par la bouche ou par le nez, après, dans certains cas, une anesthésie locale. Le plus souvent, vous êtes installé(e), couché(e) sur le côté gauche. L’examen n’est pas douloureux. Vous n’êtes pas gêné(e) pour respirer car l’endoscope ne va pas dans les poumons. En revanche, il faut maintenir une respiration bien régulière durant toute la durée de l’examen afin d’éviter d’éventuelles nausées. Par ailleurs, vous devez éviter d’avaler votre salive, en la laissant s’écouler à l’extérieur de votre bouche sur une protection. Pendant l’examen, de l’air est insufflé pour déplisser les parois et peut vous occasionner de petits renvois d’air. D’éventuels prélèvements sont réalisés en cours d’examen si votre médecin le juge nécessaire. Pour améliorer la tolérance de l’examen une anesthésie générale peut être programmée. Il est alors de la compétence du médecin anesthésiste-réanimateur de répondre à vos questions relatives à sa spécialité. Entre chaque patient et suivant la réglementation en vigueur, l’endoscope est désinfecté et l’ensemble des accessoires utilisés (pinces à biopsies, …) est stérilisé ou jeté (matériel à usage unique). Ces procédures font référence pour prévenir d’éventuelles transmissions d’infections. Explication animée Animations présentant les Examens Endoscopiques – La gastroscopie [ Société Française d’Endoscopie Digestive – www.sfed.org ] Fiches d’informations La gastroscopie diagnostique : gastroscopie_diagnostique .pdf Download PDF • 52KB La gastroscopie thérapeutique : gastroscopie_therapeutique .pdf Download PDF • 50KB En savoir plus sur la gastroscopie La gastroscopie est une procédure médicale couramment utilisée pour examiner la muqueuse de l'œsophage, de l'estomac et du duodénum. Elle est souvent recommandée pour diagnostiquer divers problèmes gastro-intestinaux. Cependant, les patients se posent souvent des questions sur les effets secondaires, la différence entre une gastroscopie et une coloscopie, ainsi que sur l'alimentation à adopter la veille de l'examen. Cet article vous fournira des informations complètes sur ces sujets. Effets Secondaires de la Gastroscopie Bien que la gastroscopie soit généralement considérée comme une procédure sûre, elle peut entraîner certains effets secondaires. La majorité de ces effets sont bénins et temporaires, mais il est important d'en être conscient. Gêne et Douleur Abdominales Il est courant de ressentir une légère gêne ou des douleurs abdominales après une gastroscopie. Cela est souvent dû à l'air insufflé dans l'estomac pour améliorer la visibilité pendant l'examen. Cette sensation devrait disparaître en quelques heures. Gorge Irritée Une gorge irritée ou douloureuse est également fréquente après une gastroscopie. L'endoscope, passant par la bouche et l'œsophage, peut provoquer une irritation mineure. Cette gêne peut durer un jour ou deux. Ballonnements et Gaz L'insufflation d'air peut également causer des ballonnements et des gaz temporaires. Ces symptômes disparaissent généralement rapidement. Nausées et Vomissements Certains patients peuvent ressentir des nausées ou même vomir après la procédure, bien que cela soit relativement rare. Risques de Complications Bien que rares, des complications plus graves peuvent survenir. Celles-ci incluent des perforations (déchirures dans la paroi de l'estomac ou de l'œsophage), des infections, ou des réactions à l'anesthésie. Si vous ressentez des douleurs sévères, de la fièvre ou des saignements importants après une gastroscopie, contactez immédiatement votre médecin. Différence entre Gastroscopie et Coloscopie La gastroscopie et la coloscopie sont deux procédures endoscopiques utilisées pour examiner différentes parties du système digestif. Voici leurs principales différences : Zones Examinées Gastroscopie : Examine l'œsophage, l'estomac et le duodénum (première partie de l'intestin grêle). Coloscopie : Examine le côlon (gros intestin) et la partie terminale de l'intestin grêle. Indications Gastroscopie : Utilisée pour diagnostiquer des problèmes comme les ulcères, la gastrite, les reflux gastro-œsophagiens, et les cancers de l'œsophage ou de l'estomac. Coloscopie : Utilisée pour diagnostiquer et surveiller les maladies inflammatoires de l'intestin, les polypes, les cancers colorectaux, et les sources de saignements intestinaux. Procédure Gastroscopie : Un endoscope flexible est inséré par la bouche. Coloscopie : Un endoscope plus long est inséré par l'anus. Préparation Gastroscopie : Nécessite généralement de jeûner pendant environ 6 à 8 heures avant l'examen. Coloscopie : Nécessite une préparation intestinale plus rigoureuse, incluant souvent des laxatifs puissants et une alimentation liquide claire la veille de l'examen. Durée Gastroscopie : Environ 15 à 30 minutes. Coloscopie : Environ 30 à 60 minutes. Que Manger la Veille d'une Gastroscopie La préparation alimentaire avant une gastroscopie est cruciale pour garantir des résultats précis et éviter les complications. Voici des conseils sur ce que vous pouvez manger la veille de l'examen : Aliments Légers Optez pour des aliments faciles à digérer. Les repas légers tels que les soupes claires, les légumes cuits, le poisson cuit à la vapeur, ou les céréales sans lait sont recommandés. Évitez les Aliments Lourdes et Gras Évitez les aliments gras, frits ou lourds qui peuvent rester plus longtemps dans l'estomac et compliquer l'examen. Hydratation Buvez beaucoup d'eau pour rester hydraté. Cependant, arrêtez de boire des liquides clairs au moins deux heures avant la procédure. Jeûne La plupart des médecins recommandent un jeûne de 6 à 8 heures avant l'examen. Cela signifie que vous ne devriez pas manger ni boire (y compris de l'eau) pendant cette période. Consultez Votre Médecin Suivez toujours les instructions spécifiques de votre médecin concernant la préparation. Certains cas peuvent nécessiter des recommandations personnalisées en fonction de votre état de santé. En suivant ces conseils, vous pouvez vous assurer que vous êtes bien préparé pour votre gastroscopie, minimisant ainsi les risques et maximisant la précision de l'examen. La gastroscopie est une procédure essentielle pour diagnostiquer divers problèmes gastro-intestinaux, mais elle peut entraîner certains effets secondaires mineurs. Comprendre les différences entre la gastroscopie et la coloscopie, ainsi que savoir quoi manger la veille de l'examen, peut aider à réduire l'anxiété et à améliorer l'expérience globale du patient. Pour les résidents de Toulouse et de la région Occitanie, les hépato-gastroentérologues du CMAD sont disponibles pour fournir des soins spécialisés, du diagnostic à la guérison, en vous accompagnant à chaque étape de votre parcours de santé. Recto Colite Hémorragique (RCH) à Toulouse En savoir + Maladie de Crohn Toulouse En savoir + Radiofréquence Endobrachyoesophage En savoir + Prise en charge de l’obésité par endoscopie : Ballon intra-gastrique ou Endosleeve En savoir + Qu'est-ce qu'une MICI En savoir + CPRE ( Cholangio-Pancréatographie Rétrograde Endoscopique) ou Endoscopie des voies biliaires En savoir + Dissection sous muqueuse endoscopique En savoir + Drainages biliaires En savoir + Cholangioscopie En savoir + Urgence hémoccult En savoir + Troubles de la statique du périné En savoir + Explorations ano-rectales En savoir + Explorations de l’oesophage : PH métrie et manométrie En savoir + MICI : maladies inflammatoires chroniques de l’intestin En savoir + Explorations fonctionnelles En savoir + Endoscopies digestives En savoir + Proctologie En savoir + Hépatologie En savoir + Gastro-entérologie En savoir + Cancérologie En savoir + Voyages, Vaccinations et MICI En savoir + Ma MICI : Fonder une famille En savoir + Livret d’information destiné aux patients porteurs de MICI En savoir + Enfants et Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin - MICI En savoir + Endoscopies et MICI En savoir + Droits Sociaux et MICI En savoir + Corticoïdes et MICI En savoir + Assurances et MICI En savoir + Alimentation et MICI En savoir + Cancer du colon En savoir + pH Métrie En savoir + Fiches régimes En savoir + Tout savoir sur les MICI En savoir + Cancérologie et dépistage En savoir + La Gastroscopie En savoir + L’Echo-endoscopie En savoir + La Vidéocapsule de l'intestin grêle En savoir + La manométrie oesophagienne En savoir + Elastométrie hépatique (Fibroscan°, Supersonic°) En savoir + La Coloscopie En savoir + L’Entéroscopie double ballon En savoir + Une Question ? Le Centre des Maladies de l’Appareil Digestif (CMAD) de Toulouse est dédié à la prise en charge des affections gastro-intestinales et hépatiques. Forts de notre expertise et de notre engagement envers l'excellence médicale, nous proposons une gamme complète de services diagnostiques et thérapeutiques pour répondre à vos besoins spécifiques. Notre équipe d’hépato-gastroentérologues expérimentés est à votre disposition pour vous accompagner tout au long de votre parcours de santé, de la prévention au traitement. Si vous avez des questions ou des doutes concernant votre état de santé, n’hésitez pas à fixer un rendez-vous de consultation avec l’un de nos spécialistes. Nous sommes là pour vous offrir les meilleurs soins possibles et vous aider à retrouver une meilleure qualité de vie. Contactez-nous dès aujourd'hui pour planifier votre consultation et bénéficier d'une prise en charge personnalisée et attentive. Contact
- Maladies inflammatoires chroniques de l’intestin Toulouse | Centre des Maladies de l’Appareil Digestif
Les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (ou MICI) regroupent la maladie de Crohn et la recto-colite hémorragique. Elles se caractérisent toutes les deux par une inflammation de la paroi d’une partie du tube digestif. MICI : maladies inflammatoires chroniques de l’intestin Les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (ou MICI) regroupent la maladie de Crohn et la recto-colite hémorragique. Elles se caractérisent toutes les deux par une inflammation de la paroi d’une partie du tube digestif. Dans la maladie de Crohn , elle peut être localisée dans tout le système digestif, de la bouche à l’anus (le plus souvent au niveau de l’intestin) tandis que dans la rectocolite hémorragique, elle est localisée au niveau du rectum et du colon. Ces maladies évoluent par poussées inflammatoires de durée et de fréquence extrêmement variables en fonction des patients, alternant avec des phases de rémission. Les MICI sont le plus souvent diagnostiquées chez des sujets jeunes âgés de 20 à 30 ans mais peuvent survenir à tout âge ; 15 % des cas concernent des enfants. Leur fréquence varie considérablement d’un pays à l’autre mais les taux les plus importants sont retrouvés dans les pays industrialisés et notamment en Europe du Nord-Ouest et aux Etats-Unis. En France, environ 5 nouveaux cas de maladie de Crohn et autant de rectocolites hémorragiques sont diagnostiqués chaque année pour 100 000 habitants. Il y a actuellement 200 000 cas nouveaux par an. Des facteurs d’environnement sur un terrain génétique Plusieurs facteurs de risque sont suspectés, notamment génétiques et environnementaux. Les études génétiques de patients atteints de MICI montre qu’il s’agit de maladies polygénétiques impliquant près de 100 gènes. Un gène de prédisposition de la maladie de Crohn a notamment été découvert (NOD2/CARD15) : une ou deux mutations sur ce gène peut multiplier par 40 le risque de développer la maladie. Mais le fait que cette maladie se développe dans les pays industrialisés fait largement suspecter le rôle de l’environnement. Les MICI apparaissent peu à peu dans les pays émergents et le suivi de migrants montre que le risque de développer la maladie rejoint celui de la population parmi laquelle ils vivent. Pollution, alimentation, hygiène, toutes les pistes sont ouvertes même si aucune étude ne permet à ce jour d’incriminer l’une ou l’autre. Seul facteur de risque avéré de la maladie de Crohn, le tabac mais qui, paradoxalement, protège de la rectocolite hémorragique. Douleurs et Diarrhée : 2 symptômes typiques Lors des poussées inflammatoires, les MICI se caractérisent le plus souvent par des douleurs abdominales, une diarrhée fréquente parfois sanglante ou encore une atteinte de la région anale (fissure, abcès) . Ils s’accompagnent souvent de fatigue, de perte d’appétit et de fièvre, parfois de manifestations extra-intestinales : articulaires, cutanées, oculaires, hépatiques. Chez environ 20 % des patients, les crises sont sévères. Leur intensité peut imposer l’hospitalisation, l’arrêt de l’alimentation et un traitement par perfusion pendant quelques jours. L’évolution de la maladie et surtout la répétition des crises peut entraîner le rétrécissement (sténose) d’un segment intestinal atteint puis éventuellement une occlusion ou encore un abcès pouvant aboutir à une fistule, c’est-à-dire à l’ouverture d’un trajet anormal partant de l’intestin malade vers un autre organe. Ces complications nécessitent parfois une intervention chirurgicale. Enfin, les MICI sont associées à un risque accru de cancer colorectal, notamment lorsque des lésions sont présentes au niveau du côlon. Une étude danoise a montré que, par rapport à la population générale, le risque était multiplié par 2 à 2.5 après 10 ans d’évolution de la maladie. Plusieurs critères pour un diagnostic Le diagnostic des MICI repose sur plusieurs critères cliniques, biologiques, endoscopique et d’imagerie médicale . Aux symptômes, il faut ajouter un bilan biologique qui permet de détecter un syndrome inflammatoire et des carences nutritionnelles éventuelles. L’endoscopie digestive (iléo coloscopie) consiste à introduire une sonde équipée d’une camera dans le système digestif du patient par voie naturelle et permet d’observer la présence de lésions et de pratiquer des prélèvements. Un bilan radiologique complémentaire peut aider à estimer l’étendue des lésions (scanner, IRM..). Aucun test à lui seul ne permet de diagnostiquer fermement la maladie, il se fait sur un faisceaux d’argument . Traitements de crise et traitements de fond Il n’existe pas de traitement curatif des MICI, mais les médicaments actuels permettent toutefois un contrôle durable de la maladie et une qualité de vie satisfaisante. Comme toute maladie inflammatoire chronique, la prise en charge repose sur un traitement de fond et un traitement de crise. Le premier est destiné à prévenir l’apparition des poussées et prolonger les phases de rémission. Le second permet d’écourter la durée des poussées inflammatoires et de limiter les symptômes. Lors des poussées , les 5-aminosalicylés (5-ASA) sont les anti-inflammatoires prescrits chez la majorité des patients en raison de leur bonne tolérance. Les corticoïdes arrivent en deuxième intention en cas d’inefficacité des 5-ASA ou de poussées modérées à sévères de la maladie. Ils sont plus efficaces mais présentent un certain nombre d’effets secondaires. En traitement de fond , les immunomodulateurs sont utilisés pour réguler l’immunité des patients et réduire l’inflammation à long terme. Il existe plusieurs molécules : azathioprine, mercaptopurine et méthotrexate. Les biothérapies (Anti-TNF) arrivées en 1990 ont amélioré la prise en charge. Elles bloquent spécifiquement le TNF-α, facteur d’inflammation présent dans la maladie. Deux molécules sont indiquées à ce jour dans la maladie de Crohn (infliximab, adalimumab) et une dans la rectocolite hémorragique (infliximab). Ces traitements sont réservés aux formes sévères et résistantes aux autres traitements. Par ailleurs, la fréquence et l’importance des diarrhées peuvent entraîner une carence nutritionnelle. Une supplémentation en fer, acide folique, zinc, magnesium, vitamines, etc. peut être nécessaire par voie orale ou intraveineuse et chez l’enfant, le recours à la nutrition entérale, exclusive ou en complément, est parfois nécessaire. Enfin, un traitement chirurgical est réservé aux malades résistants à un traitement bien suivi ou encore suite à l’apparition de complications. Au sein du groupe CMAD nous assurons l’ensemble de la prise en charge des MICI du diagnostic au traitement. Les traitements par biothérapie (Anti-TNF) se font sur les sites des cliniques La Croix du Sud à Quint Fonsegrives et Pasteur à Toulouse dans un environnement dédié (unité de perfusion) avec des médecins impliqués spécifiquement dans la mise en œuvre de cette thérapeutique et sa surveillance. Références Source internet Inserm Télécharger le Guide patient HAS maladie de CROHN et RCH Liens Vous trouverez ci-dessous des liens permettant des informations complémentaires Commission MICI du CREGG My MICI Book Livret d’information destiné aux patients porteurs de MICI Groupe d’Étude Thérapeutique des Affections Inflammatoires du Tube Digestif Recto Colite Hémorragique (RCH) à Toulouse En savoir + Maladie de Crohn Toulouse En savoir + Radiofréquence Endobrachyoesophage En savoir + Prise en charge de l’obésité par endoscopie : Ballon intra-gastrique ou Endosleeve En savoir + Qu'est-ce qu'une MICI En savoir + CPRE ( Cholangio-Pancréatographie Rétrograde Endoscopique) ou Endoscopie des voies biliaires En savoir + Dissection sous muqueuse endoscopique En savoir + Drainages biliaires En savoir + Cholangioscopie En savoir + Urgence hémoccult En savoir + Troubles de la statique du périné En savoir + Explorations ano-rectales En savoir + Explorations de l’oesophage : PH métrie et manométrie En savoir + MICI : maladies inflammatoires chroniques de l’intestin En savoir + Explorations fonctionnelles En savoir + Endoscopies digestives En savoir + Proctologie En savoir + Hépatologie En savoir + Gastro-entérologie En savoir + Cancérologie En savoir + Voyages, Vaccinations et MICI En savoir + Ma MICI : Fonder une famille En savoir + Livret d’information destiné aux patients porteurs de MICI En savoir + Enfants et Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin - MICI En savoir + Endoscopies et MICI En savoir + Droits Sociaux et MICI En savoir + Corticoïdes et MICI En savoir + Assurances et MICI En savoir + Alimentation et MICI En savoir + Cancer du colon En savoir + pH Métrie En savoir + Fiches régimes En savoir + Tout savoir sur les MICI En savoir + Cancérologie et dépistage En savoir + La Gastroscopie En savoir + L’Echo-endoscopie En savoir + La Vidéocapsule de l'intestin grêle En savoir + La manométrie oesophagienne En savoir + Elastométrie hépatique (Fibroscan°, Supersonic°) En savoir + La Coloscopie En savoir + L’Entéroscopie double ballon En savoir + Une Question ? Le Centre des Maladies de l’Appareil Digestif (CMAD) de Toulouse est dédié à la prise en charge des affections gastro-intestinales et hépatiques. Forts de notre expertise et de notre engagement envers l'excellence médicale, nous proposons une gamme complète de services diagnostiques et thérapeutiques pour répondre à vos besoins spécifiques. Notre équipe d’hépato-gastroentérologues expérimentés est à votre disposition pour vous accompagner tout au long de votre parcours de santé, de la prévention au traitement. Si vous avez des questions ou des doutes concernant votre état de santé, n’hésitez pas à fixer un rendez-vous de consultation avec l’un de nos spécialistes. Nous sommes là pour vous offrir les meilleurs soins possibles et vous aider à retrouver une meilleure qualité de vie. Contactez-nous dès aujourd'hui pour planifier votre consultation et bénéficier d'une prise en charge personnalisée et attentive. Contact
- Enfant et MICI - Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin | Centre des Maladies de l'Appareil Digestif
Tout savoir sur les maladies inflammatoires chroniques de l'intestin (MICI) et l'enfant avec le CMAD - Centre des Maladies de l'Appareil Digestif à Toulouse, Occitanie. Enfants et Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin - MICI Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin (MICI) et l'Enfant Les maladies inflammatoires chroniques intestinales (MICI) se divisent en deux catégories : la rectocolite hémorragique (RCH) et la Maladie de Crohn (MC) . Il n’existe pas de forme spécifique à l’enfant et il ne s’agit plus d’une maladie exceptionnelle. Quinze pour cent des MICI se rencontrent chez des enfants. Chez l’enfant, il est primordial de s’attacher au développement de sa croissance. Le retard de croissance est une complication spécifique de la Maladie de Crohn. Epidémiologie La RCH est en régression. La Maladie de Crohn est en augmentation. Et les enfants ne sont pas épargnés par cette augmentation. Actuellement elle est découverte chez 5 enfants/100 000/an. La maladie se déclare aux alentours de 12-15 ans. Les garçons et les filles sont touchés de façon équivalente. Dans 15 à 35 % des cas, un autre membre de la famille est également atteint. Il existe une transmission génétique qui n’a pas encore été éclaircie, mais elle semble liée, dans certaines formes, à une anomalie, du chromosome 16. Diagnostic Le diagnostic est souvent difficile à établir chez l’enfant, car les signes sont peu nombreux et atypiques au début. Ainsi, il est le plus souvent porté tardivement et par hasard, à l’occasion d’une intervention chirurgicale pour appendicite ou lors d’une complication de la maladie. La RCH est évoquée devant une diarrhée glairo-sanglante. La maladie de Crohn est évoquée devant des douleurs abdominales (présentent dans 83 % des cas), une diarrhée chronique (86 %), des lésions très évocatrices que sont les lésions anales (26 %), des lésions extra digestives articulaires ou cutanées (21 %) et un retard de croissance staturo-pondérale (20 à 50 %).L’infléchissement des courbes de croissance et/ou de poids peut être le signe du début de la Maladie de Crohn. La spécificité est que chez l’enfant, la recherche d’un retentissement staturo-pondéral de la MICI est primordiale. Les explorations Chez l’enfant, il n’y a pas d’examen spécifique. Comme chez l’adulte, les examens endoscopiques (coloscopie et fibroscopie oesogastroduodénale) sont effectués sous anesthésie générale. Ils servent à déterminer les segments atteints, à décrire les différentes lésions et à effectuer des prélèvements (que l’on appelle biopsies) pour l’analyse microscopique de la muqueuse. L’échographie abdominale et le scanner abdominal peuvent être utilisés dans la surveillance et la recherche de complication de la maladie. Les prélèvements sanguins permettent de détecter l’intensité de l’inflammation par le dosage de la vitesse de sédimentation (VS) et de l’activité de la protéine C (CRP). Le transit du grêle sert à déterminer la topographie des lésions du petit intestin dans la Maladie de Crohn. Dans le même but, on peut aussi effectuer un enteroscanner. Il s’agit d’un scanner abdominal qui analyse plus finement le petit intestin. Il nécessite une préparation, à savoir une injection d’eau dans le petit intestin à l’aide d’une sonde de gavage gastrique. Enfin la vidéo capsule est une technique en cours d’évaluation dans la Maladie de Crohn chez l’adulte et pourrait un jour voir son utilisation chez l’enfant. L’examen consiste à faire avaler une capsule un peu plus grande qu’une gélule, dans laquelle est incorporée une caméra qui enregistre des images et les transmet à un boîtier enregistreur. Après analyse, une reconstruction des images est obtenue et l’interprétation peut alors être effectuée. Le seul examen spécifique à l’enfant effectué est la radiographie du poignet pour l’évaluation de l’âge osseuxafin de rechercher un éventuel retard staturo-pondéral. Evolution Les MICI évoluent par poussées. Les périodes d’accalmie entre les crises peuvent être plus ou moins longues. Il est imprévisible après une première crise, même importante, de déterminer l’évolution de la maladie. Seul le temps entre chaque poussée peut donner une indication sur l’évolution future de la maladie. Celle-ci influe sur le développement pubertaire, conduisant à un retard de croissance. Ce retard persiste dans 20 % des cas, soit une perte d’environ 15 cm sur la taille définitive. Son retentissement doit être limité en contrôlant la maladie, soit à l’aide des médicaments, soit à l’aide de la nutrition artificielle. Traitement des maladies inflammatoires chroniques intestinales (MICI) chez l'enfant Les traitements utilisés sont les mêmes que chez l’adulte. Le but est d’enrayer les crises et d’éviter de nouvelles poussées. Ces différents traitements doivent tenir compte, chez l’enfant des problèmes de croissance, ce qui implique un mode et un rythme d’administration des médicaments différents de ceux préconisés chez l’adulte. La corticothérapie peut être utilisée à forte dose sur de courtes périodes n’excédant pas 3 mois par an. Une corticothérapie à libération locale, donnant ainsi moins d’effets secondaires, peut être préférée dans certaines formes de maladie de Crohn. Les immunosuppresseurs et les anti-TNF peuvent être donnés dans les cas suivants : d’emblée en cas de fortes poussées invalidantes et compliquées, en cas de corticodépendance et en cas de résistance à la corticothérapie. Ces traitements nécessitent une surveillance biologique fréquente. La nutrition artificielle, le plus souvent administrée à l’aide d’une sonde de nutrition entérale, permet de pallier, soit l’inefficacité du traitement médical, soit la survenue de complications du traitement médicamenteux, soit une importante dénutrition en parallèle du traitement médical. Dans la maladie de Crohn, la nutrition entérale peut être utilisée en remplacement d’un traitement médicamenteux, par contre, elle est très peu utilisée dans la RCH. Le traitement chirurgical est rarement proposé chez l’enfant. Il est proposé en dernier recours, à savoir devant une inefficacité des médicaments et de la nutrition entérale, lors de survenue de complications. L’intervention chirurgicale consiste, dans la maladie de Crohn, à enlever un segment d’intestin. L’efficacité du traitement médical dans la RCH rend encore plus rares les indications opératoires chez l’enfant. En pratique – La vie quotidienne des jeunes malades Expliquer sa maladie à l’enfant Etre atteint d’une MICI n’est pas une situation simple pour un enfant et pour ses parents. Celui-ci est non seulement incommodé par les symptômes de sa maladie, mais doit également se soumettre à des examens et à un traitement parfois contraignant. Mieux vaut, dans la mesure du possible et en fonction de son âge et de sa compréhension, expliquer à l’enfant sa maladie. Toute la difficulté pour l’entourage est de le soutenir sans le couver, de l’informer sans l’inquiéter et de répondre le plus simplement et clairement possible à ses questions. L’organisation de la vie quotidienne L’enfant doit mener, dans la mesure du possible, une vie normale. Il faudra pour cela trouver un juste équilibre entre une surveillance rigoureuse de sa maladie, un aménagement des conditions de vie, et l’intégration du jeune patient avec les autres enfants de son âge. La fréquentation scolaire doit être normale en dehors des périodes de poussées évolutives. En cas de poussée peu importante ou stabilisée par le traitement, l’enfant est souvent le meilleur juge pour savoir s’il peut ou non aller à l’école et suivre telle ou telle activité. La pratique du sport est autorisée. L’intensité de l’activité physique doit être modulée en fonction de l’état général de l’enfant. Faut-il révéler le diagnostic à l’enseignant ? La question peut se poser de révéler ou pas le diagnostic de la maladie à l’entourage scolaire de l’enfant. Il faut ici tenir compte de l’avis du jeune patient. Il est clair que mettre dans la confidence l’enseignant peut faciliter la vie de l’enfant, notamment pour être autorisé à aller aux toilettes pendant les cours, et pour expliquer ses absences. Une alimentation normale en dehors des poussées En dehors des poussées évolutives de la maladie, l’alimentation doit être identique à celle des autres enfants du même âge. Pendant les poussées de sa maladie, il est utile d’effectuer un régime pauvre en fibres tout en maintenant des apports caloriques suffisants. Si l’enfant ne parvient pas à se nourrir, ou si l’apport calorique est insuffisant, il est nécessaire de recourir à une alimentation par sonde de gavage ou par perfusion. enfant_et_mici .pdf Download PDF • 195KB Recto Colite Hémorragique (RCH) à Toulouse En savoir + Maladie de Crohn Toulouse En savoir + Radiofréquence Endobrachyoesophage En savoir + Prise en charge de l’obésité par endoscopie : Ballon intra-gastrique ou Endosleeve En savoir + Qu'est-ce qu'une MICI En savoir + CPRE ( Cholangio-Pancréatographie Rétrograde Endoscopique) ou Endoscopie des voies biliaires En savoir + Dissection sous muqueuse endoscopique En savoir + Drainages biliaires En savoir + Cholangioscopie En savoir + Urgence hémoccult En savoir + Troubles de la statique du périné En savoir + Explorations ano-rectales En savoir + Explorations de l’oesophage : PH métrie et manométrie En savoir + MICI : maladies inflammatoires chroniques de l’intestin En savoir + Explorations fonctionnelles En savoir + Endoscopies digestives En savoir + Proctologie En savoir + Hépatologie En savoir + Gastro-entérologie En savoir + Cancérologie En savoir + Voyages, Vaccinations et MICI En savoir + Ma MICI : Fonder une famille En savoir + Livret d’information destiné aux patients porteurs de MICI En savoir + Enfants et Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin - MICI En savoir + Endoscopies et MICI En savoir + Droits Sociaux et MICI En savoir + Corticoïdes et MICI En savoir + Assurances et MICI En savoir + Alimentation et MICI En savoir + Cancer du colon En savoir + pH Métrie En savoir + Fiches régimes En savoir + Tout savoir sur les MICI En savoir + Cancérologie et dépistage En savoir + La Gastroscopie En savoir + L’Echo-endoscopie En savoir + La Vidéocapsule de l'intestin grêle En savoir + La manométrie oesophagienne En savoir + Elastométrie hépatique (Fibroscan°, Supersonic°) En savoir + La Coloscopie En savoir + L’Entéroscopie double ballon En savoir + Une Question ? Le Centre des Maladies de l’Appareil Digestif (CMAD) de Toulouse est dédié à la prise en charge des affections gastro-intestinales et hépatiques. Forts de notre expertise et de notre engagement envers l'excellence médicale, nous proposons une gamme complète de services diagnostiques et thérapeutiques pour répondre à vos besoins spécifiques. Notre équipe d’hépato-gastroentérologues expérimentés est à votre disposition pour vous accompagner tout au long de votre parcours de santé, de la prévention au traitement. Si vous avez des questions ou des doutes concernant votre état de santé, n’hésitez pas à fixer un rendez-vous de consultation avec l’un de nos spécialistes. Nous sommes là pour vous offrir les meilleurs soins possibles et vous aider à retrouver une meilleure qualité de vie. Contactez-nous dès aujourd'hui pour planifier votre consultation et bénéficier d'une prise en charge personnalisée et attentive. Contact
- Dr Hadrien ALRIC | Gastro-entérologue Toulouse Clinique Pasteur
Dr Hadrien ALRIC, Gastro-entérologue à Toulouse, Clinique Pasteur Clinique Pasteur Dr Hadrien ALRIC Hépatologue et Gastro-entérologue Toulouse Clinique Pasteur à partir de janvier 2025 05 62 21 16 02 smgastro@clinique-pasteur.com LinkedIn Fixer un rendez-vous Retour Examens pratiqués Endoscopie digestive diagnostique et thérapeutique (gastroscopie, coloscopie, mucosectomie, dilatation) Écho-endoscopie digestive diagnostique et thérapeutique Cathétérisme biliaire et pancréatique (CPRE) Radiofréquence digestive Vidéocapsule endoscopique de l’intestin grêle Titres et Diplômes Titres Ancien Interne des Hôpitaux de Paris (2015-2019) Ancien Chef de Clinique de l’Université Paris- Cité, Assistant des Hôpitaux de Paris (Hôpital Européen Georges-Pompidou, 2021-2024) Diplômes Diplôme Universitaire : étude des maladies inflammatoires chroniques intestinales (2016-2017) Diplôme d’Étude Spécialisé en hépato-gastro-entérologie, Université Paris-Cité (2019) Diplôme d’État de Docteur en Médecine, Université Paris-Cité (2019) Master 2 Recherche : Sciences chirurgicales et nouvelles techniques interventionnelles, Université Paris-Saclay (2020) Diplôme Universitaire : Endoscopie diagnostique avancée (2020-2021) Diplôme Universitaire : Endoscopie interventionnelle digestive et bilio-pancréatique (2021-2023) Curriculum de la Société Française d’Endoscopie Digestive « Écho-endoscopie thérapeutique » (en cours) Centres d’intérêts et Expertises Endoscopies digestives diagnostiques et interventionnelles (bilio-pancréatiques et gastro-intestinales) Maladie des voies biliaires et du pancréas Maladies inflammatoires chroniques intestinales Polypes coliques et dépistage du cancer colorectal Publications scientifiques : suivre ce lien Fonctions Professionnelles et sociétés savantes Membre de la Société Nationale Française de Gastro-Entérologie (SNFGE ) Membre de la Société Française d’Endoscopie Digestive (SFED ) < Retour
- Troubles de la statique du périné prolapsus rectal Toulouse | Centre des Maladies de l'Appareil Digestif
C’est une pathologie très fréquente chez la femme après 50 ans. Ils peuvent être la cause et la conséquence de trouble de l'évacuation et d'une incontinence anale. La rectocèle et le prolapsus rectal sont les plus fréquemment rencontrés. La rectocèle est une hernie formée par le rectum dans le vagin. Elle se manifeste souvent par une sensation de pesanteur, de trouble de l'évacuation. Le prolapsus rectal est une extériorisation de la paroi du rectum à travers l'anus. Il se manifeste souvent par une incontinence anale, des faux besoins, des sécrétions glaireuses. Son traitement ne peut être que chirurgical. Troubles de la statique du périné C’est une pathologie très fréquente chez la femme après 50 ans . Ils peuvent être la cause et la conséquence de trouble de l'évacuation et d'une incontinence anale. La rectocèle et le prolapsus rectal sont les plus fréquemment rencontrés. La rectocèle est une hernie formée par le rectum dans le vagin. Elle se manifeste souvent par une sensation de pesanteur, de trouble de l'évacuation. Le prolapsus rectal est une extériorisation de la paroi du rectum à travers l'anus. Il se manifeste souvent par une incontinence anale, des faux besoins, des sécrétions glaireuses. Son traitement ne peut être que chirurgical . Devant un trouble de la statique pelvienne , il faut toujours faire un bilan complet du périnée en étudiant la sphère urologique et gynécologique avant toute décision thérapeutique. Recto Colite Hémorragique (RCH) à Toulouse En savoir + Maladie de Crohn Toulouse En savoir + Radiofréquence Endobrachyoesophage En savoir + Prise en charge de l’obésité par endoscopie : Ballon intra-gastrique ou Endosleeve En savoir + Qu'est-ce qu'une MICI En savoir + CPRE ( Cholangio-Pancréatographie Rétrograde Endoscopique) ou Endoscopie des voies biliaires En savoir + Dissection sous muqueuse endoscopique En savoir + Drainages biliaires En savoir + Cholangioscopie En savoir + Urgence hémoccult En savoir + Troubles de la statique du périné En savoir + Explorations ano-rectales En savoir + Explorations de l’oesophage : PH métrie et manométrie En savoir + MICI : maladies inflammatoires chroniques de l’intestin En savoir + Explorations fonctionnelles En savoir + Endoscopies digestives En savoir + Proctologie En savoir + Hépatologie En savoir + Gastro-entérologie En savoir + Cancérologie En savoir + Voyages, Vaccinations et MICI En savoir + Ma MICI : Fonder une famille En savoir + Livret d’information destiné aux patients porteurs de MICI En savoir + Enfants et Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin - MICI En savoir + Endoscopies et MICI En savoir + Droits Sociaux et MICI En savoir + Corticoïdes et MICI En savoir + Assurances et MICI En savoir + Alimentation et MICI En savoir + Cancer du colon En savoir + pH Métrie En savoir + Fiches régimes En savoir + Tout savoir sur les MICI En savoir + Cancérologie et dépistage En savoir + La Gastroscopie En savoir + L’Echo-endoscopie En savoir + La Vidéocapsule de l'intestin grêle En savoir + La manométrie oesophagienne En savoir + Elastométrie hépatique (Fibroscan°, Supersonic°) En savoir + La Coloscopie En savoir + L’Entéroscopie double ballon En savoir + Une Question ? Le Centre des Maladies de l’Appareil Digestif (CMAD) de Toulouse est dédié à la prise en charge des affections gastro-intestinales et hépatiques. Forts de notre expertise et de notre engagement envers l'excellence médicale, nous proposons une gamme complète de services diagnostiques et thérapeutiques pour répondre à vos besoins spécifiques. Notre équipe d’hépato-gastroentérologues expérimentés est à votre disposition pour vous accompagner tout au long de votre parcours de santé, de la prévention au traitement. Si vous avez des questions ou des doutes concernant votre état de santé, n’hésitez pas à fixer un rendez-vous de consultation avec l’un de nos spécialistes. Nous sommes là pour vous offrir les meilleurs soins possibles et vous aider à retrouver une meilleure qualité de vie. Contactez-nous dès aujourd'hui pour planifier votre consultation et bénéficier d'une prise en charge personnalisée et attentive. Contact
- Dr Olivier CROIZET | Gastro-entérologue Toulouse Clinique Pasteur
Dr Olivier CROIZET, Gastro-entérologue à Toulouse, Clinique Pasteur Clinique Pasteur Dr Olivier CROIZET Hépatologue et Gastro-entérologue Toulouse Clinique Pasteur 05 62 21 16 02 smgastro@clinique-pasteur.com Fixer un rendez-vous Retour Examens pratiqués Endoscopies : gastroscopie et coloscopie Echo-endoscopie (EUS) diagnostique et thérapeutique Cathétérisme biliaire et pancréatique (CPRE) Vidéo capsule Évaluation non invasive de la fibrose hépatique par Supersonic ® Titres et Diplômes Ancien interne des hôpitaux de Toulouse Ancien chef de clinique des Universités- Assistant des Hôpitaux CHU Rangueil, Toulouse, Praticien attaché des hôpitaux de 1998 à 2010 CHU Rangueil Toulouse Diplôme Universitaire de Proctologie, Université Paul Sabatier Toulouse Diplôme Inter Universitaire d’écho endoscopie Centres d’intérêts et Expertises Exploration des pathologies pancréatiques et biliaires Exploration et bilan d’extension des tumeurs œsophagiennes, gastriques, biliaires, pancréatiques, coliques et rectales Endoscopies diagnostiques et interventionnelles en particulier les mucosectomies des tumeurs superficielles du tube digestif Hépato gastro-entérologie Fonctions Professionnelles et sociétés savantes Membre élu au Conseil d’administration du Club Francophone d’Echoendoscopie (CFE ) Membre de la Société Française d’Endoscopie Digestive (SFED ) depuis 2006. Membre du Club de réflexion des cabinets de groupe de gastroentérologie (CREGG ) < Retour